« Je suis forcé de reconnaître que la France ne doit son héritage admirable, sa structure religieuse, artistique, morale et civile tout ce qu’elle possède de bon et d’heureux, ni à la République, ni à Napoléon mais bien à ses Rois »
Cet aveu est extraordinaire et même inconséquent venant d’Edouard Herriot (1872 – 1957), homme politique central des IIIe et IVe Républiques, maintes fois ministre, Chef du gouvernement, président de la Chambre des députés (IIIe République) puis de l’Assemblée nationale (IVe République), éternel maire de Lyon, membre éminent du Parti radical et académicien français…
Le clivage du « nouveau monde » [1]
Un « mini dossier » en 6 parties, à paraître aujourd’hui et les jours suivants. Analyses et propositions spécialement opportunes alors que deux conceptions du monde vont s’affronter dans la campagne des élections européennes. Par Rémi Hugues. Depuis 2017 le système politique français a radicalement changé. Lʼhégémonie de deux mouvements, le Parti socialiste (P.S.) dʼune …
YANN CORFMAT sur À vrai dire, il n’y a…
“Et nous donc depuis 2017 !”