Dictature municipale en marche : Crépuscule de Paris ville morte ?
« La vision d’Anne Hidalgo est idéologique et déconnectée des besoins réels des Parisiens. » Jean-François Legaret (ancien maire du 1er arrondissement de Paris).
Journal de l’année 14 de Jacques Bainville ▬ 13 novembre : « Les jeunes recrues que l’Allemagne envoie au feu chargent en chantant le Deutscland über alles … »
Journal de l’année 14 de Jacques Bainville : Les notes sont quasiment quotidiennes jusqu’au 31 décembre. Sauf du 14 au 27 août à cause des contraintes de la guerre. Nous conseillons vivement de les lire au jour le jour, comme elles furent écrites. Sachons que notre situation française et européenne d’aujourd’hui découle largement des grands événements …
Pensée de Simone Weil dédiée à celui – accessoirement Chef de l’Etat – qui voulait « envoyer des mecs » en Ukraine. De jeunes Français s’y faire tuer…
Cet aphorisme, Gustave Thibon aurait pu l’écrire. Même style et même façon de penser. Lucide, radicale, lapidaire. De quoi était faite la proximité de ces deux êtres que tout opposait et qui furent si proches sans se renier ni l’un ni l’autre ? Peut-être, justement, de cette incapacité au reniement. Au contraire des politiques d’aujourd’hui …
Les fractures américaines
À signaler aux lecteurs de JSF qui suivent ces chroniques précieuses depuis des années… Le blogue de géopolitique d’Antoine de Lacoste est désormais ouvert. On le consultera toujours avec profit. (Cliquez).
Pas de note le 12 novembre dans le « Journal de l’Année 14 » de Bainville. On espérait l’entrée en guerre de l’Italie ; on devait l’attendre encore six longs mois (23 mai 1915).
Nous avons vécu – ceux d’entre nous qui suivent cette publication – les trois premiers mois de la Grande Guerre avec Jacques Bainville, au jour le jour, sous son regard précis, lucide et toujours prospectif. Au mois de novembre 14 se posait la question italienne. Au début du conflit, l’Italie était restée neutre malgré son …
Victoire de Donald Trump : l’analyse de Michel Onfray (11min).
Pour Michel Onfray, Donald Trump est avant tout un souverainiste. C’est-à-dire quelqu’un qui a le souci de son peuple.
