Cette rubrique est destinée A ceux qui nous découvrent. Ils y trouveront une sorte de collection de mini textes, ou mini fiches, qui n’ont pas d’autre prétention que de servir de petits tracts d’appel, d’explication rapide et succincte de ce que sont et de ce que proposent les royalistes, destinés, donc, à ceux qui ne connaîtraient pas, ou mal, nos objectifs. Il ne peut s’agir là que d’une première présentation, d’une première accroche, qu’il faudra évidemment préciser, nuancer, approfondir par la suite.
Plusieurs de ces notes ont, du reste, été conçues et rédigées à partir des questions, objections, demandes de renseignements ou de précisions etc… contenues dans des courriels qui nous ont été adressés.
On pourrait, évidemment, dire les mêmes choses différemment, prendre d’autres exemples. Nous ne prétendons pas avoir la science infuse, ni asséner des vérités venues d’en haut.
Il ne s’agit, répétons-le, que de courts textes de présentation générale, genre tracts, destinés à dégager l’essentiel…
Aujourd’hui, Travailler à clôturer les deux cycles, celui de 1789, et celui de 1945….
Lorsque Chateaubriand raconte les Cent Jours, dans ses Mémoires d’Outre-Tombe, il distingue les grands Cent jours, qui se passent à Paris, et les petits Cent jours,qui se passent à Gand, autour de Louis XVIII.
On pourrait, en s’inspirant de la formule, l’appliquer à deux cycles, que nous souhaitons voir clôturés: le premier grand cycle, « le » cycle, étant celui ouvert par la Révolution de 1789 et le petit cycle étant celui de 1945, et de la disparition de fait de l’Action Française et du courant royaliste, en tant que tel, comme composante habituelle et normale du paysage politique français.
Alors qu’au même moment, le communisme triomphant s’emparait -entre autres…- de l’École et des Médias, où la gauche et l’extrême-gauche idéologiques, après les avoir verrouillés à la stalinienne, règnent sans partage, et sans discontinuer, depuis…..
On oublie trop que c’est une nouveauté essentielle, à partir de 1945, que l’opinion royaliste soit, de facto, absente és-qualitédu paysage politique et qu’elle ait été, sinon tout a fait empêchée d’exister, du moins contrainte de voir ses formes traditionnelles d’action disparaître. Ce qui a abouti a sa quasi-exclusion de fait du paysage politico-médiatique français. Autrefois, en effet, il y avait l’Action française, au quotidien, pour jouer sur les deux tableaux, celui de la remise en cause et celui de la remise en ordre…..
Nous souhaitons donc clôturer ces deux cycles, et pour contribuer à clôturer le premier, commencer par clôturer le second en ré-introduisant la pensée royaliste, quotidiennement et habituellement au coeur des débats. Non bien sûr parce que nous penserions restaurer l’Action Française, dans ses formes extérieures, et telle qu’elle était autrefois. La monarchie et l’Action française appartiennent maintenant à l’Histoire, et il ne saurait être question, ni pour l’une ni pour l’autre, de restauration. Mais, avec beaucoup d’autres, nous pensons qu’il faut utiliser le Net aujourd’hui pour porter la critique d’un système qui échoue, et proposer le Prince français, le Prince chrétien comme un recours.
Bien longtemps avant que l’Empire marxiste ne s’effondre, et que la mort de l’idéologie religieuse révolutionnairene soit devenue une évidence, Thomas Molnar en avait interloqué plus d’un en déclarant à qui voulait l’entendre que le bloc marxiste était mort, et qu’il n’était plus qu’une « coquille vide ». Pourtant, les apparences étaient contre cette prédiction: tout restait en place de l’impressionnante puissance révolutionnaire, de l’empire marxiste lui-même aux partis communistes nationaux. Mais c’est Molnar qui, contre les apparences avait raison: surprenant tout le monde, l’empire s’effondra et l’on se rendit compte que la religion était, en effet, bel et bien morte.
N’en est-il pas de même, aujourd’hui, avec les institutions héritées de la grande révolution de 1789/1793 ? Si le marxisme-léninisme, qui en était la quintessence, est mort, c’est aussi que la base, le coeur même du marxisme lénisnisme -à savoir la révolution française- est morte elle aussi. Et comme l’empire marxiste hier, elle n’est plus qu’une « coquille vide ». Et le régime qui en est issu ne tient plus debout que par habitude, parce qu’il a la chance d’être installé. Sa seule force est, dorénavant, la force d’inertie. Mais un jour, même cette force-là ne suffira plus.
Il faut donc pousser, pour que l’édifice vermoulu, qui ne tient plus que par ses apparences, s’effondre enfin.
Nous souhaitons ne pas manquer à cette tâche et donc, pour cela, profiter d’Internet -aux côtés de ceux qui s’y trouvent déjà- pour ré-introduire avec eux le plus possible, et au maximum, notre courant de pensée; et proposer, de nouveau quotidiennement, à côté de la remise en cause, la remise en ordre….
Yves sur Eugénie Bastié : « Hervé Le…
“Je pense qu’il n’y a pas de problème de racisme en France, la couleur de peau…”