Aller au contenu

JE SUIS FRANÇAIS

Le quotidien royaliste sur la toile

Search
  • Accueil
  • Politique
    • France
    • Europe
    • Monde
    • Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade
    • En deux mots, réflexion sur l’actualité
    • Défense nationale
    • Social, economie…
    • Chiffres en vrac sur la France actuelle
    • Grain de sel … actualité
  • Comte de Paris
    • Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France
  • Annonces
    • Activités, Presse, Mouvement
    • Annonces à propos de JSF
  • Société
    • Immigration – Insécurité – Anti racisme
    • Education
    • Justice
    • Patrimoine, Racines, Traditions
    • Politique et Religion
    • Humour
  • Vidéo-Audio
    • Vidéos
    • Audios
  • Idées-Culture
    • GRANDS TEXTES
    • Idées, Histoire, Culture & Civilisation
    • Patrimoine cinématographique [P. Builly]
    • Ephémérides
    • Visuels
    • Nos lecteurs ont la parole…
    • Aux nouveaux lecteurs qui nous découvrent…
    • Journal d’un royaliste français au Maroc
  • République ou Royauté
    • République ou Royauté ?
    • Révolution – Terrorisme – Totalitarisme
  • Dossiers
    • Lire Jacques Bainville
    • Bainville : Journal année 14
    • Pierre Debray – Une politique pour l’an 2000
    • Pierre Debray – Maurras et le Fascisme
    • L’Action française dans la Grande Guerre
    • Mai 68
  • RechercheRecherche

L’affaire du professeur agressé de Juvignac, suites… (2/2).

vendredi 21 juin 2019samedi 12 décembre 2009 sur JSF

            Pour celles et ceux qui auraient raté le début…

            II : Le rappel et l’exposé des faits.

            Décembre 2008. Philippe J. (le nom a été changé, ndlr) vient de terminer son cours, dans l’amphithéâtre de la faculté de sociologie de Montpellier. L’enseignant va quitter la salle lorsqu’un étudiant s’approche de lui.– Vous pourriez pas valider les matières où j’ai eu de mauvaises notes ? lui demande-t-il.      

            Philippe J. le regarde, interloqué, sans pouvoir mettre un nom sur son visage. Le jeune homme, un petit brun trapu, a l’air d’avoir au moins 25 ans. Un de ces « vieux » étudiants qui redoublent leurs années de fac, sans qu’on sache très bien pourquoi ils s’acharnent à suivre des études pas faites pour eux.

solidaire-prof-en-danger-336x280.jpg

– Si vos notes sont médiocres, c’est impossible, répond le professeur.
Mais l’autre, un certain Saïd Ouamalik, insiste. Il lui pose familièrement sa main dans le dos.
– Mon ami, on peut toujours trouver une solution, dit-il avec une désinvolture qui frise l’insolence.
Gardant son calme face à ce qu’il faut bien appeler une tentative de corruption, Philippe J. réplique sèchement :
– Une solution ? Il y en a une. Il suffit de repasser vos examens.
Et il lui tourne le dos, passe à autre chose sans savoir qu’ils vont se revoir…

Lundi 19 octobre 2009. Les J. passent tranquillement la soirée chez eux, à Juvignac, près de Montpellier. Cela fait cinq ans qu’ils se sont installés dans le quartier résidentiel de Fontcaude, sur les hauteurs du bourg, d’où on a une vue superbe sur le lac et le golf. Ils y habitent une maison à la façade rose pâle, entourée d’un jardinet bien entretenu. Philippe J., comme tous les soirs, a fermé à clé la porte d’entrée. Il travaille à ses cours auprès de son épouse, Clélia, docteur en sociologie comme lui. Là s’arrête d’ailleurs leur ressemblance. Alors que Philippe, âgé de 45 ans, est grand et bien charpenté, Clélia, une jeune femme d’origine brésilienne, est toute menue. Leur fils Martin, un garçon de 11 ans, joue sur son ordinateur dans sa chambre, à l’étage.
Il est environ 22 h 30 lorsque l’enseignant croit entendre grincer la poignée de la porte d’entrée. Inquiet, il va voir, déverrouille, s’avance sur le perron. A peine a-t-il remarqué que le portillon donnant sur la rue est ouvert qu’une ombre jaillit de l’obscuri té et bondit sur lui.
– Bouge pas ! ordonne une voix masculine.
L’homme, cagoulé, braque un pistolet sur la tête de Philippe, et le repousse à l’intérieur de la maison. Sa femme, alertée par le bruit, s’est levée de son fauteuil.
– Couchez-vous sur le sol, face contre terre ! lance l’inconnu. Et écartez les jambes.
« Il va la violer ! », pense Philippe J., atterré. Mais l’homme a une préoccupation plus urgente. Il veut savoir s’il y a d’autres personnes dans la maison. Philippe lui explique que son fils est à l’étage. L’individu hurle au garçon de descendre. Et le petit Hugo, terrorisé, est contraint de s’allonger à côté de ses parents.
– Vous avez de l’argent ?
– Seulement quelques bijoux et des ordinateurs.
Un simple cambriolage ? Philippe se sent vaguement rassuré. Mais l’individu s’énerve. Se met à insulter Clélia alors qu’elle a légèrement bougé.
– Si ça se passe pas bien, je repars avec un organe ! menace-t-il.
Fait-il allusion à une mutilation ? Le voilà en tout cas qui sort de son sac à dos une bouteille d’essence et qui asperge ses victimes.
– J’ai un briquet, si vous bougez, je vous brûle ! lance-t-il d’un ton menaçant.
Et l’horreur s’abat sur les trois occupants de la maison.
Hugo, de l’essence plein les yeux, ne peut s’empêcher de pleurer. Le cambrioleur plonge à nouveau la main dans son sac et il en sort un rouleau de cordelette. Cette fois, Philippe J. est paniqué. Couverts d’essence et attachés, ils seront complètement à la merci de ce fou furieux. Clélia a suivi le même raisonnement, c’ est la première à réagir. Elle tente de se relever, mais l’autre lui balance un violent coup de pied dans la tête. Alors, sans plus réfléchir, Philippe se rue sur l’inconnu et lui attrape le poignet qui tient le pistolet. Par chance, l’homme porte des gants de laine, et l’arme lui glisse de la main. Philippe le fait tomber et le maintient par terre, lui bloquant le thorax de ses deux bras.
Clélia est déjà dehors.
– Il va les tuer ! hurle-t-elle dans la rue, tout en courant chez ses plus proches voisins.
Ceux-ci appellent aussitôt les gendarmes. Hugo tente lui aussi de téléphoner aux secours. Mais son père lui ordonne de sortir tout de suite de la maison et d’aller se mettre en sécurité. Resté seul avec le cambrioleur, Philippe se demande avec angoisse combien de temps il va réussir à le retenir prisonnier. L’autre, qui pèse au moins 80 kilos, se défend comme un diable, et l’essence a rendu le sol glissant. « Si je le lâche, pense Philippe, il va faire un carnage. Il va me tuer, et il s’en prendra ensuite à ma femme et mon fils… » Et il tient bon, parvenant même à resserrer sa prise.
Au bout de dix minutes – autant dire une éternité – l’enseignant entend enfin une voiture s’arrêter devant la maison, et il aperçoit des uniformes à la porte du salon. Pourtant, il n’est pas au bout de ses surprises. D’abord, les militaires, ne sachant qui est l’agressé et qui est l’agresseur, le plaquent sur le sol, face contre terre, et lui passent les menottes.
– Je suis le propriétaire, proteste-t-il en vain.
Ensuite, il entend un gendarme, penché sur l’inconnu masqué, déclarer que « l’homme est mort ». Enfin, on lui annonce que le cambrioleur porte sur lui une carte d’étudiant en sociologie. Et ce n’est qu’au moment où un enquêteur lui arrache sa cagoule qu’il le reconnaît : il s’agit de l’étudiant qui lui avait demandé de « trouver une solution » à ses mauvaises notes…
C’est bien Saïd Ouamalik qui gît sans vie dans le salon de la maison. Mort d’un arrêt cardiaque, dira l’autopsie. En fait, le cœur, compressé entre la cage thoracique et la colonne vertébrale, a lâché. Reste à savoir ce que le jeune homme de 26 ans faisait en pleine nuit, déguisé en cambrioleur, au domicile de son professeur.
Saïd Ouamalik n’est pas un inconnu pour la justice. Son casier judiciaire mentionne une condamnation pour violences aggravées. Mais une rapide enquête va permettre aux gendarmes de dresser un portrait autrement inquiétant de l’étudiant en sociologie.
Le premier incident remonte à 2004, alors que Saïd, dont la famille habite à Uzès dans le Gard, prépare un bac technique dans un lycée de Nîmes. Un jour, le garçon a une banale altercation avec un camarade de classe. Le soir même, il lui téléphone.
– Je viens chez toi, je vais te mettre le feu ! lui dit-il.
Ce n’est pas une menace en l’air. Un peu plus tard, les gendarmes l’interpellent en flagrant délit, alors qu’il est en train de répandre de l’essence devant la maison des parents de son camarade. Durant sa garde à vue, le garçon est examiné par un psychiatre. « Schizophrène », diagnostique le médecin. Déclaré irresponsable, il est hospitalisé durant deux mois dans un service psychiatrique avant d’être relâché.
Bachelier en 2005, Ouamalik s’inscrit en licence de sociologie. Il réussit sa première année, mais échoue l’année suivante. Au printemps 2008, il apprend qu’il doit redoubler. C’est à cette occasion, on l’a vu, qu’il tente de convaincre Philippe J. d’arranger ses notes. Et c’est le second incident. Quelques semaines plus tard, les bureaux des professeurs de sociologie de l’université Paul-Valéry brûlent. L’origine criminelle de l’incendie ne fait aucun doute : on a retrouvé sur place de l’essence, du retardant et des cordelettes. L’université porte plainte. Saïd, compte tenu de son passé, fait figure de suspect. Mais les policiers ne parviendront pas à le confondre…
Tandis que Philippe J., placé en garde à vue, explique en détail les circonstances de l’agression, les gendarmes inspectent le sac à dos de l’étudiant. L’inventaire est éloquent : une
paire de menottes, un rouleau de ruban adhésif, des cordelettes, deux bouteilles d’essence de 1,5 litre et même une tenue blanche en cellophane, de celles qu’utilisent habituellement les techniciens de l’identification criminelle. Bref, avec les gants, la cagoule et le pistolet, la parfaite panoplie du « saucissonneur ». Saïd n’avait donc pas seulement l’intention de cambrioler l’enseignant et sa famille. Il avait prévu, au moins, de les séquestrer. Et ensuite ? On n’ose pas imaginer les scénarios qu’il avait en tête au moment où il a vu les trois victimes à sa merci…
Le mardi après-midi, le procureur adjoint de Montpellier, Georges Guttierez, annonce que Philippe J. a été remis en liberté. Pour le parquet, la thèse de la légitime défense ne semble faire aucun doute.
– On peut parler d’un instinct de survie, c’était une lutte à mort, explique le magistrat.
Pourtant, il ajoute dans la foulée que l’enseignant a été mis en examen pour « homicide volontaire » par le juge d’instruction. Autrement dit pour « meurtre ». Bien sûr, Philippe J., dont la version des faits coïncide parfaitement avec les constatations des gendarmes, devrait bénéficier rapidement d’un non-lieu. Reste que cet homme qui n’a fait que protéger sa famille se retrouve avec cette étiquette infamante, alors qu’une simple mise en examen pour homicide involontaire aurait suffi.
Seule la famille de Saïd conteste la thèse de la légitime défense. Certes, Boussa Ouamalik, le père du jeune homme, qui habite une petite cité à la périphérie d’Uzès, reconnaît que son fils « avait un différend avec son professeur ».
– Pour nous, Saïd est allé là-bas, à Juvignac, pour régler ses comptes, dit-il. Depuis l’année dernière, il nous parlait de ce prof…
D’autant que le jeune homme, qui avait repassé ses examens en septembre, venait d’apprendre qu’il était recalé, ce qui l’aurait rendu fou de rage. Le père de Saïd admet également que « le feu, c’est son mode opératoire », confirmant implicitement que son fils aurait pu se venger de l’enseignant en le faisant périr au milieu des flammes. Et malgré tout, il réfute la thèse des enquêteurs.
– On se pose plein de question, renchérit un oncle du garçon. Soyez sûr que ce professeur était au courant de la venue de Saïd. Je me demande même s’il n’a pas préparé sa réception. En plus, il n’a pas pu le tuer tout seul.
En clair : Saïd serait tombé ce soir-là dans un guet-apens tendu par un enseignant machiavélique. Et l’oncle de conclure :
– Je ne crois pas à cette histoire de légitime défense.
L’avocat des Ouamalik, Me Jean-Charles Teissèdre, s’est constitué partie civile au nom de la famille. Lui aussi émet de sérieux doute concernant la version des enquêteurs. Il rappelle que dans ses premières déclarations, l’adjoint au procureur avait un peu vite annoncé que Saïd était mort par strangulation, alors que l’autopsie a révélé qu’il a été victime d’une compression du cœur.
– Comment fait-on pour tuer un homme à mains nues quand on n’est pas un spécialiste des sports de combats ? s’interroge-t-il. D’autre part, il sera important d’établir à quel moment cette mort a eu lieu, et si elle pouvait être évitée.
En ce qui concerne cette dernière question, la réponse est évidente : oui, la mort de Saïd aurait pu être évitée. Il aurait suffi pour cela que le jeune homme reste chez lui ce soir-là, au lieu d’aller attaquer, un pistolet à la main, une honnête famille d’enseignants que, dans son délire, il rendait responsable de ses échecs.
Pour Me Jean-Robert Phung, l’avocat de Philippe J., les arguments de la famille Ouamalik ne tiennent pas debout.
– Je suis certain que ce garçon qui avait trois litre d’essence sur lui n’est pas venu pour cambrioler, affirme-t-il. Le réflexe qu’a eu mon client, et qui s’est terminé par un drame, en a évité un autre, encore plus atroce : il a sauvé sa vie, celle de son épouse et de son fils. Mais avoir enlevé la vie à quelqu’un est une chose dont il ne se relèvera jamais.
Comme il n’oubliera jamais ces minutes abominables durant lesquelles il a cru mourir, brûlé vif, avec toute sa famille. Il ne faut pas se tromper de procès. Si dans cette histoire, Saïd est mort, c’est bien Philippe J. la victime. Et l’enseignant attend aujourd’hui avec impatience le non-lieu qui lui rendra son honneur.

            En attendant, le professeur et son épouse se disent « paniqués à l’idée de retourner chez [eux] », dans un entretien paru mercredi 28 octobre dans le Midi Libre. « Quand je suis dans un endroit peuplé d’inconnus, sans une personne familière à mes côtés, je me sens très vulnérable et en permanence sur le qui-vive…. Sur le plan professionnel, je n’envisage pas pour le moment de donner à nouveau des cours, a fortiori dans des amphis où l’on se retrouve parfois face à 300 étudiants. Pour moi, je crois que les amphis, c’est terminé, alors que j’adorais ça », a déclaré l’enseignant au quotidien régional. Son épouse ajoute : « Je porte encore les stigmates de cette agression. Pour moi, c’est le masque de l’horreur.Je veux mettre de la distance entre moi et ce visage qui porte encore les traces de la maltraitance. Ce visage, ce n’est pas moi, je ne le reconnais pas », faisant référence aux graves blessures que lui a infligées l’agresseur en la frappant à la tête.

Categories Education, Immigration - Insécurité - Anti racisme
Post navigation
Nouvelles du blog: de la semaine écoulée à celle qui vient…
Le sourire du dimanche…..

4 commentaires pour “L’affaire du professeur agressé de Juvignac, suites… (2/2).”

  1. eric
    vendredi 18 décembre 2009 at 15 h 20 min

    La loi est faite par des français honetes, les juges sont là pour l’appliquer. Laissez au moins la justice déterminer le vrai agresseur et la victime. Respectez la loi et les decisions des magistrats de notre payé.
    Arrêtez vos pulsations racistes et facheuses.
    Merci

  2. Hommet
    lundi 31 janvier 2011 at 16 h 00 min

    A ceux qui mythifient la justice, je conseille d’aller faire un tour sur le site du Syndicat de la magistrature. Il y verront des magistrats politisés à l’extrême gauche, c’est à dire susceptibles d’altérer lourdement leurs décisions par des considérations idéologiques.

  3. sabbatini Jean
    mercredi 25 avril 2012 at 9 h 07 min

    c’est un scandale il est temps de faire le ménage autrement adios

  4. Scaramouche
    jeudi 1 août 2013 at 16 h 42 min

    Le racisme n’a rien à voir ici. Il y a un individu qui rentre chez un autre pour l’agresser c’est donc un cas de légitime défense.

Les commentaires sont fermés.

Archives

Notre marque

Peinture par un jeune artiste Prix de Rome, offerte à l’U.R.P. pour le 7e centenaire de la mort de Saint-Louis [1970] © U.R.P. [Peut être reprise sur autorisation écrite.]

Prince Jean : « Le rôle politique, je l’ai »

« Le rôle politique, je l’ai sans avoir besoin d’être élu. C’est tout à fait dans le rôle d’un prince de pouvoir sortir un peu de cet échange partisan et de s’intéresser au bien commun, à l’intérêt général de la Cité. »

_____________________________________

Direction de Je Suis Français

Yves Boulon – Sylvie Gaud-Hueber – Jean Gugliotta – Jean-Louis Hueber – Paul Léonetti – Gérard Pol.         
_____________________________________



Ce quotidien a un coût. Son audience un prix. Aidez-nous ! Faites un don ! À partir de 5 €. Merci !

Faire un don ? Le plus simple, c’est par PayPal

Dons en ligne – en toute sécurité. Utiliser le bouton PayPal ci-dessous.

Sinon, par chèque

Ordre : Je Suis Français-FRP  –  Envois : Je Suis Français, BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE.

__________________________________

Rubriques Chroniqueurs

POLITIQUE
. Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade. Contribution â l’expression de notre ligne politique [France & Étranger].
. En deux mots, par Gérard Pol. Réflexion sur l’actualité française et internationale.
. Idées et débats par Pierre de Meuse.
. Les chroniques moyen-orientales d’Antoine de Lacoste,
. Les analyses économiques de plusieurs spécialistes.
. Dans la presse et Sur la toile. Des réactions courtes aux articles, vidéos, audios, les plus marquants.
. Les GRANDS TEXTES politiques.
CULTURE
. Péroncel-Hugoz : Journal du Maroc et d’ailleurs [Inédit]. Autres contributions : Histoire, géographie, lectures et reportages.
. Les études de Rémi Hugues ; Histoire, sociologie politique, philo et actualité. Des séries originales et documentées.
. Patrimoine cinématographique et autres sujets  : les chroniques dominicales de Pierre Builly 
. Les éphémérides.
ANNONCES DES PRINCIPALES ACTIVITÉS
du monde royaliste. Presse et revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc.
COMTE DE PARIS – FAMILLE DE FRANCE
. Messages, tribunes, activités, du Prince Jean, Comte de Paris. Les événements de la Famille de France. Et complément : les récits et choses vues de Francesca.
__________________________________

L’Histoire de France  jour après jour. Personnages célèbres, écrivains, savants, artistes, religieux, chefs militaires. Événements majeurs. Œuvres d’art, monuments et sites d’un héritage exceptionnel : le nôtre.

Refonte graphique et technique, corrections factuelles, orthographiques et autres : en cours. Textes ouverts : suggestions bienvenues. À lire tous les jours.

_______________________________

CLIQUEZ SUR LES IMAGES

S’abonner sur le site de Politique magazine : 

____________________________

Le Bien commun. S’abonner …  ICI
_________________________________ 

Les principales activités royalistes annoncées ici. Revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc. Image : © GAR


(Sur le site de l’Action Française)
_________________________________ 

Fédération Royaliste Provençale
Fédération régionale de l’Action Française

Envois postaux : Union Royaliste Provençale, BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE. Messagerie : urp@outlook.fr

ATENTION : l’adresse 48 rue Sainte-Victoire, 13006 MARSEILLE, est supprimée. 
_______________________________ 

Livres à la une

Le dernier ouvrage de Jean-Paul Brighelli, – agrégé de Lettres, qui a enseigné pendant 45 ans :  « La fabrique du crétin – Vers l’apocalypse scolaire« , le tome 2 de son succès d’édition, déjà vendu à 150 000 exemplaires. Cliquez sur l’image.

_________

L’Action française est aujourd’hui le plus ancien et, dans sa continuelle vitalité, le plus constamment jeune des mouvements politiques, toutes tendances confondues. Elle se renouvelle à chaque génération, dans la permanence, sans cesse ravivée et adaptée, d’une doctrine, d’une vision, d’une action. Cliquez sur l’image.
__________________________________

JSF recommande à ses lecteurs d’adhérer à l’Action Française

Chers lcteurs, il ne suffit pas de nous lire. Si vous le souhaitez, si vous le pouvez, nous vous recommandons d’adhérer à l’Action Française, pour soutenir, renforcer, participer au mouvement royaliste. L’année commence, c’est le moment ! Cliquez sur l’image !   JSF
__________________________________

Bernard Lugan : Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentancePrésentation – Table des matières – Commandes  [CLIQUER]

__________________________________

Livres recommandés…

Pierre de Meuse : « Idées et doctrines de la Contre-Révolution »
Le fruit d’une réflexion qui ouvre des perspectives nouvelles, originales et stimulantes, révélant ce que la pensée contre-révolutionnaire peut apporter aujourd’hui à la vie des idées. Préface de Philippe Conrad. [DMM – 2019 – 412 p – 23,50 €].  En savoir plus.
Annie Laurent : L’Islam. Pour s’informer sérieusement …
Pour en savoir plus sur cette indispensable étude, pour commander : ICI

__________________________________

JSF : Contacts

Envois postaux : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE 
Courriel : contact@jesuisfrancais.blog

Librairie de Flore

Cliquez sur l’image.
Le site de la Librairie de Flore vous permet d’accéder à ses produits ! Livres, revues, boutique …
_________________________________

Lettre de JSF : S’abonner, c’est utile et c’est gratuit !




Service quotidien gratuit. Automatique pour les milliers de lecteurs inscrits à la lettre de lafautearousseau. Sinon, abonnez-vous maintenant à la lettre de JSF. Vous la recevrez chaque matin Inscription simple ci-dessous.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique de confidentialité.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Le Prince

Comte de Paris : Retour de l’idée monarchique

https://vimeo.com/285995976?loop=0

Liens

 

 

. Comte de Paris, Site Officiel
. Comte de Paris, Page Facebook 
. Politique Magazine & Revue Universelle
. Maurras.net
. Action Française – Le bien commun

Pages Facebook

                                                                                    Page associée

Commentaires récents

  • mercredi 25 Mai 22:27
    jerry sur Le « désir ardent » du père de…
    “ce n est pas un problème, la notion de race ne peut plus être ignorée maintenant…”
  • mercredi 25 Mai 10:02
    Vachy Robert sur Ukraine… Guerre gigogne
    “Que penser ! l’Amérique est un Ange , la Russie un Diable ! et l’Europe ,…”
  • mardi 24 Mai 17:36
    Christiane lapôtre sur C’est ça la Pologne ! [Vidéo…
    “Pour cette déclaration, je dis bravo à la Pologne. Cette dernière a fermé sa porte aux…”
  • mardi 24 Mai 11:02
    Pierre Builly sur Mathieu Bock-Côté : « La technocratisation…
    “Tout cela ne date pas d’hier, hélas ! Une des premières bouffées de mépris que j’ai…”
  • mardi 24 Mai 09:32
    Francois-xavier Castet du Poët sur Quand Gaspard Proust interpelle le maire…
    “Gaspard Proust souvent très bon est alors fabuleux dans cette attaque !!! Du haut niveau pour…”
  • mardi 24 Mai 07:16
    Richard sur Gilbert Collard, l’indignation d’un « orchidoclaste ». Un…
    “C’est très bien de remettre les compteurs à zéro pour ce qui est des « mises à…”
  • mardi 24 Mai 01:07
    LEPAGE_Philippe sur Champagne, gadgets et pensée complexe, composent…
    “~ Voici » encore cinq ans ruineux de macron ; § Message d’un « Royaliste-Lozérien ».”
  • lundi 23 Mai 19:19
    Christiane lapôtre sur Ce qui peut (vraiment) être reproché…
    “Le moment est venu pour les parents de retirer leurs enfants de l’école publique. La corruption…”
  • lundi 23 Mai 09:00
    Henri sur Avec Pap Ndiaye, historien des Noirs…
    “J.P. Brighelli est un brillant professeur, qui confronté à son métier , l’a aimé, l’a habité…”
  • lundi 23 Mai 08:20
    Jean de Maistre sur Ce qui peut (vraiment) être reproché…
    “Je pense que dans les programmes de littérature de terminale, il faut donner toute sa place…”
  • lundi 23 Mai 08:10
    Claude Armand Dubois sur La composition du nouveau gouvernement vue…
    “Macron est un agent infiltré, par ses provocations il vise à faire monter le RN afin…”
  • lundi 23 Mai 08:05
    Marc Vergier sur Avec Pap Ndiaye, historien des Noirs…
    “Nuance : selon Brighelli la principale menace sur l’école publique n’est pas la gauche (qui y…”
Appel aux lecteurs de Je Suis Français… Pour la sauvegarde du patrimoine matériel de l’Action Française !

Participez à l’opération nationale de sauvegarde du patrimoine historique de l’Action Française, sous le patronage du Secrétariat Général du Mouvement. Tous documents ou objets divers sur le royalisme nous intéressent : photos, films, livres, journaux, correspondance, insignes, drapeaux etc. Ecrire à Michel Franceschetti : chetti133@sfr.fr .   

PEUT-ON SORTIR DE LA CRISE ? Une étude intégrale de Pierre Debray dans JSF

Une contribution magistrale à la réflexion historique, économique, sociale, politique et stratégique de l’école d’Action Française. Étude intégrale à la disposition des lecteurs de JSF, notamment étudiants, chercheurs et passionnés d’histoire et de science économiques.  ENTRÉE

Les créations de JSF : Séries, dossiers, études

Un ensemble de travaux réalisés et publiés par Je Suis Français depuis un peu plus d’un an : études, séries, dossiers regroupés pour être en permanence à la disposition de tous et directement consultables grâce aux liens notés.
© JSF – Peut être repris à condition de citer la source
Pour y accéder, cliquez sur l’image.

__________________________________

Une collection de près de 300 vidéos dont un grand nombre exclusives réalisées par l’Union Royaliste Provençale. © URP/JSF – Reproduction autorisée à condition de citer la source.

Chaîne YouTube Je Suis Français. Pour une plus large audience.  (Création récente)


Vidéos sans présentation ni discussion – au mieux, un titre et 1 à 3 lignes – sans chronologie non plus . Bref, du vrac. Exfiltré de la toile. Pourquoi pas ? Piochez. Comme dans le Chant des Marais.
__________________________________

Publications amies … Deux mensuels, une revue [liens plus haut]

Le Bien commun
Politique magazine
NRU

A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.

Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Péroncel-Hugoz sur JSF … Chroniques à suivre

Le jeudi : Journal du Maroc et d’ailleurs [Inédit]. Autres contributions : Histoire, géographie, lectures et reportages. Parmi les dernières parutions : Autodafé et contre-autodafé pour les orientalistes. Cliquer  I et II  A lire !  ■ __________________________________

B2M, Belle-de-Mai éditions : nombreuses  publications utiles… 
Textes illustrés choisis dans Maurras et notre temps, d’Henri Massis La Palatine, Plon, 1951 – Juin 2020 – 104 pages.
Deux versions de cette réédition du centenaire de L’Enquête : classique et luxe. Extraits de l’éditions de 1925 – Août 2020 – 120 pages.
Avant-propos de Laurent James – Août 2020 – 151 pages.
Commander ou se renseigner à l’adresse ci-après : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net
  • Contact
  • Mentions Légales
  • Politique de Confidentialité
Je Suis Français © 2019 Tous droits réservés.

Site réalisé par Eva Giraud Web
Retour en haut de page