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L’affaire du professeur agressé de Juvignac, suites… (2/2).

vendredi 21 juin 2019samedi 12 décembre 2009 sur JSF

            Pour celles et ceux qui auraient raté le début…

            II : Le rappel et l’exposé des faits.

            Décembre 2008. Philippe J. (le nom a été changé, ndlr) vient de terminer son cours, dans l’amphithéâtre de la faculté de sociologie de Montpellier. L’enseignant va quitter la salle lorsqu’un étudiant s’approche de lui.– Vous pourriez pas valider les matières où j’ai eu de mauvaises notes ? lui demande-t-il.      

            Philippe J. le regarde, interloqué, sans pouvoir mettre un nom sur son visage. Le jeune homme, un petit brun trapu, a l’air d’avoir au moins 25 ans. Un de ces « vieux » étudiants qui redoublent leurs années de fac, sans qu’on sache très bien pourquoi ils s’acharnent à suivre des études pas faites pour eux.

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– Si vos notes sont médiocres, c’est impossible, répond le professeur.
Mais l’autre, un certain Saïd Ouamalik, insiste. Il lui pose familièrement sa main dans le dos.
– Mon ami, on peut toujours trouver une solution, dit-il avec une désinvolture qui frise l’insolence.
Gardant son calme face à ce qu’il faut bien appeler une tentative de corruption, Philippe J. réplique sèchement :
– Une solution ? Il y en a une. Il suffit de repasser vos examens.
Et il lui tourne le dos, passe à autre chose sans savoir qu’ils vont se revoir…

Lundi 19 octobre 2009. Les J. passent tranquillement la soirée chez eux, à Juvignac, près de Montpellier. Cela fait cinq ans qu’ils se sont installés dans le quartier résidentiel de Fontcaude, sur les hauteurs du bourg, d’où on a une vue superbe sur le lac et le golf. Ils y habitent une maison à la façade rose pâle, entourée d’un jardinet bien entretenu. Philippe J., comme tous les soirs, a fermé à clé la porte d’entrée. Il travaille à ses cours auprès de son épouse, Clélia, docteur en sociologie comme lui. Là s’arrête d’ailleurs leur ressemblance. Alors que Philippe, âgé de 45 ans, est grand et bien charpenté, Clélia, une jeune femme d’origine brésilienne, est toute menue. Leur fils Martin, un garçon de 11 ans, joue sur son ordinateur dans sa chambre, à l’étage.
Il est environ 22 h 30 lorsque l’enseignant croit entendre grincer la poignée de la porte d’entrée. Inquiet, il va voir, déverrouille, s’avance sur le perron. A peine a-t-il remarqué que le portillon donnant sur la rue est ouvert qu’une ombre jaillit de l’obscuri té et bondit sur lui.
– Bouge pas ! ordonne une voix masculine.
L’homme, cagoulé, braque un pistolet sur la tête de Philippe, et le repousse à l’intérieur de la maison. Sa femme, alertée par le bruit, s’est levée de son fauteuil.
– Couchez-vous sur le sol, face contre terre ! lance l’inconnu. Et écartez les jambes.
« Il va la violer ! », pense Philippe J., atterré. Mais l’homme a une préoccupation plus urgente. Il veut savoir s’il y a d’autres personnes dans la maison. Philippe lui explique que son fils est à l’étage. L’individu hurle au garçon de descendre. Et le petit Hugo, terrorisé, est contraint de s’allonger à côté de ses parents.
– Vous avez de l’argent ?
– Seulement quelques bijoux et des ordinateurs.
Un simple cambriolage ? Philippe se sent vaguement rassuré. Mais l’individu s’énerve. Se met à insulter Clélia alors qu’elle a légèrement bougé.
– Si ça se passe pas bien, je repars avec un organe ! menace-t-il.
Fait-il allusion à une mutilation ? Le voilà en tout cas qui sort de son sac à dos une bouteille d’essence et qui asperge ses victimes.
– J’ai un briquet, si vous bougez, je vous brûle ! lance-t-il d’un ton menaçant.
Et l’horreur s’abat sur les trois occupants de la maison.
Hugo, de l’essence plein les yeux, ne peut s’empêcher de pleurer. Le cambrioleur plonge à nouveau la main dans son sac et il en sort un rouleau de cordelette. Cette fois, Philippe J. est paniqué. Couverts d’essence et attachés, ils seront complètement à la merci de ce fou furieux. Clélia a suivi le même raisonnement, c’ est la première à réagir. Elle tente de se relever, mais l’autre lui balance un violent coup de pied dans la tête. Alors, sans plus réfléchir, Philippe se rue sur l’inconnu et lui attrape le poignet qui tient le pistolet. Par chance, l’homme porte des gants de laine, et l’arme lui glisse de la main. Philippe le fait tomber et le maintient par terre, lui bloquant le thorax de ses deux bras.
Clélia est déjà dehors.
– Il va les tuer ! hurle-t-elle dans la rue, tout en courant chez ses plus proches voisins.
Ceux-ci appellent aussitôt les gendarmes. Hugo tente lui aussi de téléphoner aux secours. Mais son père lui ordonne de sortir tout de suite de la maison et d’aller se mettre en sécurité. Resté seul avec le cambrioleur, Philippe se demande avec angoisse combien de temps il va réussir à le retenir prisonnier. L’autre, qui pèse au moins 80 kilos, se défend comme un diable, et l’essence a rendu le sol glissant. « Si je le lâche, pense Philippe, il va faire un carnage. Il va me tuer, et il s’en prendra ensuite à ma femme et mon fils… » Et il tient bon, parvenant même à resserrer sa prise.
Au bout de dix minutes – autant dire une éternité – l’enseignant entend enfin une voiture s’arrêter devant la maison, et il aperçoit des uniformes à la porte du salon. Pourtant, il n’est pas au bout de ses surprises. D’abord, les militaires, ne sachant qui est l’agressé et qui est l’agresseur, le plaquent sur le sol, face contre terre, et lui passent les menottes.
– Je suis le propriétaire, proteste-t-il en vain.
Ensuite, il entend un gendarme, penché sur l’inconnu masqué, déclarer que « l’homme est mort ». Enfin, on lui annonce que le cambrioleur porte sur lui une carte d’étudiant en sociologie. Et ce n’est qu’au moment où un enquêteur lui arrache sa cagoule qu’il le reconnaît : il s’agit de l’étudiant qui lui avait demandé de « trouver une solution » à ses mauvaises notes…
C’est bien Saïd Ouamalik qui gît sans vie dans le salon de la maison. Mort d’un arrêt cardiaque, dira l’autopsie. En fait, le cœur, compressé entre la cage thoracique et la colonne vertébrale, a lâché. Reste à savoir ce que le jeune homme de 26 ans faisait en pleine nuit, déguisé en cambrioleur, au domicile de son professeur.
Saïd Ouamalik n’est pas un inconnu pour la justice. Son casier judiciaire mentionne une condamnation pour violences aggravées. Mais une rapide enquête va permettre aux gendarmes de dresser un portrait autrement inquiétant de l’étudiant en sociologie.
Le premier incident remonte à 2004, alors que Saïd, dont la famille habite à Uzès dans le Gard, prépare un bac technique dans un lycée de Nîmes. Un jour, le garçon a une banale altercation avec un camarade de classe. Le soir même, il lui téléphone.
– Je viens chez toi, je vais te mettre le feu ! lui dit-il.
Ce n’est pas une menace en l’air. Un peu plus tard, les gendarmes l’interpellent en flagrant délit, alors qu’il est en train de répandre de l’essence devant la maison des parents de son camarade. Durant sa garde à vue, le garçon est examiné par un psychiatre. « Schizophrène », diagnostique le médecin. Déclaré irresponsable, il est hospitalisé durant deux mois dans un service psychiatrique avant d’être relâché.
Bachelier en 2005, Ouamalik s’inscrit en licence de sociologie. Il réussit sa première année, mais échoue l’année suivante. Au printemps 2008, il apprend qu’il doit redoubler. C’est à cette occasion, on l’a vu, qu’il tente de convaincre Philippe J. d’arranger ses notes. Et c’est le second incident. Quelques semaines plus tard, les bureaux des professeurs de sociologie de l’université Paul-Valéry brûlent. L’origine criminelle de l’incendie ne fait aucun doute : on a retrouvé sur place de l’essence, du retardant et des cordelettes. L’université porte plainte. Saïd, compte tenu de son passé, fait figure de suspect. Mais les policiers ne parviendront pas à le confondre…
Tandis que Philippe J., placé en garde à vue, explique en détail les circonstances de l’agression, les gendarmes inspectent le sac à dos de l’étudiant. L’inventaire est éloquent : une
paire de menottes, un rouleau de ruban adhésif, des cordelettes, deux bouteilles d’essence de 1,5 litre et même une tenue blanche en cellophane, de celles qu’utilisent habituellement les techniciens de l’identification criminelle. Bref, avec les gants, la cagoule et le pistolet, la parfaite panoplie du « saucissonneur ». Saïd n’avait donc pas seulement l’intention de cambrioler l’enseignant et sa famille. Il avait prévu, au moins, de les séquestrer. Et ensuite ? On n’ose pas imaginer les scénarios qu’il avait en tête au moment où il a vu les trois victimes à sa merci…
Le mardi après-midi, le procureur adjoint de Montpellier, Georges Guttierez, annonce que Philippe J. a été remis en liberté. Pour le parquet, la thèse de la légitime défense ne semble faire aucun doute.
– On peut parler d’un instinct de survie, c’était une lutte à mort, explique le magistrat.
Pourtant, il ajoute dans la foulée que l’enseignant a été mis en examen pour « homicide volontaire » par le juge d’instruction. Autrement dit pour « meurtre ». Bien sûr, Philippe J., dont la version des faits coïncide parfaitement avec les constatations des gendarmes, devrait bénéficier rapidement d’un non-lieu. Reste que cet homme qui n’a fait que protéger sa famille se retrouve avec cette étiquette infamante, alors qu’une simple mise en examen pour homicide involontaire aurait suffi.
Seule la famille de Saïd conteste la thèse de la légitime défense. Certes, Boussa Ouamalik, le père du jeune homme, qui habite une petite cité à la périphérie d’Uzès, reconnaît que son fils « avait un différend avec son professeur ».
– Pour nous, Saïd est allé là-bas, à Juvignac, pour régler ses comptes, dit-il. Depuis l’année dernière, il nous parlait de ce prof…
D’autant que le jeune homme, qui avait repassé ses examens en septembre, venait d’apprendre qu’il était recalé, ce qui l’aurait rendu fou de rage. Le père de Saïd admet également que « le feu, c’est son mode opératoire », confirmant implicitement que son fils aurait pu se venger de l’enseignant en le faisant périr au milieu des flammes. Et malgré tout, il réfute la thèse des enquêteurs.
– On se pose plein de question, renchérit un oncle du garçon. Soyez sûr que ce professeur était au courant de la venue de Saïd. Je me demande même s’il n’a pas préparé sa réception. En plus, il n’a pas pu le tuer tout seul.
En clair : Saïd serait tombé ce soir-là dans un guet-apens tendu par un enseignant machiavélique. Et l’oncle de conclure :
– Je ne crois pas à cette histoire de légitime défense.
L’avocat des Ouamalik, Me Jean-Charles Teissèdre, s’est constitué partie civile au nom de la famille. Lui aussi émet de sérieux doute concernant la version des enquêteurs. Il rappelle que dans ses premières déclarations, l’adjoint au procureur avait un peu vite annoncé que Saïd était mort par strangulation, alors que l’autopsie a révélé qu’il a été victime d’une compression du cœur.
– Comment fait-on pour tuer un homme à mains nues quand on n’est pas un spécialiste des sports de combats ? s’interroge-t-il. D’autre part, il sera important d’établir à quel moment cette mort a eu lieu, et si elle pouvait être évitée.
En ce qui concerne cette dernière question, la réponse est évidente : oui, la mort de Saïd aurait pu être évitée. Il aurait suffi pour cela que le jeune homme reste chez lui ce soir-là, au lieu d’aller attaquer, un pistolet à la main, une honnête famille d’enseignants que, dans son délire, il rendait responsable de ses échecs.
Pour Me Jean-Robert Phung, l’avocat de Philippe J., les arguments de la famille Ouamalik ne tiennent pas debout.
– Je suis certain que ce garçon qui avait trois litre d’essence sur lui n’est pas venu pour cambrioler, affirme-t-il. Le réflexe qu’a eu mon client, et qui s’est terminé par un drame, en a évité un autre, encore plus atroce : il a sauvé sa vie, celle de son épouse et de son fils. Mais avoir enlevé la vie à quelqu’un est une chose dont il ne se relèvera jamais.
Comme il n’oubliera jamais ces minutes abominables durant lesquelles il a cru mourir, brûlé vif, avec toute sa famille. Il ne faut pas se tromper de procès. Si dans cette histoire, Saïd est mort, c’est bien Philippe J. la victime. Et l’enseignant attend aujourd’hui avec impatience le non-lieu qui lui rendra son honneur.

            En attendant, le professeur et son épouse se disent « paniqués à l’idée de retourner chez [eux] », dans un entretien paru mercredi 28 octobre dans le Midi Libre. « Quand je suis dans un endroit peuplé d’inconnus, sans une personne familière à mes côtés, je me sens très vulnérable et en permanence sur le qui-vive…. Sur le plan professionnel, je n’envisage pas pour le moment de donner à nouveau des cours, a fortiori dans des amphis où l’on se retrouve parfois face à 300 étudiants. Pour moi, je crois que les amphis, c’est terminé, alors que j’adorais ça », a déclaré l’enseignant au quotidien régional. Son épouse ajoute : « Je porte encore les stigmates de cette agression. Pour moi, c’est le masque de l’horreur.Je veux mettre de la distance entre moi et ce visage qui porte encore les traces de la maltraitance. Ce visage, ce n’est pas moi, je ne le reconnais pas », faisant référence aux graves blessures que lui a infligées l’agresseur en la frappant à la tête.

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4 commentaires pour “L’affaire du professeur agressé de Juvignac, suites… (2/2).”

  1. eric
    vendredi 18 décembre 2009 at 15 h 20 min

    La loi est faite par des français honetes, les juges sont là pour l’appliquer. Laissez au moins la justice déterminer le vrai agresseur et la victime. Respectez la loi et les decisions des magistrats de notre payé.
    Arrêtez vos pulsations racistes et facheuses.
    Merci

  2. Hommet
    lundi 31 janvier 2011 at 16 h 00 min

    A ceux qui mythifient la justice, je conseille d’aller faire un tour sur le site du Syndicat de la magistrature. Il y verront des magistrats politisés à l’extrême gauche, c’est à dire susceptibles d’altérer lourdement leurs décisions par des considérations idéologiques.

  3. sabbatini Jean
    mercredi 25 avril 2012 at 9 h 07 min

    c’est un scandale il est temps de faire le ménage autrement adios

  4. Scaramouche
    jeudi 1 août 2013 at 16 h 42 min

    Le racisme n’a rien à voir ici. Il y a un individu qui rentre chez un autre pour l’agresser c’est donc un cas de légitime défense.

Les commentaires sont fermés.

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Louis de Bourbon, bon prince espagnol qu’il faut honorer pour avoir défendu la mémoire de son arrière-grand-père le général Franco


Qu’on en juge [photos & textes] en lisant quelques extraits de l’article que Match lui a consacré, le 2 juin à propos de l’affaire Franco* :

« Sous les plafonds bas de cet appartement aux allures de musée, les portraits en pied de Franco paraissent plus grands et les bustes de bronze plus massifs. Le descendant d’Henri IV, Louis XIV et Alphonse XIII nous reçoit dans le quartier du stade Santiago Bernabeu, le fief du Real Madrid, au siège de la Fondation Franco, dont il est président d’honneur. En donnant sa fille unique, devenue duchesse de Franco, au marquis Cristobal Martinez-Bordiu, le général Franco ne pouvait deviner qu’une de ses petites-filles épouserait un Bourbon et que de leurs amours naîtrait Louis-Alphonse de Bourbon.
(…)  Il n’avait que 1 an et demi à la mort de Franco mais, à 14 ans, il est parti vivre chez sa grand-mère, Carmen Franco y Polo, qui lui a transmis la geste familiale. Le prince aimerait que soit davantage mentionné le rôle joué par Franco dans le « renouveau économique et social du pays, ce qui a permis, notamment, l’émergence d’une classe moyenne », et pas seulement l’aspect répressif et dictatorial de son régime. Mais il se défend de faire de la politique. »
« (…) Outre ses raisons familiales, le prince s’oppose également à cette exhumation (celle de Franco) « pour des questions d’éthique ». « Où que ce soit dans le monde, il faut respecter les morts ».

* MATCH

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