« …Le pouvoir rend stupide. Les cigares des uns, les avantages des autres… ils ne voient plus de limites. On ne se rend pas compte à quel point les gens sont blessés par ces affaires. 221 ans après la Révolution, il faut en finir avec ces privilèges… »
Il en a, de la chance, Bayrou : ses échecs répétés, qui le privent du pouvoir, lui permettent, au moins, de rester lucide.
Contraint et forcé, mais lucide tout de même.
Et de s’approcher de la vérité; et, comme nous, de se demander : tout ça, pour ça ?…
Antiquus sur L’Église, la République et le théorème…
“Bon, vous êtes blessé par les paroles « blasphématoires » de cet Aurélien Marcq. Mais l’excuse d’impuissance dont…”