« Parce que tout le monde boit, tout le monde croit qu’il sait boire… » : on s’en souvient, c’était, il n’y a pas si longtemps, un slogan du Ministère de la Santé cherchant à mettre en garde contre les méfaits d’une consommation non maîtrisée d’alcool…
L’humour, c’est pareil, et c’est comme tout : ce n’est pas parce que certains ou certaines en font, ou croient en faire, qu’ils savent en faire, et que c’est, réellement, de l’humour.
Le fait que Sophia Aram ait traité de « gros c… » les électeurs du Front National dans l’une de ses récentes chroniques de France Inter, où elle est censée tenir le rôle de comique/amuseur du matin, laisse dubitatif. L’insulte est peut-être, en effet, sa conception de l’humour, mais alors cette conception-là n’est pas, et ne sera pas, partagée par un grand nombre de nos concitoyens…
Sophia Aram est d’origine marocaine : attendons de voir sa réaction lorsque – et cela risque de ne pas manquer… – quelqu’un lui répondra, en arguant du sens de l’humour « façon Aram », que les gens de telle ou telle origine ethnique sont de « gros c… » et, s’il s’agit de femmes – parité oblige… – de « grosses c… ».
Selon sa réaction et celle de ses amis, à ce moment-là, on verra qu’elle est la réalité, la profondeur, la sincérité de son supposé sens de l’humour…
A moins que ce ne soit ce qu’elle cherche, par ses propos outranciers qui relèvent de tout, et surtout de la provocation, sauf de l’humour : pousser des gens à se mettre à son niveau de caniveau, et lui répondre dans son registre : celui de la bêtise, tout simplement, et en aucun cas de l’humour.
Cet humour qui est une chose si supérieure, si utile et si saine qu’il ne faut en aucun cas le confier à des pseudo-humoristes du genre de Sophie Aram, qui salissent ce qu’ils touchent, et, bien loin de faire rire, n’arrivent qu’à le dénaturer…
il y a bien longtemps que je n’écoute plus cette radio qui est d’une nullité crasse, d’un parit pris scandaleux lorsqu’on considère qu’elle est financée par l’impot, bref, on est loin ces dossiers d’info des années 60 et des émissions comiques de l’époque.
Parti pris et engagement idéologique scandaleux, certes; il n’en demeure pas moins qu’on entend parfois sur France inter de véritables pépites, comme les propos de Bernard Maris tenus samedi (dont nous parlons aujourd’hui), ceux de Bernard Morin il y a peu, etc… etc… Malgré le positionnement « à gauche, toutes », certes anormal et injustifiable, de France inter, on ne peut ignorer les bonnes choses que l’on peut y entendre : le diable porte pierre….
D’origine marocaine dites-vous ? encore une fausse française…(peut-être avec une double nationalité….
Il faudrait à mon sens pour occuper un poste politique, judiciaire ou dans les médias, et bien sûr pour voter, pouvoir présenter 4 ou 5 générations d’ascendants français…
Droite ou gauche, rouge ou blanc, ancien ou moderne, où se situent les royalistes? Sur un axe transversal, par dessus les pôles, loin des empoignades partisanes, rétifs à toute forme d’hémiplégie mentale. Ils étonnent, confortent les uns et frustrent les autres et inversement.
C’est pourquoi l’opinion de Sophia Aram est secondaire et dérisoire. Celà démontre simplement sa nullité crasse.
Ce qui importe le plus, dans les conditions actuelles, est de poursuivre le travail d’analyse et de proposition, tout en restant plus que jamais attentifs aux changements.
Un lecteur nous envoie ce communiqué, à propos de Sophia Aram, qu’il a trouvé chez (ou reçu de…) Steeve Briois:
Le 23 mars dernier, entre les deux tours des cantonales, Sophia Aram, pseudo-humoriste et chroniqueuse sur une radio publique, avait insulté les électeurs du Front National en les qualifiant de « gros cons », oubliant au passage que ces « gros cons » sont aussi des contribuables qui la rémunèrent.
Aujourd’hui on apprend que Madame Aram mère, adjointe au maire socialiste de Trappes (78) est poursuivie devant la justice pour avoir fait croire à des immigrés clandestins qu’elle pourrait leur obtenir des titres de séjour contre de l’argent.
Pire, devant les menaces des clandestins qui ne voyaient rien venir, elle aurait même tenté de les rembourser avec des chèques d’une association qu’elle préside. Il serait d’ailleurs curieux de savoir si cette « honorable » association perçoit de l’argent public.
Puisque Sophia Aram utilise sa chronique sur une radio publique pour s’offusquer de la montée du Front National dans l’opinion publique, nous attendons avec impatience qu’elle dénonce, sur cette même radio, ceux qui utilisent la détresse des clandestins pour extorquer des fonds ou qui utilisent l’argent d’une association pour acheter leur silence.