C’est dans des locaux agrandis, repeints et remis à neuf par les militants, que les amis de l’Action Française (CRAF) se sont retrouvés, ce vendredi 7 octobre, en soirée, à Paris, au 10 rue croix des Petits Champs.
Dans l’assistance, l’on comptait, aussi, des amis de la Restauration Nationale, parmi lesquels Maître Georges Rousseau président de la RN Ile de France, Suzanne Loetscher ou Louis Juhel.
Voici le compte-rendu qui en a été donné par les organisateurs :
« Olivier Perceval donnait le ton en montrant que la République, qui s’était toujours adossée sur la nation, au point d’essayer, non sans succès hélas, d’organiser la confusion dans les esprits entre les deux entités, aujourd’hui abandonne ce socle solide au profit de l’Europe supranationale évanescente. Ce faisant, elle se fragilise considérablement et les notions de combat pour la citoyenneté et la laïcité républicaine paraissent bien faibles, comme le rappelle un rapport récent de l’Institut Montaigne, face à la montée de l’Islam par exemple. Il nous appartiendra de mettre en évidence cette contradiction républicaine « sans jeter le bébé avec l’eau du bain ». Pour défendre la Nation il faut abattre la République, qui n’est même plus nationaliste.
Cela nous donnera les axes de notre combat cette année en période cumulée de crise économique, sociale et morale. L’élection présidentielle nous donnera l’occasion de faire entendre notre voix et nous avons bien l’intention de parler haut et fort.
Les prochains rendez-vous militants seront le premier novembre, au cimetière Vaugirard, pour honorer les morts de l’Action Française assassinés par le régime, et le 11 novembre, en haut des champs Elysées, pour saluer le premier acte de résistance initié par des royalistes en 1940. Nous serons également là pour nous opposer aux deux spectacles blasphématoires que voudrait nous infliger la Jet-set avec la complicité du régime.
Antoine Desonay, responsable des étudiants et lycéens de la région Parisienne prenait la parole à son tour pour annoncer la reprise des cercles étudiants ainsi que des activités militantes. Il rappela que le militantisme était un engagement et qu’il ne pouvait souffrir la concurrence d’autres activités qu’il est bon de pratiquer dans le cadre d’une bonne éducation bourgeoise. Après ce discours roboratif qui enthousiasma les militants, c’était au tour d’Yves Allard, président de l’Association Marius Plateau, d’évoquer les militants d’Action Française et Camelots du Roi morts pour la France ou assassinés par des « anarchistes », au service du Ministère de Intérieur sous la Troisième République.
Il insista sur l’importance d’honorer nos morts et d’en méditer l’exemple de courage et de détermination. Il insista sur la nécessité d’être présents nombreux au cimetière de Vaugirard, le matin du premier novembre.
Les combats qui se présentent à nous aujourd’hui nécessiteront aussi cet engagement sans faille dont parlait précédemment Antoine Desonay.
Après de vifs applaudissements nous nous retrouvâmes dans le local des étudiants, rue du Pélican, pour partager le verre de l’amitié, agrémenté de quelques nourritures plus substantielles. «
Claude Armand Dubois sur À Marseille, deux nouveaux morts sur…
“DZ c’est Djezaïri l’Algérie, c’est donc la mafia algérienne, curieux que personne ne l’ai relevé! ignorance?…”