… viennent confirmer nos analyses, ce dont nous ne nous réjouissons pas…
1. Le mardi 12, dans un bus, un « jeune » de 14 ans s’amuse; tous ceux qui parlent la langue du politiquement et du journalistiquement correct savent ce que veut dire « un jeune de 14 ans », et de qui il s’agit… Son jeu ? Appuyer, à chaque redémarrage du Bus, sur le bouton « Arrêt demandé », même si personne, et surtout pas lui, ne souhaite descendre; une fois, deux fois, ça passe encore; au-delà, évidemment, ce « jeu » crée un ralentissement sensible de la progression du Bus, et une gêne certaine pour tous. Le chauffeur demande au « jeune » de s’arrêter; une fois; deux fois; trois fois… sans résultat; le chauffeur devient insistant : le « jeune » sort un cutter et se jette sur lui, et lui taillade le visage. Charmant bambin !… Résultat concret : le chauffeur a la joue ouverte, et les Marseillais sont privés de Bus, Tram, Métro et tutti quanti le mercredi.
Merci, le « jeune » !…
Durant cette grève, interrogé par un journaliste, un des chauffeurs grévistes explique : « Lorsque nous arrivons à un arrêt de bus avec le moindre retard, quelle qu’en soit la raison, ce sont des insultes; les jeunes montent sans payer… vous pensez si, en plus, je vais leur demander de prendre leur billet !… »
Soyons francs : c’est inadmissible, mais on le comprend : se faire trouer la peau pour un ticket de bus, en sachant pertinemment que le « jeune » qui n’a pas acheté son billet sera illico défendu par toutes les Associations qui vivent grassement à nos crochets, par le biais de subventions venant de nos impôts !…
2. Quelques heures plus tard fusillade mortelle pour deux autres « jeunes » (un troisème « entre al vie et la mort »…) dans une de ces Cités où un certain candidat, « normal », a obtenu 93% des voix à la présidentielle (comme son ex-épouse cinq ans auparavant…). Réponse du gouvernement : du cinéma, de la gesticulation, du pipeau : on envoie deux compagnies de CRS (qui partiront dans deux/trois jours), alors qu’il faudrait prendre le problème à bras-le-corps, et « aller à la source » : déchoir et expulser, massivement, des délinquants d’origine étrangère qui n’ont rien à faire chez nous.
Alors, qu’est-ce qu’on fait ? On évite d’appeler un chat, un chat, pour ne pas risquer le reproche de « populisme » ? Et ne pas être accusé de vouloir la guerre civile ?
Ou on demande – ce que nous faisons, et qui n’a rien à voir – une politique de « libération nationale » ?…
Déchoir expulser et donc remettre en cause la nature du Système qui est le nôtre.pdf
Marc Vergier sur État de la France I. ▬…
“Plus généralement et sans ambages : nous assistons à, au moins, deux débâcles. -la débâcle d’une…”