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Frédéric Rouvillois au Figaro : « Le mot ‘République’ est à la fois vide et sacré »

lundi 26 octobre 2015 sur JSF

 

Dans Être (ou ne pas être) républicain, Frédéric Rouvillois,  professeur de droit et historien, décortique les sens contemporains d’un mot dont Le Figaro nous dit qu’il est de plus en plus galvaudé dans le discours politique et médiatique. Le débat sur la République, sur ses valeurs, sur la pertinence de la forme républicaine de l’Etat, sur la dialectique république ou monarchie, semble en effet devoir se prolonger et s’approfondir … A vrai dire, cette sorte de contestation de la République, de ses valeurs, et même de ses fondements les plus essentiels par la remise en cause des Lumières, semble être devenue latente, voire banale, dans le débat politique français. Après tout, les déclarations Macron de cet été pointant l’incomplétude de notre démocratie et constatant qu’il manque un Roi n’ont peut-être été qu’un épiphénomène d’une tendance plus lourde. Souhaitons-le à la France.   Lafautearousseau

         

frederic-rouvillois.jpgQu’est-ce que la République : un régime, une période de l’histoire de France, un mythe ?

Mon livre n’est pas un traité de philosophie politique qui partirait de Platon, passerait par Rome et traverserait l’Atlantique pour analyser la constitution américaine. C’est une réflexion sur l’utilisation compulsive dans le discours public du mot « République ». Un recueil établi par Marianne au lendemain du 11 janvier sur les grands textes au sujet de la « République » illustrait à merveille ce fourre-tout qu’est le mot « république » : on y trouvait des écrits allant de Platon, chez qui la République est une utopie totalitaire, à Jean-François Kahn, en passant par Élisabeth Badinter et Charles de Gaulle qui était monarchiste !

Selon l’article 89 alinéa 5 de notre Constitution, « la forme républicaine du Gouvernement ne peut faire l’objet d’une révision.» Mais personne ne sait au juste en quoi consiste cette « forme républicaine » : est-ce l’absence de monarchie ? La souveraineté ? Le système de sécurité sociale mise en œuvre après la guerre ? C’est un mot sans consistance, un trou noir qui paralyse la pensée et empêche tout débat profond sur les idées politiques.

Après les attentats de janvier, le mot « République » a retrouvé une consistance. Pourquoi en temps de crise ce mot a-t’il pris autant de place dans le discours public ?

En moment de crise, on a besoin de se rattacher à une idole, ou à un doudou. La République est un peu les deux pour les Français déboussolés. Autrefois, on parlait de France ou de Nation, mais aujourd’hui, par européisme et « antifrontisme », on n’ose plus employer ces mots. Pourtant, la république et la France ne se confondent pas.

En période difficile, on se tourne vers le sacré, et la République tend à devenir une religion de substitution. Lors de la première moitié du XXe siècle, le gouvernement faisait célébrer des messes pour la nation, aujourd’hui, il psalmodie l’adjectif « républicain » comme un remède miracle aux fractures françaises.

La « République » est devenue un sacré ultime, un mot à la fois inconsistant et intouchable, qu’il suffit de lancer pour glacer les oppositions, figer le débat. C’est un mot qui n’admet pas de répliques. Un tabou. On ne peut pas ne pas être républicain. Invoquer la République, c’est donner un coup de phare au lapin qui traverse la route.

Pourtant, sous la Troisième république, le mot semblait avoir un contenu bien précis et substantiel…

Dans son livre sur de Gaulle, Peyrefitte raconte comment celui-ci était fasciné par la manière dont la troisième République a travaillé à imposer ce mot comme un absolu indiscutable, à travers toute un système d’ingénierie sociale : manuels d’histoire, enseignement primaire et secondaire, presse. La religion républicaine concevait l’éducation comme un système de formatage destiné à républicaniser le pays.

La Troisième République correspond à la période de construction d’une « légende républicaine », qui est un « mythe » au sens de Georges Sorel : quelque chose dont la véracité historique importe peu, mais qui peut faire sens. Régis Debray en parle avec beaucoup de lyrisme. Ce mythe d’un pseudo âge d’or de la République et de ses libertés a été remis en cause par Jean-Pierre Machelon dans La République contre les libertés, qui montrait qu’en réalité la Troisième République était sur certains plans extrêmement liberticide, notamment en matière de liberté religieuse et éducative. Ainsi, la loi de 1901 autorise la liberté d’association mais oblige les congrégations religieuses à se faire reconnaître par la loi, ce qui arrive rarement à une époque où le Parlement est foncièrement anticlérical. Ce mythe repose aussi sur une vision tronquée de la laïcité qui était à l’époque un anticléricalisme virulent et fanatique, et non pas la simple neutralité de l’Etat. Le mythe du Progrès est aussi consubstantiel à la légende républicaine : l’idée qu’on passerait « de l’ombre à la lumière » – expression utilisée lors de l’élection de Mitterrand en 1981 – est paradigmatique du discours républicain. La thématique de l’acquis intangible et d’un effet de cliquet permanent est liée à cette vision du Progrès : on ne peut pas retrouver en arrière, un monde ante-républicain est inenvisageable.

On associe souvent le mot « républicain » à la défense de la laïcité. Pourquoi ?

Il n’y a pas de lien nécessaire entre la laïcité et la République. Les États-Unis sont un modèle de république où la laïcité n’existe pas. En France, la laïcité est une notion incantatoire, floue, et surtout tardive. Ce n’est qu’en 1946 qu’elle se voit reconnaître une valeur juridictionnelle. C’est un amendement communiste, déposé par le député stalinien Étienne Fajon, qui fait entrer la laïcité dans la titulature de la République française qui devient « laïque ». La Troisième République n’est pas fondée sur la laïcité. Le mot est très peu utilisé à l’époque, et n’est employé que de manière agressive, comme dans l’article de Fernand Buisson (idole républicaine de Vincent Peillon) intitulé « la religion laïque ». La laïcité y est présentée comme une contre-religion de la raison. Comme toutes religions, elle a ses rites : le baptême républicain est d’ailleurs encore pratiqué dans certaines mairies de gauche : on dépose un bonnet phrygien sur la tête du nouveau-né lors d’une cérémonie !

La droite française a pris le nom de « Républicains »: que vous inspire ce choix  ? La République est-elle de gauche ou de droite ?

L’utilisation du mot « républicain » dans la dénomination des partis politiques est répandu, de l’extrême gauche à l’extrême droite de l’échiquier politique, et ce depuis au moins 1890. Sous la Troisième république, le parti Franciste de Marcel Bucard, ouvertement fasciste, réclame une « forme républicaine de gouvernement ». Au début de la IVème République, le Parti républicain de la liberté est ultra conservateur, tandis que l’Union des nationaux indépendants et républicains rassemble les pétainistes, et le Rassemblement des gauches républicaines, les anciens Croix de feu du colonel de La Rocque! On le voit bien, le mot « républicain » n’a aucune signification politique et a pu se faire récupérer par la gauche comme par la droite. Que la droite ait décidé de se baptiser ainsi n’a rien d’étonnant. On peut y voir un coup de chapeau à la droite américaine, mais aussi et surtout une volonté de rassembler avec le mot le moins clivant qui soit. L’adjectif « patriotes » est par exemple beaucoup plus marqué.

On oppose souvent la République au communautarisme, mais la république n’est-elle pas une forme de communauté ?

Il y a une affinité historique et sémantique entre la République, au sens de res publica, la chose publique, et la communauté, ce qui rassemble. La République française, telle qu’elle a été mythifiée à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle prétend dépasser les communautés dans une religion de substitution. Mais dès l’Ancien régime, on parlait de « républiques » pour désigner les communautés régionales. On peut tout à fait définir la République comme « communauté ». Henri IV et François 1er parlaient de « République française ». Maurras parlera dans le même sens de la « République de Martigues ». Mais un autre usage du mot « république » est celui qui le lie à la souveraineté. C’est le sens que lui donnait Jean Bodin en 1576 dans son livre Les Six livres de la République. Il définit la république par la souveraineté, et l’identifie à l’État, c’est-à-dire l’appareil qui s’exerce sur une population définie dans un lieu donné, par un pouvoir souverain, c’est-à-dire qui n’a personne au-dessus de lui. C’est dans ce double sens, de communauté ou de souveraineté, qu’on l’a utilisé jusqu’à la Révolution, et sa mythification en religion de substitution.

Vous dites que le mot « républicain » paralyse actuellement le débat public. Vous parlez même d’archaïsme castrateur. Pourquoi ?

On parle d’« exception française ». On devrait plutôt parler d’une forme d’« autisme républicain ». On utilise ce mot en refusant de prendre en compte le fait qu’on ne sait pas ce qu’il veut dire, en s’interdisant de voir le reste du monde (où la monarchie britannique est plus garante des droits et des libertés que la République de Corée), et en oubliant qu’il y a eu une France avant la République. Charles Péguy l’avait bien compris, qui tentait de faire comprendre que la France n’était pas née le 14 juillet 1789, et encore moins le 22 septembre 1792 (date de proclamation de la République). Ce qu’exprime sa formule devenue célèbre « La République, notre royaume de France ».  • 

9782204105439-5617d14d3d0a1.jpgFrédéric Rouvillois est professeur de droit public et écrivain. Il a publié de nombreux ouvrages sur l’histoire des idées, notamment L’Invention du progrès, aux origines de la pensée totalitaire (CNRS Éditions, 2010), ainsi que des essais sur la politesse, le snobisme et les institutions, et plus récemment Une histoire des best-sellers (Flammarion, 2011) et Crime et utopie, une nouvelle enquête sur le nazisme, a été publié chez Flammarion. Son dernier livre Être (ou ne pas être) républicain est publié aux Editions du Cerf (240 p, 14 euros). 

Entretien réalisé par Eugénie Bastié            

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