
Si l’on met à part les motivations voire les passions religieuses ou antireligieuses, la science médicale elle-même, ou encore le débat juridique, reste, peut-être, en dernière analyse, la liberté des familles de décider pour la vie ou la mort de leurs proches dans des circonstances extrêmes ou ultimes. Il est possible de penser, sous ce simple point de vue, que personne d’autre n’a à en décider. Nous n’allons pas au-delà de cette perspective. LFAR
Grégoire Legrand sur Pierre Builly : « Je conteste formellement…
“Pour continuer à bavarder et sans vouloir prolonger inutilement une discussion déjà bien longue (mais intéressante),…”