Aller au contenu

JE SUIS FRANÇAIS

Le quotidien royaliste sur la toile

Search
  • Accueil
  • Politique
    • Actualité France
    • Chiffres en vrac sur la France actuelle
    • Actualité Europe
    • Actualité Monde
    • Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade
    • En deux mots, réflexion sur l’actualité
    • Grain de sel … actualité
    • Défense nationale
    • Social, economie…
  • Comte de Paris
    • Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France
  • Annonces
    • Activités, Presse, Mouvement
    • Annonces à propos de JSF
  • Société
    • Immigration – Insécurité – Anti racisme
    • Education
    • Justice
    • Patrimoine, Racines, Traditions
    • Politique et Religion
    • Rire ou sourire un peu…
  • Audio-Vidéo
    • Documents Audios
    • Documents Vidéos
  • Idées-Culture
    • GRANDS TEXTES
    • Idées, Histoire, Culture & Civilisation
    • Aux nouveaux lecteurs qui nous découvrent…
    • Nos lecteurs ont la parole…
    • Journal d’un royaliste français au Maroc
    • Patrimoine cinématographique [P. Builly]
    • Ephémérides
  • République ou Royauté
    • République ou Royauté ?
    • Révolution – Terrorisme – Totalitarisme
  • Dossiers
    • Dossier – Mai 68
    • Pierre Debray – Une politique pour l’an 2000
    • Dossier – L’Action française dans la Grande Guerre
    • Pierre Debray – Maurras et le Fascisme
    • Lire Jacques Bainville
    • Bainville : Journal année 14
  • RechercheRecherche

Charles Maurras : Lorsque Proudhon eut les cent ans…

vendredi 26 juin 2020vendredi 26 juin 2020 sur JSF

À peine plus de cent-cinquante ans après sa mort [1865], Pierre-Joseph Proudhon ne cesse d’intéresser la réflexion contemporaine. Les ravages que le capitalisme financier exerce aujourd’hui sur les peuples remet sa pensée au goût et à l’ordre du jour.  

Le mouvement socialiste français et européen eût sans-doute été très différent si les idées de ce penseur considérable y avaient prévalu sur celles de Marx. L’histoire du XXe siècle, probablement sauvée des totalitarismes, et la réalité du nôtre auraient été aussi tout autres. On sait qu’il y eut, autour des années 1910 et suivantes, un cercle Proudhon à l’Action française ; et l’on va voir que Maurras ne niait pas qu’on pût le ranger, « au sens large », parmi « les maîtres de la contre-révolution ». Le texte qu’on va lire ici est certes daté, motivé, comme souvent, par les circonstances. Maurras y exprime néanmoins, à grands traits, le fond de sa pensée sur Proudhon et y manifeste, après réserves et nuances, la considération tout à fait particulière qu’il a toujours eue pour ce grand penseur et patriote français.   

{Première parution, le 10 juin 2016]


Au lendemain du jour où l’Italie fête le centenaire de Cavour, nous verrons une chose horrible : le monument Proudhon, à Besançon, sera inauguré par M. Fallières*. Le fonctionnaire qui représente l’Étranger de l’intérieur, la créature des Reinach, Dreyfus et Rothschild officiera devant l’image du puissant écrivain révolutionnaire, mais français, à qui nous devons ce cri de douleur, qu’il jette à propos de Rousseau : « Notre patrie qui ne souffrit jamais que de l’influence des étrangers… »

Les idées de Proudhon ne sont pas nos idées, elles n’ont même pas toujours été les siennes propres. Elles se sont battues en lui et se sont si souvent entre-détruites que son esprit en est défini comme le rendez-vous des contradictoires. Ayant beaucoup compris, ce grand discuteur n’a pas tout su remettre en ordre. Il est difficile d’accorder avec cet esprit religieux, qu’il eut vif et profond, sa formule « Dieu, c’est le mal », et, dans une intéressante étude du Correspondant, M. Eugène Tavernier nous le montre fort en peine d’expliquer son fameux « La propriété, c’est le vol ». Nous remercions Proudhon des lumières qu’il nous donna sur la démocratie et sur les démocrates, sur le libéralisme et sur les libéraux, mais c’est au sens large que notre ami Louis Dimier, dans un très beau livre, l’a pu nommer « Maître de la contre-révolution ».

Proudhon ne se rallie pas à la « réaction » avec la vigueur d’un Balzac ou d’un Veuillot. Il n’a point les goûts d’ordre qui dominent à son insu un Sainte-Beuve. Ses raisons ne se présentent pas dans le magnifique appareil militaire, sacerdotal ou doctoral qui distingue les exposés de Maistre, Bonald, Comte et Fustel de Coulanges. La netteté oblige à sacrifier. Or, il veut tout dire, tout garder, sans pouvoir tout distribuer ; cette âpre volonté devait être vaincue, mais sa défaite inévitable est disputée d’un bras nerveux. On lit Proudhon comme on suit une tragédie ; à chaque ligne, on se demande si ce rustre héroïque ne soumettra pas le dieu Pan.

Son chaos ne saurait faire loi parmi nous, et nous nous bornerions à l’utiliser par lambeaux si ce vaillant Français des Marches de Bourgogne ne nous revenait tout entier dès que, au lieu de nous en tenir à ce qu’il enseigne, nous considérons ce qu’il est. De cœur, de chair, de sang, de goût, Proudhon est débordant de naturel français, et la qualité nationale de son être entier s’est parfaitement exprimée dans ce sentiment, qu’il a eu si fort, de notre intérêt national. Patriote, au sens où l’entendirent les hommes de 1840, 1850, 1860, je ne sais si Proudhon le fut. Mais il était nationaliste comme un Français de 1910. Abstraction faite de ses idées, Proudhon eut l’instinct de la politique française ; l’information encyclopédique de cet autodidacte l’avait abondamment pourvu des moyens de défendre tout ce qu’il sentait là-dessus.

Et, là-dessus, Proudhon est si près de nous que, en tête de son écrasant réquisitoire contre les hommes de la Révolution et de l’Empire, à la première page de Bismarck et la France **, Jacques Bainville a pu inscrire cette dédicace : « À la mémoire de P.-J. Proudhon qui, dans sa pleine liberté d’esprit, retrouva la politique des rois de France et combattit le principe des nationalités ; à la glorieuse mémoire des zouaves pontificaux qui sont tombés sur les champs de bataille en défendant la cause française contre l’unité italienne à Rome, contre l’Allemagne à Patay. » #

— Quoi ? Proudhon avec les zouaves pontificaux ?

— Oui, et rien ne va mieux ensemble ! Oui, Proudhon défendit le Pape ; oui, il combattit le Piémont. Au nez des « quatre ou cinq cent mille badauds » qui lisaient les journaux libéraux, il s’écriait, le 7 septembre 1862 : « Si la France, la première puissance militaire de l’Europe, la plus favorisée par sa position, inquiète ses voisins par le progrès de ses armes et l’influence de sa politique, pourquoi leur ferais-je un crime de chercher à l’amoindrir et à l’entourer d’un cercle de fer ? Ce que je ne comprends pas, c’est l’attitude de la presse française dominée par ses sympathies italiennes. Il est manifeste que la constitution de l’Italie en puissance militaire, avec une armée de 300 000 hommes, amoindrit l’Empire de toutes façons. » L’Empire, c’est ici l’Empire français, dont je vois le timbre quatre fois répété sur mon édition princeps de La Fédération et l’Unité en Italie.

« L’Italie », poursuivait Proudhon, votre Italie unie, « va nous tirer aux jambes et nous pousser la baïonnette dans le ventre, le seul côté par lequel nous soyons à l’abri. La coalition contre la France a désormais un membre de plus… » Notre influence en sera diminuée d’autant ; elle diminuera encore « de tout l’avantage que nous assurait le titre de première puissance catholique, protectrice du Saint Siège ».

« Protestants et anglicans le comprennent et s’en réjouissent ; ce n’est pas pour la gloire d’une thèse de théologie qu’ils combattent le pouvoir temporel et demandent l’évacuation de Rome par la France ! » Conclusion : « Le résultat de l’unité italienne est clair pour nous, c’est que la France ayant perdu la prépondérance que lui assurait sa force militaire, sacrifiant encore l’autorité de sa foi sans la remplacer par celle des idées, la France est une nation qui abdique, elle est finie. »

Portrait_of_Pierre_Joseph_Proudhon_1865.jpgEt, comme ces observations de bon sens le faisaient traiter de catholique et de clérical, « oui », ripostait Proudhon, « oui, je suis, par position, catholique, clérical, si vous voulez, puisque la France, ma patrie, n’a pas encore cessé de l’être, que les Anglais sont anglicans, les Prussiens protestants, les Suisses calvinistes, les Américains unitaires, les Russes grecs ; parce que, tandis que nos missionnaires se font martyriser en Cochinchine, ceux de l’Angleterre vendent des Bibles et autres articles de commerce. » Des raisons plus hautes encore inspiraient Proudhon, et il osait écrire : « La Papauté abolie, vingt pontificats pour un vont surgir, depuis celui du Père Enfantin, jusqu’à celui du Grand Maître des Francs-Maçons » , et il répétait avec une insistance désespérée : « Je ne veux ni de l’unité allemande, ni de l’unité italienne ; je ne veux d’aucun pontificat. »

Deux ans après avoir écrit ces lignes, Proudhon expirait ; assez tôt pour ne pas assister à des vérifications qui devaient faire couler à flots notre sang, mutiler notre territoire, inaugurer le demi-siècle de l’abaissement national ! Cet « immense échec » qu’il avait prévu sans parvenir à comprendre, comme il le disait encore, « l’adhésion donnée par la presse libérale française à cette irréparable dégradation », confirma point par point ce regard d’une sublime lucidité. L’unité italienne et l’unité allemande nous ont fait perdre tout à tour la prépondérance qu’assurait notre force militaire et l’autorité qu’imposait notre foi. Le cléricalisme a été vaincu, le pape dépouillé, et l’on nous a imposé ce gouvernement dont la seule idée stable est l’abaissement du Saint-Siège, le règne de la franc-maçonnerie et de ses grands maîtres divers. Si l’Empereur a disparu, sa politique dure ; la parti républicain en a été quarante ans légitime et fidèle héritier.

Certes, et nous l’avons dit, avec Dumont, avec Georges Malet, avec le Junius de L’Écho de Paris, aux avocats de l’empereur : rien n’efface cette responsabilité napoléonienne que Napoléon III lui-même rattache à la tradition de Napoléon Ier ; mais la vérité fondamentale établie, il faut en établir une autre et rappeler aux hommes de gauche, que leurs aînés, leurs pères, leurs maîtres et, pour les plus âgés, eux-mêmes, en 1860, ils étaient tout aussi Italiens et Prussiens que Napoléon III ! Sauf Thiers, en qui s’était réveillé l’ancien ministre de la monarchie, l’élève de Talleyrand, qui fut l’élève de Choiseul, tous les républicains et tous les libéraux du dix-neuvième siècle ont été contre le Pape et contre la France avec l’Empereur des Français. Il faut relire dans Bismarck et la France ces textes décisifs auxquels nous ramène Bainville ; le ministre Ollivier développant à la tribune la thèse idéaliste des nationalités et M. Thiers, traditionnel pour la circonstance, s’écriant : « Nous sommes ici tantôt Italiens, tantôt Allemands, nous ne sommes jamais Français », toute la gauche applaudissait qui ? Émile Ollivier ! Guéroult défendait l’unité allemande, Jules Favre, un des futurs fondateurs de la République, déclarait le 4 juillet 1868 que nous n’avions « aucun intérêt à ce que les rivalités se continuent entre les deux parties de l’Allemagne » !

Telle était la tradition révolutionnaire impériale ou républicaine et Proudhon s’y étant opposé presque seul, la présence de M. Fallières au monument de Proudhon est plus qu’un scandale, c’est un contresens. Je partage sur la personne de M. Fallières le sentiment de Léon Daudet l’appelant le plus lâche et le plus méprisable des ruminants ; et l’appréciation de Jacques Delebecque, telle qu’on la lira plus loin sur l’harmonie de cet animal et de la fonction constitutionnelle, me semble l’expression de la vérité pure. Mais le nom de Proudhon met en cause plus que la personne ou la magistrature de M. Fallières ; le nom de Proudhon met en accusation le régime avec son revêtement de blagologie nuageuse, avec son fond de sale envie et de bas appétits. Ce grand nom de Proudhon frappe d’indignité et Fallières, et sa présidence et la démocratie parce qu’il évoque le grand nom de la France et l’étoile obscurcie de notre destin national. Ce régime ne signifie que le pontificat de la maçonnerie que Proudhon avait en horreur. Il ne figure rien que les hommes et les idées que Proudhon combattait en France, en Europe, partout. Proudhon était fédéraliste ; que lui veut cette république centralisatrice ? Il était syndicaliste ; que lui veut cette république étatiste ? Il était nationaliste et papalin ; que lui veut cette république anticatholique, antifrançaise ?

Je ne sais quelles bouffonneries l’on débitera à la louange de ce grand écrivain sorti, comme Veuillot et tant d’autres, des entrailles du peuple ; mais les lettrés devront répondre à la venue de M. Fallières par la dérision et le peuple par les huées. Charles Maurras    ■


* Les 13, 14 et 15 août 1910, à Besançon, est inaugurée une statue en bronze de Pierre-Joseph Proudhon, réalisée par le sculpteur bisontin Georges Laethier. La décision d’ériger cette statue dans sa ville natale a été prise un an auparavant à l’occasion du centenaire de sa naissance et a donné lieu à une souscription et a un concours de sculpteurs. La statue n’existe plus, fondue (comme de nombreuses autres) par les nazis durant l’Occupation. Elle a été remplacée par la suite.
**1907 
Paru dans les Cahiers du Cercle Proudhon, n° 1 de janvier 1912 (le texte date de 1910).
Categories Actualité France, République ou Royauté ?, Social, economie...
Post navigation
Éric Zemmour : « Emmanuel Macron sait-il qui il est vraiment? La réponse est non »
Lʼusure cʼest le vol ! [2/2]

3 commentaires pour “Charles Maurras : Lorsque Proudhon eut les cent ans…”

  1. BOB
    vendredi 10 juin 2016 at 14 h 08 min

    La grande clarté de Maurras ! Malgré les références au contexte. Qui se souvient de Fallièress ou Reinach et même Cavour et Emile Olivier ? Mais Maurras bous permet d’aborder l’énorme Proudhon avec des idées claires …

  2. corcelles
    vendredi 10 juin 2016 at 15 h 12 min

    Certes Proudhon est un chaos d’idées et le texte de Maurras len restitue la cohérence. Proudhon eut le malheur de tomber sur Marx qui riposta par « misère de la philosophie » à « philosophie de la misère » de Proudhon. Avec la révolution d’octobre la cause de Proudhon semblait définitivement entendue et même Lénine éprouve le besoin d’encenser Marx contre Proudhon à la veille de celle-ci.
    La chute du système soviétique a changé la perspective et Mgr Eyt, évêque de Bordeaux a pu écrire que la fin de du soviétisme marquait la revanche de Proudhon. Il aura fallu 150 ans ! Mais cette victoire intellectuelle de Proudhon se traduira-t-elle dans la politique contemporaine ? La parole est à M. Durocher.
    MC

  3. LUC
    vendredi 10 juin 2016 at 17 h 31 min

    Que rajouter sinon que votre commentaire est fort intéressant.

Les commentaires sont fermés.

Archives

Notre marque

Peinture par un jeune artiste Prix de Rome, offerte à l’U.R.P. pour le 7e centenaire de la mort de Saint-Louis [1970] © U.R.P. [Peut être reprise sur autorisation écrite.]

Prince Jean : « Le rôle politique, je l’ai »

« Le rôle politique, je l’ai sans avoir besoin d’être élu. C’est tout à fait dans le rôle d’un prince de pouvoir sortir un peu de cet échange partisan et de s’intéresser au bien commun, à l’intérêt général de la Cité. »

__________________________________

Direction de JSF lafautearousseau

Yves Boulon – Sylvie Gaud-Hueber – Jean Gugliotta – Jean-Louis Hueber – Paul Léonetti – Gérard Pol.         
__________________________________

Faire un don

 

 

 

Ce quotidien a un coût. Son audience un prix. Aidez-nous ! Faites un don ! À partir de 5 €. Merci !
Chèques à l’ordre de : Lafautearousseau
Envois : Je Suis Français, BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE
En ligne (en toute sécurité) : Via PayPal

Courriel : contact@jesuisfrancais.blog

En savoir plus …
__________________________________

Rubriques Chroniqueurs

POLITIQUE
. Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade. Contribution â l’expression de notre ligne politique [France & Étranger].
. En deux mots, par Gérard. Pol. Réflexion sur l’actualité française et internationale.
. Idées et débats par Pierre de Meuse.
. Les chroniques moyen-orientales d’Antoine de Lacoste,
. Les analyses économiques de plusieurs spécialistes.
. Dans la presse et Sur la toile. Des réactions courtes aux articles, vidéos, audios, les plus marquants.
. Les GRANDS TEXTES politiques.
CULTURE
. Péroncel-Hugoz : Journal du Maroc et d’ailleurs [Inédit]. Autres contributions exclusives : Histoire, géographie, lectures et reportages.
. Les études de Rémi Hugues ; Histoire, sociologie politique, philo et actualité. Des séries originales et documentées.
. Cinéma : chroniques du week-end de Pierre Builly [Patrimoine cinématographique et autres].
. Les éphémérides.
ANNONCES DES PRINCIPALES ACTIVITÉS
du monde royaliste. Presse et revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc.
COMTE DE PARIS – FAMILLE DE FRANCE
. Messages, tribunes, activités, du Prince Jean, Comte de Paris. Les événements de la Famille de France. En complément : les récits et choses vues de Francesca.
__________________________________

L’Histoire de France  redécouverte jour après jour. Personnages célèbres, écrivains, savants, artistes, religieux, chefs militaires. Événements majeurs. Œuvres d’art, monuments et sites d’un héritage exceptionnel : le nôtre.

Textes originels, choix des citations et images dans le texte : F. Davin. Refonte graphique et technique, photos d’en-tête et page d’accueil : l’équipe LFAR-JSF. Textes ouverts : suggestions bienvenues. À lire tous les jours.

_______________________________

Presse – Mouvement – Activités royalistes

PUBLCATIONS D’AVRIL – CLIQUEZ SUR LES IMAGES

S’abonner sur le site de Politique magazine : 

______________________________

Le Bien commun. S’abonner …  ICI
_________________________________ 

Les principales activités royalistes annoncées ici. Revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc. Image : © GAR


(Sur le site de l’Action Française)
_________________________________ 

L’Union Royaliste Provençale
Fédération régionale de l’Action Française

Envois postaux : Union Royaliste Provençale, BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE. Messagerie : urp@outlook.fr

ATENTION : l’adresse 48 rue Sainte-Victoire, 13006 MARSEILLE, est supprimée. 
_______________________________ 

Un livre à la une, à lire pour qui veut s’engager…

L’Action française est aujourd’hui le plus ancien et, dans sa continuelle vitalité, le plus constamment jeune des mouvements politiques, toutes tendances confondues. Elle se renouvelle à chaque génération, dans la permanence, sans cesse ravivée et adaptée, d’une doctrine, d’une vision, d’une action. 

EN SAVOIR PLUS, COMMANDER

_____________________________________

JSF recommande à ses lecteurs d’adhérer à l’Action Française

Chers lcteurs, il ne suffit pas de nous lire. Si vous le souhaitez, si vous le pouvez, nous vous recommandons d’adhérer à l’Action Française, pour soutenir, renforcer, participer au mouvement royaliste. L’année commence, c’est le moment ! Cliquez sur l’image !   JSF
__________________________________

Bernard Lugan : Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance
Présentation – Table des matières – Commandes  [CLIQUER]

____________________________________

Livres recommandés…

Pierre de Meuse : « Idées et doctrines de la Contre-Révolution »
Le fruit d’une réflexion qui ouvre des perspectives nouvelles, originales et stimulantes, révélant ce que la pensée contre-révolutionnaire peut apporter aujourd’hui à la vie des idées. Préface de Philippe Conrad. [DMM – 2019 – 412 p – 23,50 €].  En savoir plus.
Annie Laurent : L’Islam. Pour s’informer sérieusement …
Pour en savoir plus sur cette indispensable étude, pour commander : ICI

_____________________________________

JSF : Contacts

Envois postaux : Je Suis Français, BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE 
Courriel : contact@jesuisfrancais.blog

Librairie de Flore

Cliquez sur l’image.
Le site de la Librairie de Flore vous permet d’accéder à ses produits ! Livres, revues, boutique …
_______________________________________

Lettre de JSF : S’abonner, c’est utile et c’est gratuit !




Service quotidien gratuit. Automatique pour les milliers de lecteurs inscrits à la lettre de lafautearousseau. Sinon, abonnez-vous maintenant à la lettre de JSF. Vous la recevrez chaque matin Inscription simple ci-dessous.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique de confidentialité.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Le Prince

Comte de Paris : Retour de l’idée monarchique

https://vimeo.com/285995976?loop=0

Liens

 

 

. Comte de Paris, Site Officiel
. Comte de Paris, Page Facebook 
. La Couronne
. Politique Magazine & Revue Universelle
. Maurras.net
. Action Française – Le bien commun

Page JSF Facebook

Commentaires récents

  • jeudi 15 Avr 10:31
    Claude Armand Dubois sur Il a si bien réussi, Barnier,…
    “Un homme politique a qualifié Michel Barnier de carrosserie sans moteur. Le virus europeiste convertit les…”
  • jeudi 15 Avr 09:08
    Bouchez. Anne sur Éphéméride du 15 avril
    “Toujours très intéressant…….et indissociable de la Tradition française ! Un beau devoir de mémoire…..ce qui manque…”
  • jeudi 15 Avr 08:39
    Calcium sur Masques ou pas masques, il y…
    “Bravo et félicitations à ces jeunes qui défendent les valeurs de la France !”
  • mercredi 14 Avr 18:49
    Henri sur Il est des émissions qui comptent…
    “Merci pour cette belle émission. il en faudrait plusieurs pour aborder toutes les facettes de P.B.…”
  • mercredi 14 Avr 15:51
    Patrick Jardin sur Pour une fois qu’à l’Assemblée on…
    “Bravo! Cela ne me gêne pas que l’on parle de chiffres arabes, l’essentiel est que l’on…”
  • mercredi 14 Avr 12:03
    Marc Vergier sur Pour une fois qu’à l’Assemblée on…
    “« l’élimination des chiffres romains au profit des chiffres arabes ». Pointe subliminale ou maladresse involontaire? l’expression « chiffres…”
  • mercredi 14 Avr 09:11
    Mario FERRETTI sur Pour une fois qu’à l’Assemblée on…
    “Dites et bien dites, a soutenir mordicus !”
  • mercredi 14 Avr 07:53
    Verdu sur Pour une fois qu’à l’Assemblée on…
    “Que voilà enfin les choses dites ! Bravo ! A suivre….”
  • mardi 13 Avr 17:20
    Gilbert CLARET sur Mathieu Bock-Côté, lui aussi, analyse l’affaire…
    “Je répondrai à Beauvais que le problème est précisément que l’Europe, et en particulier la France,…”
  • mardi 13 Avr 16:47
    AFfaire sur A la merci du Turc
    “Oui, cela reflète la fracture latins / germains à l’intérieur de l’UE. Maurras avait pris le…”
  • mardi 13 Avr 05:17
    Di Guardia sur On pense ce que l’on veut…
    “Selon moi : 1. Il n’est pas sûr que l’essentiel soit de sortir de l’euro et…”
  • lundi 12 Avr 21:07
    Philippe sur A la merci du Turc
    “La vérité sur le « sofagate » d’Ankarapar Thierry Meyssan C’est à tort que la presse…”
Appel aux lecteurs de Je Suis Français… Pour la sauvegarde du patrimoine matériel de l’Action Française !

Participez à l’opération nationale de sauvegarde du patrimoine historique de l’Action Française, sous le patronage du Secrétariat Général du Mouvement. Tous documents ou objets divers sur le royalisme nous intéressent : photos, films, livres, journaux, correspondance, insignes, drapeaux etc. Ecrire à Michel Franceschetti : chetti133@sfr.fr .   

PEUT-ON SORTIR DE LA CRISE ? Une étude intégrale de Pierre Debray dans JSF

Une contribution magistrale à la réflexion historique, économique, sociale, politique et stratégique de l’école d’Action Française. Étude intégrale à la disposition des lecteurs de JSF, notamment étudiants, chercheurs et passionnés d’histoire et de science économiques.  ENTRÉE

Les créations de JSF : Séries, dossiers, études

Un ensemble de travaux réalisés et publiés par Je Suis Français depuis un peu plus d’un an : études, séries, dossiers regroupés pour être en permanence à la disposition de tous et directement consultables grâce aux liens notés.
© JSF – Peut être repris à condition de citer la source
Pour y accéder, cliquez sur l’image.

__________________________________

Une collection de près de 300 vidéos dont un grand nombre exclusives réalisées par l’Union Royaliste Provençale. © URP/JSF – Reproduction autorisée à condition de citer la source.

Chaîne YouTube Je Suis Français. Pour une plus large audience.  (Création récente)


Vidéos sans présentation ni discussion – au mieux, un titre et 1 à 3 lignes – sans chronologie non plus . Bref, du vrac. Exfiltré de la toile. Pourquoi pas ? Piochez. Comme dans le Chant des Marais.
__________________________________

Publications amies … Deux mensuels, une revue [liens plus haut]

Le Bien commun
Politique magazine
NRU

A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.

Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Péroncel-Hugoz sur JSF … Chroniques à suivre

Le jeudi : Journal du Maroc et d’ailleurs [Inédit]. Autres contributions : Histoire, géographie, lectures et reportages. Parmi les dernières parutions : Autodafé et contre-autodafé pour les orientalistes. Cliquer  I et II  A lire !  ■ __________________________________

Belle-de-Mai éditions B2M, éditeur des rivages méditerranéens : des publications à suivre…
Textes illustrés choisis dans Maurras et notre temps, d’Henri Massis La Palatine, Plon, 1951 – Juin 2020 – 104 pages.
Deux versions de cette réédition du centenaire de L’Enquête : classique et luxe. Extraits de l’éditions de 1925 – Août 2020 – 120 pages.
Avant-propos de Laurent James – Août 2020 – 151 pages.
Commander ou se renseigner à l’adresse ci-après : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net
Louis de Bourbon, prince espagnol à honorer pour avoir défendu la mémoire de son arrière-grand-père le général Franco

L’on peut consulter la note que nous avons rédigée il y a quelques années dans un esprit surtout factuel et historique. 
Louis-Alphonse de Bourbon s’est courageusement engagé depuis, dans la vie publique espagnole, notamment en devenant président du Comité National pour la défense du général Franco.  Suivre le lien ci-après. 
Qui est Louis-Alphonse de Bourbon ?
  • Contact
  • Mentions Légales
  • Politique de Confidentialité
Je Suis Français © 2019 Tous droits réservés.

Site réalisé par Eva Giraud Web
Retour en haut de page