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« Les Dépossédés »

jeudi 10 novembre 2022jeudi 10 novembre 2022 sur JSF

Par Hilaire de Crémiers.  

Plus rien n’appartient au peuple français. Même plus ses budgets.

Les 49-3 vont se succéder à vive allure au cours du mois de novembre comme ce fut le cas fin octobre. Il paraît que c’est un événement. Des démocrates sourcilleux font mine de s’indigner. La posture de l’indignation est le ressort de la vie démocratique : le discours vertueux fait exister le politicien. Animée d’un même souffle, Élisabeth Borne escaladera la tribune de l’Assemblée nationale d’une jambe alerte pour jouer la petite dame de fer, ce qui lui va comme un gant. Le ton sera toujours à la hauteur de la situation pour dénoncer l’obstruction et la collusion des extrêmes ! Chacun est dans son rôle. C’est le sublime de la rhétorique qui règne dans les enceintes sacrées de la République : quels échanges et pour quel débat !

Les motions de censure de la Nupes et du RN n’ont pas abouti, ce qui était prévu, même si le RN par la voix de Marine Le Pen a décidé d’apporter ses voix à la motion de la Nupes. Les éditorialistes n’en revenaient pas ! Mais il aurait fallu que LR s’y joignît pour emporter la majorité et renverser le gouvernement ; ce qu’elle s’est bien gardée de faire, Sarkozy œuvrant publiquement, depuis déjà longtemps, pour le rapprochement avec Macron, ce qui n’a rien d’étonnant tant il est facile d’en supputer les raisons, et les députés redoutant une dissolution qui risquerait de leur être fatale. Ces combinaisons témoignent d’un système qui ne travaille plus que pour lui-même. Le zèle démocratique a des raisons que la raison ne connaît pas.

Le budget : un mensonge d’État

Il n’empêche qu’il faut bien que soient adoptées définitivement pour 2023, aussi bien sur les dépenses que sur les recettes, la loi de finances de l’État et la loi de financement de la sécurité sociale. Il faudrait plutôt s’indigner qu’il s’agisse encore de deux monstres. D’année en année – et depuis des décennies – de plus en plus monstrueux, malgré les annonces lénifiantes et rassurantes du ministre en exercice, en l’occurrence cette année encore d’un Bruno Le Maire, toujours content de lui-même et qui brigue en secret le FMI pour s’exfiltrer du bateau ivre. Sa suffisance, comme à chaque fois, se perd dans ses chiffres, assénés pourtant avec autorité, et se trompe dans ses calculs, imaginant des recettes inexistantes sur des points de croissance qui s’effondrent, et prédisant des améliorations de déficits et de niveau d’endettement qui vont au rebours des décisions prises par le gouvernement et donc par lui-même. De l’utilité d’un ministre de l’Économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique ! La vigie de la France.

Quelle souveraineté au juste quand Paris s’aligne sur Bruxelles pour toutes les décisions les plus stratégiques, et quand la dette frise les 3000 milliards ? Que signifie une croissance estimée à 1 %, une inflation à 4,3 %, un déficit à 135 milliards, qu’on prétend donc ramener à 5,5 % du PIB, avant de le réduire – promis, juré – dans les années suivantes à 3 %… selon les sacro-saints critères européens qui servent de mantras.

Les estimations pour 2022 et 2021 étaient tout aussi erronées. Bienvenue aux prochains budgets rectificatifs, si les 480 milliards de dépenses budgétées sont dépassés en raison des impérieuses circonstances et si les 345 milliards de recettes prévues se révèlent à l’évidence non acquises et insuffisantes. L’augmentation des taux d’intérêt est prévisible et la dérive des déficits est plus que probable ; la charge de la dette qui jusqu’alors, grâce aux taux négatifs ou peu sensibles, passaient malheureusement inaperçue, risque de devenir bientôt insoutenable. Surtout si la BCE change de politique, ce qui est le cas. Et alors ?

Macron et Le Maire, malgré leur optimisme de façade et leurs chimères européennes, devraient être les premiers et les mieux placés pour connaître la situation. Ils n’ont pas l’excuse de l’ignorance. D’autant plus que leur chère Allemagne rechigne à jouer le jeu de l’Europe unie et fait bande à part maintenant en tout domaine, économique, financier, budgétaire, stratégique, politique, diplomatique, de manière délibérée et sans aucun souci de la France dont elle se moque et, en vérité, s’est toujours moquée. Le couple franco-allemand, tarte à la crème des gouvernants français, n’a jamais existé que dans l’imagination des Français et dans les têtes de linottes des professeurs et des élèves de Sciences-Po, comme l’avait magistralement démontré Coralie Delaume, trop tôt décédée, qui en avait intuité justement la fin de l’Union européenne. Ce à quoi il faut s’attendre inéluctablement, que le délitement soit progressif ou l’effondrement soudain. Un Baverez lui-même est obligé d’en convenir. C’est écrit dans Politique magazine depuis vingt ans !

Il y aurait de quoi sourire à relire tous les discours de Macron, en particulier ceux d’Athènes et de la Sorbonne en 2017, celui du forum de Davos en 2018. Il bâtissait l’Europe et refaisait le monde… en citant Kant. À l’école de Ricœur. Voilà encore Kant lors de sa dernière visite au Vatican fin octobre, où il offrait au pape François, son ami, le traité d’Emmanuel Kant Vers la paix perpétuelle. Il n’offre pas Gerson, ni Gilson, ni Pascal, il offre Kant : il faut le faire. Le chef de l’État français ! L’abbé de Saint-Pierre alors ? Décidément on n’en sort pas. Le subjectivisme, l’idéalisme kantien reste le père de l’esprit républicain comme au beau temps des années 1880… Et toujours la même erreur sur l’Allemagne qui fut cause du désastre de 1940. Le kantisme, l’hégélianisme et leurs épigones tuent l’esprit français, pervertissent la France.

Et voilà justement que l’Allemagne qu’on croyait protectrice de l’Europe, pense à ses propres intérêts. Elle règle elle-même ses difficultés à elle avec ses moyens à elle, écologie ou pas. Elle dépensera désormais pour elle-même. Elle ne sera pas le recours des peuples dépensiers ; elle ne se portera plus caution d’une politique monétaire aberrante. Elle ne sera plus la garante des dettes européennes. Que vont devenir les engagements de Merkel ? Les 850 milliards annoncés, attendus, espérés ? Et la mutualisation des dettes ? Ursula von der Leyen va devoir réviser ses copies, elle qui se prenait pour la « cheffesse » de l’Europe et qui disposait des budgets à sa guise pour mener sa politique.

L’avenir obscurci

Et, donc, tout en est bouleversé. La guerre en Ukraine, si mal prévue et si mal gérée par l’Union européenne sous la dépendance de l’OTAN et donc des États-Unis, n’a fait que révéler les défaillances et les distorsions de politiques dont les conséquences pour les peuples européens prennent des proportions dramatiques. L’économie française en est affectée comme les économies européennes. Cependant tout est dissimulé et, d’abord, les véritables coûts. Il est probable que tout explosera et d’un seul coup quand il ne sera plus possible de fausser les mesures.

Personne ne sait ce que sera demain. Le plus grave peut arriver. À Davos en 2018, Macron, enivré de son succès de 2017, indiquait prophétiquement la voie d’un avenir radieux dont il lui revenait de signaler la direction en prenant la tête du cortège mondial et triomphal, lui qui avait glorieusement terrassé la Bête et qui se flattait du titre d’une telle victoire. Un tel mérite le désignait pour entamer la marche du progrès.

Et rien ne se passe comme prévu. La réalité politique anéantit les chimères. Tout est mensonger. Y compris et d’abord le budget. Olivier Marleix est l’un des députés – fort peu nombreux – qui le sait et le dit, mais à bas bruit, comme il connaît la macronie de l’intérieur, l’affaire Alstom en particulier. Mais que peut-il faire ? Que peuvent faire les rares politiques qui voient clair dans un système qui refuse par principe la vérité et qui ne vit que d’un mensonge perpétuel ?

Non seulement toutes les mesures prises relèvent d’un mensonge d’État primordial, mais encore, au point où les affaires sont engagées, il est impossible de revenir en arrière. Sous peine de se déjuger, bien sûr ; mais sous peine aussi de perdre tout crédit, politique, économique, financier. La carte est forcée : inenvisageable de faire autrement. Leur politique, leur économie, leur finance ne sauraient fonctionner que dans une fuite en avant qui ne peut que mal se terminer. Leur pari est de continuer en pensant que « l’après » pourra combler « l’avant » et rétablir l’équilibre comme dans une pyramide de Bonzi. Le flair calculateur de Macron se sent à l’aise dans cette ambiance d’incertitude.

Toujours est-il que, accouchés par la représentation nationale qui, d’ailleurs, ne sait plus très bien à quoi elle sert, sauf à délirer dans le sociétal, ou tirés au forceps par l’exécutif, ces budgets restent ce qu’ils sont en l’état. Les séances tant des commissions que de l’assemblée, qui font si sérieux, ne sont en réalité que de la frime, ce qui se savait déjà. Les amendements supplémentaires n’auraient que contribué à alourdir et à déformer davantage les prévisions de Bercy. Le budget national est donc adopté dans une telle ambiance de défiance et dans un tel contexte d’erreurs et de mensonges qu’à la vérité il est dérisoire de faire comme si la nation avait approuvé son propre budget. Il est des théories sur lesquelles il serait sain et bon de revenir, s’il est nécessaire à l’avenir de repenser nos institutions.

Des instruments de domination

Sur le budget de la sécurité sociale, il est possible de relever les mêmes carences, les mêmes approximations dans les évaluations et surtout le même mensonge fondamental.

Quand on se souvient que Macron avait pensé se servir d’un amendement dans la loi de financement de la sécurité sociale pour faire passer d’un seul coup sa réforme des retraites ! En principe, elle fera l’objet d’une loi en 2023. Mais il faut comprendre la précipitation de Macron. Il y tient, comme Bercy et la haute fonction publique des finances, pas seulement pour l’équilibre du système qu’il a imaginé et veut imposer, mais tout simplement pour récupérer de l’argent. Et pas seulement au profit des caisses de retraites. Et c’est là aussi un mensonge. Entre mille autres qui concernent la sécurité sociale, dont une fraude considérable fait partie. L’État républicain fonctionne sur le principe de l’unité de caisse, si commode pour les arrangements – les combines – des décideurs. Tout le but des hauts fonctionnaires est d’aboutir au même système dans les branches sociales.

Il s’agit là, bien évidemment, d’un abus monstrueux sur lequel les citoyens n’ont aucun droit de regard, le budget étant concocté à Bercy comme le budget dit de la nation.

La normale – et c’était ce qui était prévu au départ – serait que les retraites appartiennent aux retraités, et aux futurs retraités, à ceux qui cotisent, et même selon leur métier et profession. L’État ne devrait remplir qu’un rôle d’arbitre, en établissant, entre autres, de justes compensations pour les métiers défavorisés. Pas du tout ! Voilà des décennies que l’État – autrement dit l’exécutif, soit l’administration, soit ceux qui se sont emparés de l’État et donc de l’administration – a opéré un véritable hold-up sur les retraites comme sur la sécurité sociale dans son ensemble : les Juppé et les autres à sa suite ont toujours agi et prétendument réformé dans le même sens pour avoir la maîtrise des comptes et des décisions. L’État macronien veut maintenant achever cette œuvre de rapine en trouvant l’aboutissement de l’évolution et en prétextant de la rationalité et de l’équilibre des comptes. Le motif est, en effet, prégnant et qui mieux qu’un fonctionnaire peut manier la calculette ?

L’astuce a consisté à associer les chambres à l’opération de mise sous tutelle de l’intégralité de la sécurité sociale, toutes branches confondues. Un monstre donc, géré par Bercy. Les fonctionnaires sont partout ; ils dominent les hôpitaux, accentuant l’hypertrophie administrative dont pâtit la France à tous les niveaux avec un État qui prétend s’occuper de tout et lance ses tentacules dans toutes les directions au nom d’une politique nationale ou sociale que plus personne ne contrôle. Les hôpitaux sont en train d’en crever, comme les villes, comme les territoires, comme tout. Et chacun sait que le contrôle de la Cour des comptes ne sert strictement à rien.

Et voilà donc les deux monstres fiscaux et sociaux avalisés par les 49-3, donc parfaitement républicains, n’est-ce pas ? à la vérité, qui serait en mesure d’analyser ces paquets de mesures budgétées où la démagogie facile – la pilule du lendemain gratuite pour déresponsabiliser encore plus les pauvres gosses livrés en pâture à la pornographie ! – côtoie les urgences vitales et nationales ? Les plus chevronnés s’y perdent. Éric Coquerel qui s’est hissé à la présidence de la commission des finances n’a pas plus de compétence qu’un autre. Ce n’est qu’un discoureur et un farceur comme tant de ses collègues qui sont censés faire de la politique. Le ridicule ne tue plus.

Toutes les institutions dans le monde se portent mal : entre mensonges officiels, discours convenus, incompétences notoires, boursoufflures rhétoriques et perversités dominatrices, comment pourraient-elles prétendre satisfaire leur peuple ? Ajoutons : même le Vatican, oui, même là ! La France n’échappe pas au même constat. Le malaise est universel ; il est plus que ressenti en France. Jusqu’où et jusqu’à quand ?

Les budgets avalisés par le 49-3 représentent à eux deux 56,6% du PIB, autrement dit plus de la moitié de la richesse nationale. Sans compter ce qui a été mis habilement hors comptabilité. Soit autant qui sera prélevé sur les citoyens d’une manière ou d’une autre, autant aussi qui sera réinjecté et redistribué par les administrations, les services de l’État, les différents pouvoirs publics et parapublics.

Autant dire que la puissance publique écrase de son poids l’activité du pays qui, en même temps, est orientée et contrôlée par cette même puissance, entièrement ou presque. Sauf les poules au fond du jardin et les quelques légumes du potager !

L’autorité politique est donc éminemment responsable. Elle l’a cherché. Elle décide de tout à travers ces budgets qui dominent de leurs chiffres implacables l’économie et la politique nationales. Et comme il faut bien se rendre compte qu’à force de vouloir tout faire, plus rien ne marche bien, voilà qu’elle rajoute des enveloppes supplémentaires, toujours dérisoires, pour sauver les activités menacées de la faillite assurée : l’éducation, la santé, dernièrement l’hôpital pédiatrique et tout à l’avenant. La sécurité des Français n’est plus assurée ; ce sont des drames quotidiens. EDF, le nucléaire, la SNCF, les transports, la Défense, tout a été saccagé, massacré ; la fonction publique, elle-même, peu à peu détruite, les corps d’État les plus prestigieux, les préfets, les diplomates supprimés, maintenant la police judiciaire, tout ça pour répondre aux diktats d’une bande qui s’est emparée de l’État et qui ne veut plus connaître de limites à ses pouvoirs. Car il faut dire les choses comme elles sont : tout est combiné à Bercy et, donc, à l’Élysée, Matignon étant chargé d’exécuter. Telle est la réalité de nos institutions ; le reste est du baratin qui s’appelle aujourd’hui communication, ou, plus infantilisant encore, pédagogie.

Le 49-3 est donc pour ces gens-là l’arme nécessaire, surtout en matière budgétaire. Il était prévu dans la constitution de la Ve République au profit de l’exécutif dominant. Son usage fut restreint par la suite lors de la réforme constitutionnelle actée sous Sarkozy. Le socialiste Rocard avait gouverné à coups de 49-3. Procédure commode pour un démocrate bon teint qui se piquait d’être un socialiste avancé, un Macron avant l’heure.

Christophe Guilluy, l’essayiste géographe qui ausculte la France, a intitulé son dernier livre, aussi remarquable que les précédents, Les Dépossédés. Pas de titre plus juste pour qualifier le peuple français, à qui tout a été pris, même ses budgets, même sa sécurité. Même son pays, même son âme.   ■

Hilaire de Crémiers
Article paru dans Politique magazine.

 

   

   

 

 

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