Aller au contenu

JE SUIS FRANÇAIS

Le quotidien royaliste sur la toile

Search
  • Accueil
  • Politique
    • France
    • Europe
    • Monde
    • Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade
    • En deux mots, réflexion sur l’actualité
    • Défense nationale
    • Social, economie…
    • Chiffres en vrac sur la France actuelle
    • Grain de sel … actualité
  • Comte de Paris
    • Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France
  • Annonces
    • Activités, Presse, Mouvement
    • Annonces à propos de JSF
  • Société
    • Immigration – Insécurité – Anti racisme
    • Education
    • Justice
    • Patrimoine, Racines, Traditions
    • Politique et Religion
    • Humour
  • Vidéo-Audio
    • Vidéos
    • Audios
  • Idées-Culture
    • GRANDS TEXTES
    • Idées, Histoire, Culture & Civilisation
    • Patrimoine cinématographique [P. Builly]
    • Ephémérides
    • Visuels
    • Nos lecteurs ont la parole…
    • Aux nouveaux lecteurs qui nous découvrent…
    • Journal d’un royaliste français au Maroc
  • République ou Royauté
    • République ou Royauté ?
    • Révolution – Terrorisme – Totalitarisme
  • Dossiers
    • Lire Jacques Bainville
    • Bainville : Journal année 14
    • Pierre Debray – Une politique pour l’an 2000
    • Pierre Debray – Maurras et le Fascisme
    • L’Action française dans la Grande Guerre
    • Mai 68
  • RechercheRecherche

Discours de Louis Dimier, secrétaire général de l’Institut d’Action française en 1906 : où comment la première AF voulait un rapport substantiel entre « action » et « réflexion ».

mardi 14 mars 2023mardi 14 mars 2023 sur JSF
Louis Dimier (1865 – 1943) homme de lettres, critique d’art, écrivain, historien, et militant monarchiste de l’Action française.

C’est là un document d’histoire de l’Acton Française, annonciateur et fondateur de ses succès à venir. Nous le reprenons de la page Facebook d’un étudiant d’aujourd’hui, militant et chercheur très actif en toutes matières relatives à l’histoire de l’AF et à ses idées. [Lien ci-dessous]. C’est à lui que nous devons d’avoir eu connaissance de ce long discours exemplaire austère et sérieux, qui montre surtout la profondeur et la volonté d’aboutir des hommes engagés dans cette Action Française des origines.    

Ceux qui prêchent l’action sans cervelle savent qu’ils n’en embrasseront jamais que les simulacres. Cette certitude secrète est ce qui les rassure dans la peur qu’ils ont d’une action véritable.

Mesdames, Messsieurs, 

En vous présentant aujourd’hui le rapport du premier semestre d’enseignement donné par l’Institut d’Action française, personne ne s’étonnera que nous marquions autant de contentement que de fierté.

Cet Institut fut décidé à la fin de l’automne dernier, et sa séance d’inauguration eut lieu le 14 février. Cinquante leçons y auront été données, imputées à cinq chaires différentes. L’enseignement y aura duré cinq mois. Premier effet palpable des projets que depuis longtemps l’Action française formait de systématiser son enseignement, et de convier à des leçons suivies tous ceux qui conçoivent l’utilité qu’il y a à rappeler en temps de crise les principes, quand tant de ceux qui en ont le dépôt ne veulent plus entendre qu’aux expédients.

Vous savez, Mesdames et Messieurs, de quelles personnes je parle. Les avertissements de leur part n’ont pas manqué à notre adresse. Quand fut mis en avant ce projet d’Institut, quand nos programmes imprimés parurent, quand furent sollicités les concours financiers, plusieurs nous répondirent que le plus pressé n’était pas là. La maison brûle, dit-on. Dans un si grand péril, il ne fallait pas perdre une minute. Le retentissant échec de gens qui se croyaient sages, met hors de discussion qu’une chose au moins presse plus que de courir au feu, c’est d’aller chercher de quoi l’éteindre.

Jamais nous ne songeâmes à médire de l’action. Elle fait partie du nom que nous portons. Une partie des critiques qu’on nous adresse vient du culte sincère que nous professons pour elle. Car nous la voulons véritable, et ce n’est pas pour une autre cause qu’on ne la sépare pas chez nous du discernement. Ceux qui prêchent l’action sans cervelle savent qu’ils n’en embrasseront jamais que les simulacres. Cette certitude secrète est ce qui les rassure dans la peur qu’ils ont d’une action véritable.

Agir, agir, pas de programme plus doux, je ne dis pas aux lâches, car pourquoi contester à ceux dont il s’agit l’éloge du courage physique, de la générosité, du sacrifice ? Mais aux pusillanimes, à ceux qui n’osent déterminer un but, affronter les idées, braver les préjugés, qui se jettent aveugles dans la première mêlée venue, autant pour se dispenser de penser que pour combattre.

Mesdames, Messieurs, aussi longtemps qu’à la raison appartiendra la conduite de l’homme, aussi longtemps que la direction des membres et leur impulsion seront remises au cerveau, un dessein sera le principe de toute entreprise, la première condition de l’action sera la science.

Voilà ce que nous eûmes à répondre à ceux qui s’étonnaient de nous voir former cet Institut, quand tout, autour de nous, nous convie à agir.

Les ruines s’amoncellent sur le sol de la France ; avec une rapidité effrayante nous voyons tomber autour de nous ce qui semblait de plus essentiel, de moins attaquable ou de plus résistant. L’Église, la défense nationale, la propriété, les mœurs publiques, attaquées sans relâche, font prévoir un abîme de maux. Courons au secours, sans doute, mais d’abord prenons garde à ce que nous appelons de ce nom. Est-ce vraiment secours ou détriment ? Est-ce poison ou remède ? Nos bonnes intentions ne suffisent pas. L’ignorance tue comme le crime. Sans sortir du rôle essentiel que le plan de ce rapport m’assigne, je puis dire, j’ai le devoir de dire que l’action des conservateurs dans les luttes politiques françaises, par la tactique qu’ils ont suivie, par les idées qu’ils ont semées, effet d’une ignorance des principes et des causes, bien loin d’avancer l’œuvre de la restauration nationale, n’a fait depuis longtemps qu’empirer le mal et contribuer à notre destruction.

Il faut donc enseigner, il faut donc instruire, il faut exposer, démontrer, réfuter, faire œuvre de maîtres, et former des disciples.

Voilà ce que nous disons, avec une évidence à laquelle les événements se sont empressés de rendre hommage. Cependant avions-nous raison de croire qu’on nous comprendrait aussitôt ? Les succès immédiats font quelques fois défaut aux entreprises les mieux conçues, les plus utiles. Vous savez d’où venait celle-ci. Le comte Eugène de Lur-Saluces, Maurras, d’autres que leur modestie fait défendre de les nommer, en conçurent le plan et le mirent en ordre. Gages éminents de succès, dont cependant il fallait voir les commencements. Mesdames, Messieurs, ces commencements ont dépassé l’attente de tous.

Depuis que les cours furent mis en train, une activité singulière commença d’en animer les leçons. Elle allait des maîtres aux auditeurs, refluait de ceux-ci avec une promptitude, un zèle, parfois un enthousiasme, dont le spectacle frappait tous nos amis. Une fois de plus, l’Action française éprouvait le bonheur que lui valent sa fidélité aux principes, et l’indifférence qu’elle professe pour les résultats sans lendemain. Pas une fois un seul des cinq cours où se poursuivait cet enseignement ne parut délaissé, ou suivi de façon tiède. Les auditoires toujours nombreux attendaient l’intérêt des matières enseignées. L’application redoublée des maîtres répondait à celle des disciples. Et ces auditoires se renouvelaient. La philosophie catholique avait le sien, le sien, la philosophie positive, l’empirisme organisateur, tradition et raison, communiquaient aux salles des physionomies parfaitement distinctes, ou la vie s’attestait par cette variété.

Des séances solennelles d’inauguration de cours, pour les trois chaires, celle du Syllabus, Auguste Comte et Rivarol, réunirent dans cette salle plus de cinq cents personnes : preuve éclatante et renouvelée de l’approbation qui venait à l’Institut d’Action française.

Dans cette affluence, comment manquer ici de remarquer avec distinction celle des dames ? Comment omettre de remercier celles-ci de la flatteuse attention qu’elles n’ont pas cessé de nous donner, de l’empressement qu’elles ont mis à nous suivre ? En surcroît des devoirs de famille, au milieu de tant d’obligations mondaines dont la saison les charge, comment ne pas admirer cette grande assiduité ? L’affection pour notre œuvre s’y montre dans un éclat qui nous enchante, d’où notre reconnaissance s’accroît, et qui double nos espérances.

Les étudiants nous sont venus en nombre, partie de l’Institut catholique, partie des écoles de l’État. Autre gage d’avenir non moins sensible, par où se trouve consacré le tour de scolarité que les inventeurs de l’Institut ont souhaité de lui donner tout de suite. On y a pris des notes, on a tenu des cahiers. Les comparaisons n’ont pas manqué avec l’enseignement officiel, et force a été de reconnaître que le plus grand empressement à suivre et à noter n’était pas toujours du côté de ce dernier.

D’autres marques de succès nous ont été données, non du côté des disciples cette fois, mais des maîtres. Le président de l’Union des Jaunes de France, M. Biétry, a souhaité de faire entendre chez nous quelques-unes des vérités sociales que l’expérience a su lui découvrir. Vous vous souvenez, Mesdames et Messieurs, de ces deux séances tenues ici même, et du grand succès qu’elles ont eu. L’occasion nous donna ce collaborateur comme pour témoigner que rien de sérieux, de fort, même préparé sur un autre terrain que le nôtre, ne serait enseigné nulle part, qui ne tendit à se faire entendre chez nous, attiré par notre corps d’enseignement comme par son centre naturel. Enseignement monarchique, centre de vérité : comme la royauté capétienne est le centre de l’intérêt français.

De grandes attaques venues de quelques catholiques, qui se prétendaient armés des intérêts de la dévotion, avaient remué l’opinion aux environs de l’époque où notre Institut se fonda. La saison ne devait pas se clore sans qu’une éclatante riposte à ces attaques fût entendue.

Dans la dernière conférence de la chaire du Syllabus, récemment donnée par M. l’abbé du Pascal, Monseigneur l’évêque de Montpellier parut. Il voulut bien prendre place près du conférencier et se faire entendre près de lui. La Gazette de France vous a fait lire les termes de l’approbation dont Monseigneur de Carbrières a daigné honorer notre œuvre. Elle empruntait aux circonstances une importance particulière. L’autorité et le caractère de l’hôte illustre qui la donnait, en font un des témoignages les plus chers dont nous puissions nous prévaloir. On s’était permis d’imprimer que de voir participer des catholiques à l’œuvre de l’Action française, est « scandaleux ». Désormais le public catholique saura quel scandale s’attache à la critique qui juge ainsi une œuvre publiquement approuvée par un prélat comme celui-là.

Mesdames, Messieurs, nous sommes ici pour vous dire : à l’année prochaine. Fort de ces premiers succès, l’Institut rouvrira avec des chaires nouvelles, un surcroît d’auditoires, une réputation agrandie.

Le concours d’intelligence et de zèle voué par nous à cette fondation est tout prêt pour de nouveaux efforts, que ne manqueront pas de suivre des conquêtes nouvelles. De votre part, que le concours financier ne fasse pas défaut à ces promesses d’avenir. À combien de tentatives d’un genre différent nous avons vu un tel discours ne pas manquer ! À combien, dis-je, que le succès ne devait pas couronner, et qu’une rigoureuse estimation des choses faisait d’avance prévoir de nul effet. Que d’enthousiasmes trompés, de générosités perdues, de ressources gaspillées dans l’aventure électorale, à laquelle quelques-uns, dit-on, s’apprêtent à courir de plus belle ! En répondant à notre appel, vous ferez voir, Mesdames et Messieurs, que les raisons par lesquelles se démontre l’urgence de notre enseignement à l’Action française possèdent votre entière adhésion. Vous témoignerez par là de leur excellence, à la façon dont d’autres témoignent de la puissance l’illusion qu’exercent les erreurs faciles.

Que l’importance d’une œuvre consacrée par un si évident succès, approuvée en principe par tout ce qui se rend capable d’envisager en France les vraies nécessités présentes, ne soit pas méconnue en fait. Avec les années nouvelles, il faut que notre enseignement se rende plus complet. Nous faisons pour l’année qui commence le projet de chaires nouvelles et non moins nécessaires. Nous souhaitons d’accroître notre publicité. Avec les auditeurs, qui viennent en abondance, il nous faut donc aussi des souscripteurs.

Ainsi l’accueil que l’Institut a reçu croîtra d’importance, et son renom d’éclat. Vous en tenez maintenant les promesses. À vous, Mesdames et Messieurs, d’en avancer l’effet.  ■

 

 

 

 

 

 

 

Categories Activités, Presse, Mouvement, Idées, Histoire, Culture & Civilisation
Post navigation
MACRON À LA TRAÎNE
La Cour des comptes pointe enfin les subventions de l’art abscons

4 commentaires pour “Discours de Louis Dimier, secrétaire général de l’Institut d’Action française en 1906 : où comment la première AF voulait un rapport substantiel entre « action » et « réflexion ».”

  1. Richard
    mardi 14 mars 2023 at 10 h 53 min | Répondre

    Ce n’est pas sur BFM ni sur Cniouz que l’on trouverait la transmission de tel discours ; le fond est excellent en tous points mais également la forme, d’un français ne se retrouvant plus actuellement même dans ce qui est « bien écrit » et qui rend ce discours pas si austère qu’il pourrait sembler au premier abord .

    • JSF
      mardi 14 mars 2023 at 19 h 54 min | Répondre

      Le correctif que votre commentaire apporte à notre présentation de ce beau discours nous paraît amplement justifié. (sur ce « qui rend ce discours pas si austère qu’il pourrait sembler au premier abord »).
      Merci !

  2. LAGROT
    mardi 14 mars 2023 at 11 h 24 min | Répondre

    On parlait bien en 1906 ! et on ne parlait pas pour ne rien dire
    Il y a beaucoup à apprendre de ce discours. Mais pour nous ….. vient il trop tard ?

  3. Michel+MICHEL
    mardi 14 mars 2023 at 12 h 45 min | Répondre

    C’est une constante de l’Action Française, réflexion et action ne sont jamais dissociées. A travers des époques et des styles différents, l’AF est un « mouvement-école » qui tente de transformer la raison en force (« notre force est d’avoir raison »).
    Longtemps le militant a été symboliquement présenté avec un bon livre à la main et une canne plombée dans l’autre.
    La plupart de ceux qui nous ont quitté ne parvenaient pas à supporter cette tension et préféraient plonger dans « l’activisme » ou « l’intellectualisme ».

Répondre à Michel+MICHEL Annuler la réponse

L'association Je Suis Français est la seule destinataire de vos données personnelles qui ne sont en aucun cas transmises à des tiers sous quelque forme que ce soit.

Archives

Notre marque

Peinture par un jeune artiste Prix de Rome, offerte à l’U.R.P. pour le 7e centenaire de la mort de Saint-Louis [1970] © U.R.P. [Peut être reprise sur autorisation écrite.]

Prince Jean : « Le rôle politique, je l’ai »

« Le rôle politique, je l’ai sans avoir besoin d’être élu. C’est tout à fait dans le rôle d’un prince de pouvoir sortir un peu de cet échange partisan et de s’intéresser au bien commun, à l’intérêt général de la Cité. »

_____________________________________

Direction de Je Suis Français
Yves Boulon – Sylvie Gaud-Hueber – Jean Gugliotta – Jean-Louis Hueber – Paul Léonetti – Gérard Pol.         
_____________________________________

Ce quotidien a un coût. Son audience un prix. Aidez-nous ! Faites un don ! À partir de 5 €. Merci !

Faire un don ? Le plus simple, c’est PayPal. Dons en ligne – en toute sécurité. Utiliser le bouton PayPal ci-dessous

Sinon, par chèque. Ordre : Je Suis Français – Adresse postale : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE

__________________________________

Rubriques Chroniqueurs

POLITIQUE
. Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade. Contribution â l’expression de notre ligne politique [France & Étranger].
. En deux mots, par Gérard Pol. Réflexion sur l’actualité française et internationale.
. Idées et débats par Pierre de Meuse.
. Les chroniques moyen-orientales d’Antoine de Lacoste,
. Les analyses économiques de plusieurs spécialistes.
. Dans la presse et Sur la toile. Des réactions courtes aux articles, vidéos, audios, les plus marquants.
. Les GRANDS TEXTES politiques.
CULTURE
. Péroncel-Hugoz : Journal du Maroc et d’ailleurs [Inédit]. Autres contributions : Histoire, géographie, lectures et reportages.
. Les études de Rémi Hugues ; Histoire, sociologie politique, philo et actualité. Des séries originales et documentées.
. Patrimoine cinématographique et autres sujets  : les chroniques dominicales de Pierre Builly 
. Les éphémérides.
ANNONCES DES PRINCIPALES ACTIVITÉS
du monde royaliste. Presse et revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc.
COMTE DE PARIS – FAMILLE DE FRANCE
. Messages, tribunes, activités, du Prince Jean, Comte de Paris. Les événements de la Famille de France. Et complément : les récits et choses vues de Francesca.
__________________________________

L’Histoire de France  jour après jour. Personnages célèbres, écrivains, savants, artistes, religieux, chefs militaires. Événements majeurs. Œuvres d’art, monuments et sites d’un héritage exceptionnel : le nôtre.

     _____________________________

CLIQUEZ SUR LES IMAGES    

14 JUIN – MIDI BLANC – QU’ON SE LE DISE !

_________________________________

Se renseigner – S’abonner

____________

S’abonner sur le site de Politique magazine : 

____________________________ 

Les principales activités royalistes annoncées ici. Revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc. Image : © GAR


(Sur le site de l’Action Française)
_________________________________ 

Le site géostratégique d’Antone de Lacoste _________________________________ 

Fédération Royaliste Provençale
Fédération régionale de l’Action Française

BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE. Messagerie : urp@outlook.fr

(ATENTION : l’adresse 48 rue Sainte-Victoire, 13006 MARSEILLE, est supprimée). 
_______________________________

Livres à la une

Le dernier ouvrage de Jean-Paul Brighelli, – agrégé de Lettres, qui a enseigné pendant 45 ans :  « La fabrique du crétin – Vers l’apocalypse scolaire« , le tome 2 de son succès d’édition, déjà vendu à 150 000 exemplaires. Cliquez sur l’image.

_________

L’Action française est aujourd’hui le plus ancien et, dans sa continuelle vitalité, le plus constamment jeune des mouvements politiques, toutes tendances confondues. Elle se renouvelle à chaque génération, dans la permanence, sans cesse ravivée et adaptée, d’une doctrine, d’une vision, d’une action. Cliquez sur l’image.
__________________________________

JSF recommande à ses lecteurs d’adhérer à l’Action Française

Chers lcteurs, il ne suffit pas de nous lire. Si vous le souhaitez, si vous le pouvez, nous vous recommandons d’adhérer à l’Action Française, pour soutenir, renforcer, participer au mouvement royaliste. L’année commence, c’est le moment ! Cliquez sur l’image !   JSF
__________________________________

Bernard Lugan : Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentancePrésentation – Table des matières – Commandes  [CLIQUER]

__________________________________

Livres recommandés…

Pierre de Meuse. Derniers ouvrages parus

 

 

 

 

 

Idées et doctrines de la Contre-Révolution, préface de Philippe Conrad.  DMM – 2019.
Le dogme de l’antiracisme, origine, développement et conséquences, préface de Bernard Lugan,  DMM – 2024.
Informations – Achats : Cliquez sur les images.
Annie Laurent : L’Islam. Pour s’informer sérieusement …

Pour en savoir plus sur cette indispensable étude, pour commander : ICI

__________________________________


Envois postaux : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE 
Courriel : contact@jesuisfrancais.blog

Librairie de Flore

Cliquez sur l’image pour accéder aux produits de la Librairie de Flore ! Livres, revues, boutique …

L’incontournable ouvrage de Charles Maurras enfin disponible. 15,00€, 515 pages. En stock.

Lettre de JSF : S’abonner, c’est utile et c’est gratuit !




Service quotidien gratuit, déjà assuré le matin pour les milliers de lecteurs inscrits. Si ce n’est pas encore votre cas, inscrivez-vous dès maintenant pour recevoir la lettre de JSF au plus vite et régulièrement. Inscription simple ci-dessous.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique de confidentialité.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Comte de Paris : 60 ans d’héritage et d’avenir

https://youtu.be/MEl5wncXQ0M

. Comte de Paris, Site Officiel
. Comte de Paris, Page Facebook 
. Politique Magazine & Revue Universelle
. Maurras.net
. Action Française – Le bien commun

                                    
Je Suis Français (JSF) est aussi sur Twitter/X
                 
Page associée

Commentaires récents

  • lundi 16 Juin 09:45
    Paul Pontenuovvo sur Radu Portocala : À Kiev, la…
    “Un ramasis d’invertis, plus ou moins nazis et droitsdel’hommistes en même temps, se regardant le nombril…”
  • lundi 16 Juin 09:42
    David Gattegno sur Stéphane Rozès au JDD : « la question…
    “La psittacique répétition de «la fin de l’ennemi communiste» pour expliquer l’état géopolitique actuel n’empêche nullement…”
  • lundi 16 Juin 09:21
    Cincinnatus sur Céline Pina : Meurtre d’une surveillante…
    “Les gens de rien « sans culture » (parce que français), ceux dont on « lave le cerveau » à…”
  • lundi 16 Juin 08:50
    David Gattegno sur La fin serait-elle Proche ? Des…
    “Nul n’a de «compétence particulière» en matière immédiatement contemporaine, pour la simple raison que, tous autant…”
  • dimanche 15 Juin 19:24
    Marc Vergier sur La République va juger pour meurtre…
    “P. Builly me semble le plus réaliste. Déjà reconnaissons que les drogues sont, en fait, implicitement…”
  • dimanche 15 Juin 16:04
    JSF sur La fin serait-elle Proche ? Des…
    “A Bruno DE BOUILLANE Merci de votre commentaire. 1. Nous n’avons pas présenté Monique Plaza comme…”
  • dimanche 15 Juin 15:41
    JSF sur Il y a 5 ans, Jean…
    “Merci à Pierre Builly de ces souvenirs précieux qui ont le parfum des choses vécues personnellement…”
  • dimanche 15 Juin 14:11
    Pierre Builly sur La République va juger pour meurtre…
    “@Richard : pourquoi limiter la légalisation au cannabis ? Héroïne, cocaïne, crack et tuttis quanti… Je…”
  • dimanche 15 Juin 11:46
    Bruno DE BOUILLANE sur La fin serait-elle Proche ? Des…
    “quelle est la compétence particulière de cette « spécialiste des troubles du langage » quant à la guerre…”
  • dimanche 15 Juin 11:39
    Grégoire Legrand sur La République va juger pour meurtre…
    “Je vous l’ai dit : la méthode philippine. En Italie, Murat et Mussolini ont réussi, chacun…”
  • dimanche 15 Juin 07:09
    Richard sur La République va juger pour meurtre…
    “Si le trafic de cannabis venait à se transformer en commerce , commerce sur lequel l’État…”
  • dimanche 15 Juin 00:16
    Rémy Chieragatti sur La République va juger pour meurtre…
    “Bonjour, l’Histoire nous apprend que dans un autre domaine en politique « qui veut , peut » ..…”

EXPLOREZ LES TRÉSORS DE NOTRE HISTOIRE

EXPLOREZ LES TRÉSORS DU CINÉMA…

____________________________________

Une collection de vidéos dont un grand nombre exclusives réalisées par l’Union Royaliste Provençale. © URP/JSF – Reproduction autorisée à condition de citer la source.

Chaîne YouTube Je Suis Français. Pour une plus large audience.  (Création récente)

_____________________________________

Péroncel-Hugoz dans JSF

Retrouvez ici..

Et aussi…

_______________________________

Appel aux lecteurs de Je Suis Français : Pour la sauvegarde du patrimoine matériel de l’Action Française !

Participez à l’opération nationale de sauvegarde du patrimoine historique de l’Action Française, lancée par le Secrétariat Général du Mouvement. Tous documents ou objets divers nous intéressent : photos, films, livres, journaux, correspondance, insignes, drapeaux etc. Ecrire à Michel Franceschetti : chetti133@sfr.fr .   

PEUT-ON SORTIR DE LA CRISE ? Une étude intégrale de Pierre Debray dans JSF

Une contribution magistrale à la réflexion historique, économique, sociale, politique et stratégique de l’école d’Action Française. Étude intégrale à la disposition des lecteurs de JSF, notamment étudiants, chercheurs et passionnés d’histoire et de science économiques.  ENTRÉE

Les créations de JSF : Séries, dossiers, études

 

Etudes, séries, dossiers regroupés pour être en permanence disponibles et directement consultables   © JSF – Peut être repris à condition de citer la source Pour y accéder, cliquez sur l’image.

A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.

Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

* Frais de port inclus

  • Contact
  • Mentions Légales
  • Politique de Confidentialité
Je Suis Français © 2019 Tous droits réservés.

Site réalisé par Eva Giraud Web
Retour en haut de page