François Bosquet apparaît dans cet entretien que nous recommandons d’écouter, comme un remarquable analyste de la situation pour le moins chaotique et violente, conséquence du Système Macron et du Régime en soi-même mis en échec par une révolte du Pays. Comprendre et, autant que possible prévoir : écouter à partir de la 25e min. JSF
Le quotidien royaliste sur la toile
Un portrait magistral et désolant de notre pays est dressé par ces trois voix. Encore ont-ils évité d’aborder tous les mensonges et les incohérences touchant à notre guerre contre la Russie !
Il me semble que la langue claire en usage jusque , disons, les années 1950, a quasiment perdu cours. Oubliant Descartes, notre production « humaniste » (pour faire vite) est passée sous l’empire des Heidegger et autres Germains intraduisibles. Les « sciences humaines », elles, ne peuvent s’empêcher de mal traduire les maîtres anglo-saxons. Je pense, évidemment, aux économistes dont la charabia imprègne nos quotidiens. La petite panique bancaire qu’on vient de vivre a vu refleurir un bon exemple ; le « moral hazard » anglais devenu, quand il est « traduit en français », le hasard moral. On comprend: c’est plus facile et c’est plus chic, ésotérique à souhait, intimidant, même…Et pourtant une pure c..nnerie ! Le « moral hazard » c’est un euphémisme prétentieux pour dire… la triche, l’abus de droit, le contournement de la loi.
Une université largement convertie à un nouveau « anti-français » scolastique et poquelinesque ne peut produire que de médiocre journalistes et un lectorat déboussolé. Quand ses dirigeants lui lancent du pseudo-Ricœur à la figure, le peuple du Ricard est fondé à se croire méprisé et trompé, volontairement égaré, sadiquement humilié, politiquement sédaté, rivotrilisé.
Concrètement : on se fout complètement de notre gueule avec cette suppression a-priori des microscopiques et très pratiques tickets de caisse, prétendûment pour éviter le gaspillage de papier ! Nous forcer à le mendier, n’est-ce pas une humiliation de kapo ?
Concrètement, encore : hier j’ai passé plusieurs heures à déclarer « en ligne » le petit patrimoine immobilier d’une amie . Un vrai calvaire pour l’a tête et pour les yeux ! J’espère que cet ahurissante affaire va éclater comme elle le mérite. Imaginez que le moindre appartement se voit subdivisé en pièces à vivre et en buanderie. S’il a un balcon il s’y ajoute une annexe dite d’agrément. Chacune de ces subdivisions fait l’objet d’un déclaration séparée : surface (cadastrale, différente de la surface « Carrez »), loyer, occupants (noms prénoms, dates et lieu de naissance, dates d’entrée dans le local). Comme si votre balcon ou terrasse était occupé par quelqu’un d’autre, comme si le réduit où est placée la machine à laver le linge était, lui aussi, donné à bail à un troisième occupant ! Pour trois appartements et un box ça faisait onze déclarations différentes.
Ajoutez des va-et vients incessants sur des formulaires dépassant largement la taille des écrans, sans aucune recherche d’ergonomie, au contraire. Les textes sont blancs sur fond bleu ciel. Sus aux yeux de nos aïeux ! Des symboles graphiques stupides, dans les mêmes tons, encombrent et parasitent l’espace… Le tout à l’avenant: l’un des appartements était loué à un couple; le mari était né en Algérie; il fallait le dire et préciser obligatoirement la ville et le département, faute de quoi un feu rouge s’allumait. Problème : le menu déroulant ne proposait rien en Algérie, ni département, ni ville (ni willaya, bien sûr). Cuisante brimade pour nos vieux Pieds-Noirs, et pour tous les nouveaux venus !
A quoi bon tout ça ? Pas un mot d’explication. Je parie qu’il y a de la taxation dans l’air, et un gigantesque gaspillage de papier ! du pseudo-Ricœur jusqu’à plus soif !
Je pense connaître ce genre de situation où il convient de déclarer ses date et lieu de naissance. Je suis un descendant des Alsaciens Lorrains qui ont choisi de rester Français après la défaite de la guerre de 1870. Nous indiquons le lieu de naissance et ajoutons entre parenthèses Algérie française. En principe il n’y a pas de rejet du document dans la mesure où la date de naissance bien entendu est antérieure au 30 juin 1962. et où la localité de naissance est celle de la période française. Exemple pour Marthe Villalonga qui vient de célébrer son 90 -ème anniversaire, elle est née à Fort-de-l ‘Eau aujourd’hui Bordj el Kiffan…