4 commentaires pour “Place d’Armes annonce son Université des Vendanges. C’est à noter, à suivre, à soutenir.”
Vous pourrez peut-être faire passer aux organisateurs de cet événement que l’on utilise comme abréviation de Monsieur « M. » et non Mr qui se lit Mister.
Le patriotisme se trouve aussi dans le respect de sa propre langue!
Vous avez évidemment raison sur la question d’orthographe. Sur la façon de dire ce genre de choses, et de remarques, nous conseillons le tact, l’esprit confraternel, notamment entre patriotes qui s’évertuent à défendre la France. En bref, exprimer la remarque sans.donner l’impression de faire la leçon. Cordialement.
Cher JSF,
Si ma remarque a pu paraître condescendante, je vous prie, évidemment, de bien vouloir m’excuser.
Il n’en était rien et il n’y avait aucune malignité dans ma remarque. Je suis navré qu’elle était prise comme telle et vous réitère mes excuses.
J’entends que mon commentaire ait pu être lu avec un ton directif ; j’en prends acte et tenterais d’y penser à l’avenir.
(Vous pourrez, d’ailleurs, vous moquer allègrement des fautes de mon dernier commentaire, qui en souligne l’ironie.)
Vous pourrez peut-être faire passer aux organisateurs de cet événement que l’on utilise comme abréviation de Monsieur « M. » et non Mr qui se lit Mister.
Le patriotisme se trouve aussi dans le respect de sa propre langue!
Vous avez évidemment raison sur la question d’orthographe. Sur la façon de dire ce genre de choses, et de remarques, nous conseillons le tact, l’esprit confraternel, notamment entre patriotes qui s’évertuent à défendre la France. En bref, exprimer la remarque sans.donner l’impression de faire la leçon. Cordialement.
Cher JSF,
Si ma remarque a pu paraître condescendante, je vous prie, évidemment, de bien vouloir m’excuser.
Il n’en était rien et il n’y avait aucune malignité dans ma remarque. Je suis navré qu’elle était prise comme telle et vous réitère mes excuses.
J’entends que mon commentaire ait pu être lu avec un ton directif ; j’en prends acte et tenterais d’y penser à l’avenir.
(Vous pourrez, d’ailleurs, vous moquer allègrement des fautes de mon dernier commentaire, qui en souligne l’ironie.)