Cet entretien rouvrant un débat qui, de fait, n’est pas clos, a été publié sur France Soir, le 15 novembre suivi du commentaire repris ci-dessous. Nous le livrons tel quel aux lecteurs de JSF auxquels nous laissons le soin, le cas échéant, d’en débattre et d’en juger.
Nouvelle publication de l’étude démontrant l’efficacité des traitements précoces, qui fait trembler le pouvoir.
Le professeur Raoult et quatre autres chercheurs, les professeurs Brouqui, Million, Parola et Mc Cullough publient un nouvelle étude sur les 30 423 patients pris en charge et soignés à l’IHU-Méditerranée durant la crise Covid. Initialement publiée le 4 juin 2023, cette étude avait été rétractée suite aux pressions exercées par François Braun, ministre de la Santé à l’époque. Mais les ministres de la Santé se succèdent et Didier Raoult continue à faire de la science.
Dans ce débriefing, il revient sur cette publication. Les résultats de l’étude sont statistiquement en faveur des traitements précoces, ce qui paraît logique au regard du type de maladie qu’est le Covid. Non seulement, les résultats sont indéniablement en faveur de la bithérapie (rappelons que les cinq chercheurs associés à l’étude ont soigné avec ces traitements pendant la crise), mais les données ont été validées par huissier dans un souci de transparence et d’intégrité.
Parmi les 30 202 patients pour lesquels des informations sur le traitement étaient disponibles, 191 sur 23 172 (0,82 %) patients traités par hydroxychloroquine et aziththromycine (HCQ-AZ) sont décédés,contre 344/7030 (4,89 %) qui n’ont pas reçu de traitement par HCQ-AZ.
Le traitement par HCQ-AZ a généré une mortalité plus faible que le traitement sans HCQ-AZ.
Le rapport de chance relative, ou odds ratio en anglais (OR) est de 0,16. C’est un calcul statistique qui permet d’évaluer la dépendance entre des variables aléatoires qualitatives souvent utilisées pour mettre en évidence le degré ou la force d’une association entre des échantillons traités ou pas dans des études cliniques. Après redressement et ajustement pour tenir compte du sexe, de l’âge, de la période et de la prise en charge du patient, la bithérapie est toujours associée à un taux de mortalité significativement plus faible.
Laurent Mucchielli a proposé une analyse de cette étude et conclut : “L’IHU démontre que son protocole anti-Covid aurait pu sauver de très nombreuses vies”.
Citant Schopenhauer (“Toute vérité passe par trois étapes : elle est toujours ridiculisée puis violemment combattue avant d’être acceptée comme une évidence”), le professeur Raoult évoque son tweet sur l’aveu de l’ancien président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy qui reconnaît s’être trompé sur l’efficacité du vaccin. Il aurait d’ailleurs pu prendre connaissance du contrat Pfizer sud-africain qui indique noir sur blanc que le fabricant ne s’engage ni sur l’efficacité ni sur les effets secondaires.
De la même manière que Jean-François Delfraissy reconnaît ses erreurs, ne serait-il pas opportun que l’actuel ministre de la Santé, Aurélien Rousseau, reconnaisse aussi les siennes, par exemple quand il a osé déclarer qu’il n’y avait pas d’effets secondaires de la vaccination début octobre sur France Inter, et en réitérant ce message par un tweet.
Suite à cette étude, il est temps que les Français demandent une enquête publique. IL Y AVAIT MOYEN DE SOIGNER AUTREMENT ! ■
Source….
Merci à Marc Vergier de sa transmission.
Depuis le temps que le professeur Raoult dit et répète la même chose, on perçoit les raisons pour lesquelles les «politiques» ne peuvent que persévérer dans les mensonges et dénis de réalité.
Il reste à comprendre maintenant que, dans cette affaire du covid, il ne peut DONC n’y avoir eu QUE du complot et que, intellectuellement parlant, c’est l’analyse de ce complot qui importe par-dessus tout le reste… En effet, que les fonctionnaires et bureaucrates relèvent des cochonneries du fonctionnariat et de la bureaucratie, voilà qui n’a pas à être par trop examiner encore, on sait bien ce qu’il en est. En revanche, la question du (ou des) complot(s) est brûlante. Avec le covid, elle est incendiaire. En effet, cette affaire-là ne peut en aucun cas n’être que le produit d’incompétences, fussent-elles aussi astronomiques que l’on en a pris l’habitude…
L’existence et les manifestations du professeur Raoult en apportent la preuve ; c’est d’ailleurs pourquoi il a tellement embarrassé et pourquoi il a été question de le diaboliser à peu près au même rythme que cela avait été fait pour Jean-Marie Le Pen…
Seulement, le Pr Raoult ne présente pas l’avantage politique de pouvoir relever de quelque «délit d’opinion» ; en effet, il se garde de toute espèce d’«opinion» dans ses déclarations… Moyennant quoi, désormais, il a valeur de «témoin» irréfutable ; son «témoignage» ne peut être mis en doute, car il a témoigné dès le départ et qu’il en reste des traces «officielles»… Ce sont ces traces qui peuvent attester qu’il y a eu collusion entre des intérêts qu’il y a lieu maintenant de mettre en lumière… Or, la lumière éclaire la dimension du complot pur et simple ; et la question s’impose, alors : dans quel but ? Je répète : dans quel but ?…
Errare humanum est perseverare diabolicum
l’Hydre de Schwarch le grand prêtre du NOM a une de ses têtes dans le monde médical. Il l’a dit lui même à un journaliste lors d’un sommet à Davos : « ils sont tous avec nous ».
Alors ni oubli, ni pardon ne doivent leurs être donnés. D’autant que tout le monde connait une victime directe ou par effets secondaires de leurs injections mortelles. Tout cela pour du pognon.