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Jean-Éric Schoettl : « Pourquoi la démission d’Emmanuel Macron ne serait pas un remède à la crise actuelle du politique »

vendredi 6 décembre 2024vendredi 6 décembre 2024 sur JSF

Par Jean-Éric Schoettl.

« Si la crise politique se double d’une crise institutionnelle, ce n’est pas que les institutions soient en panne, mais qu’elles s’épuisent à accompagner la multipolarisation de l’opinion. »

Cette très intéressante tribune est parue dans Le Figaro d’hier (5.12.2024). Sa conclusion renvoie, nous semble-t-il, bien au-delà du champ institutionnel qui n’est pas en soi-même vraiment en défaut, mais bien plutôt à la situation de l’opinion dont la tripolarisation rend l’Assemblée et finalement le pays durablement ingouvernables. « Comment en sortir ? La question est posée. La réponse, esquissée, consiste en la nécessité d’une révolution intellectuelle et morale, individuelle et collective, que Jean-Éric Schoettl qualifie lui-même de vaste programme. Mais pourquoi cette tripolarisation ? Pourquoi cette perte du sens de la commune appartenance à la Nation ? N’y a-t-il pas des sujets où un consensus existe, ne demanderait qu’à se reformer, et que nos élites pourtant s’obstinent à exclure du débat public ? Et pas seulement sur l’immigration. Cette question ne mériterait-elle pas d’être posée ? »       

TRIBUNE – Même en cas de départ du chef de l’État, le nouveau président élu ne bénéficierait pas d’une adhésion populaire majoritaire en raison de la profonde division du pays en trois blocs idéologiques, analyse l’ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel.

Jean-Eric Schoettl est ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel.

« Y a-t-il une volonté populaire de changement radical depuis quelques années ? »

Les effets chaotiques de la dissolution sont chaque jour plus visibles : élections législatives ne dégageant aucune majorité ; Assemblée nationale que son éclatement et la radicalité de certaines de ses composantes transforment en bateau ivre ; renversement, après trois mois seulement de mandat, d’un gouvernement de bonne volonté, mais enfanté dans la douleur ; spectre d’une France sans dirigeants et sans budget, que son instabilité politique enfonce dans un déclin économique et moral.

L’idée que rien ne sera viable tant qu’une dissolution ne sera pas possible – c’est-à-dire jusqu’à l’été – conduit à chercher désespérément une sortie de crise à terme rapproché. Les regards se tournent alors vers le chef de l’État : n’est-il pas à l’origine du marasme ? Le désaveu du pays ne devrait-il pas le conduire, en bonne doctrine gaullienne, à démissionner ? L’élection anticipée d’un nouveau président ne permettrait-elle pas de rebattre les cartes et de sortir de l’ornière ?

Ces supputations sur la démission d’Emmanuel Macron comme issue à la crise actuelle n’auraient de sens qu’à deux conditions. Il faudrait d’abord que la perspective d’une démission présidentielle dans les mois à venir présente une suffisante vraisemblance. Il faudrait ensuite que les élections (présidentielle et législatives) consécutives à cette démission reconstituent la configuration familière qui a fait les riches heures de la Ve république : un parti présidentiel (ou une coalition de partis favorables au Président) majoritaire à l’Assemblée ; l’alternance dans un cadre bipolaire.

La première condition est a priori non remplie en raison de la volonté explicitement exprimée par Emmanuel Macron d’exercer ses fonctions jusqu’à leur terme. Rien ne l’oblige, dans la Constitution, à cesser son mandat, sauf empêchement (art 7, 4e alinéa) ou destitution par le Parlement constitué en Haute Cour (article 68). Mais à moins d’un évènement exceptionnel, ces deux hypothèses ne se réaliseront pas en l’espèce. Certes, Emmanuel Macron pourrait se résoudre de lui-même à la démission si la situation de la France se dégradait et que cette dégradation lui était unanimement imputée. Son image s’en trouverait alors si altérée, à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, que sa tâche deviendrait impossible et son existence présidentielle invivable. L’humiliation subie le conduirait, en dépit de son caractère de battant, à jeter l’éponge. Un scénario de ce type naîtrait d’une instabilité gouvernementale persistante et délétère, tenant à des censures à répétition, qui supposeraient une réitération de la coalition des contraires. Mais cet acharnement est-il politiquement plausible ? Il faudrait pour cela que ni les socialistes, ni le Rassemblement national ne voient s’élever leurs électeurs contre les conséquences négatives des censures, pour le pays comme pour leur image. C’est loin d’être évident.  

Il faut en effet comprendre que la tripolarité actuelle de l’Assemblée n’est pas un accident imputable à une erreur de l’histoire appelée macronisme. Ce n’est pas non plus un épiphénomène lié au culbuto de la dissolution.

Venons-en à la seconde condition. Supposons donc une élection présidentielle organisée, par exemple, au printemps prochain. Qui accède au second tour ? Dans l’état actuel du paysage politique, ce serait le candidat du RN (Marine Le Pen ou, si elle est rendue inéligible, Jordan Bardella) et un autre candidat (Jean-Luc Mélenchon, Laurent Wauquiez, Édouard Philippe, Gabriel Attal, Raphaël Glucksmann…). Sauf si le second tour opposait le candidat de la France insoumise à celui du RN, on assisterait, même sans consigne partisane, à une réédition du «front républicain». Les sondages montrent en effet qu’une majorité de Français refusent le RN. Les Français voteraient donc contre le candidat du RN plus encore qu’en faveur de MM Wauquiez, Philippe, Attal ou Glucksmann. Ce n’est que contre le candidat de la France insoumise que le candidat du RN remporterait l’élection car les LFI sont encore plus répulsifs. En tout état de cause, le président élu, pas davantage que le président actuel, ne bénéficierait d’une adhésion populaire majoritaire. Il serait seulement moins récusé que son adversaire. Ce qui veut dire que les élections législatives consécutives, comme celle de 2024 (et déjà de 2022), ne produiraient pas de majorité et que l’Assemblée nationale resterait tripolaire… et donc ingouvernable.

Il faut en effet comprendre que la tripolarité actuelle de l’Assemblée n’est pas un accident imputable à une erreur de l’histoire appelée macronisme. Ce n’est pas non plus un épiphénomène lié au culbuto de la dissolution.

Sur le plan des idées, l’imaginaire collectif s’est en effet fracturé en trois blocs, ayant chacun sa base sociale, culturelle, géographique et générationnelle (les métropoles, la France périphérique, la jeunesse, les quartiers …). Le premier bloc se fédère autour d’une aspiration (métropolitaine, élitaire, moderniste et gestionnaire) au dépassement des clivages idéologiques, par l’ouverture au monde, le primat de la rationalité économique et la minimisation de problèmes qui tourmentent le reste du corps social (déclin de la France périphérique, insécurité économique, physique et culturelle, pertes de souveraineté). Le deuxième bloc réunit une gauche radicalisée autour d’options de moins en moins sociales et de plus en plus sociétales : droits des minorités ethniques, religieuses et sexuelles, défense de l’environnement contre les activités humaines, répudiation du récit national, rejet des attributs régaliens de l’État (autorité, police, prisons, frontières…). Le troisième bloc rassemble une droite se déportant vers son pôle antisystème, parce que ce pôle, un peu vite qualifié d’«extrême droite», est celui qui recueille le plus les frustrations du corps social en matière de sécurité et d’identité.

Si la crise politique se double d’une crise institutionnelle, ce n’est pas que les institutions soient en panne, mais qu’elles s’épuisent à accompagner la multipolarisation de l’opinion.

Y a-t-il une volonté populaire de changement radical depuis quelques années ? Oui, mais dans des directions différentes et souvent opposées d’un électorat à l’autre. Sans doute le peuple a-t-il fait entendre sa voix (ou plutôt ses multiples voix) aux dernières législatives. Mais quelle volonté a-t-il au juste exprimé ? De quelles politiques a-t-il au juste passé commande ? Sauf en matière régalienne, bien malin qui pourrait le dire. Pour des raisons tant culturelles que démographiques et socio-économiques, non directement liées au fonctionnement des institutions, nous avons assisté à l’éclatement du système de croyances qui structurait notre vie politique de façon bipolaire. Les conséquences électorales en sont multiples : majorités introuvables, prépondérance des votes de rejet sur les votes d’adhésion. Si la crise politique se double d’une crise institutionnelle, ce n’est pas que les institutions soient en panne, mais qu’elles s’épuisent à accompagner la multipolarisation de l’opinion.

Comment en sortir ? Non par des ruses institutionnelles comme la démission du président, la proportionnelle ou la démocratie participative, mais par une révolution à accomplir en chacun d’entre nous : retrouver le sens de la commune appartenance à la Nation ; placer l’intérêt général en surplomb de nos querelles. Vaste programme.   ■  JEAN-ÉRIC SCHOETTI

Jean-eric Schoettl

 

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8 commentaires pour “Jean-Éric Schoettl : « Pourquoi la démission d’Emmanuel Macron ne serait pas un remède à la crise actuelle du politique »”

  1. Cording1
    vendredi 6 décembre 2024 at 7 h 56 min | Répondre

    La véritable ligne de fracture est la question européenne où le RN semble avoir pris une nette opposition. Ni la FI ni le NFP ne réalisent que tout leur projet y est incompatible. Au pouvoir ils capituleraient.

  2. Paul Leonetti
    vendredi 6 décembre 2024 at 9 h 39 min | Répondre

    La composition actuelle de l’assemblée nationale, n’est pas le reflet de son électorat. Sinon c’est le RN qui serait majoritaire. Le tripatouillage entre Marcron et Mélenchon l’en a empêché.

  3. Marc Vergier
    vendredi 6 décembre 2024 at 10 h 13 min | Répondre

    Quel bla-bla !
    Comment le peuple ne serait-il pas fragmenté quand ses dirigeants ne songent qu’à le fragmenter? Par quels moyens ? Par le mensonge, la culpabilisation, le viol des ses lois et traditions, le mépris, le double langage (et le double drapeau !), le déni imposé par la propagande suave et démotivant des media, le baillon aux oppositions sérieuses, le mauvais exemple et le bla-bla, le bla-bla continu !
    De Gaulle, se confiant à Alain Peyrefitte, affirmait, dans des termes approchants, que le peuple français, s’il n’était pas soulevé par un projet enthousiasmant, ne savait que se vautrer dans sa bauge.
    La bla-bla général, incompréhensible, destructeur et irresponsable des Macron, Mélenchon, LR, PS et autres tartuffes ne peut que décourager l’électorat, jusqu’à l’affoler et le décerveler.
    Ne le voyez-vous pas monsieur le « constitutionnel » ?

    • Anne
      dimanche 8 décembre 2024 at 7 h 47 min | Répondre

      Je me demande si vous avez lu cette tribune. Bla.bla si vous voulez, mais l’auteur dit en fait dans le style de son microcosme ce que vous lui reprochez de taire. Contre bla bla ?

  4. YANN CORFMAT
    vendredi 6 décembre 2024 at 11 h 22 min | Répondre

    Tout a fait d’accord avec le commentaire de Marc Vergier ci-dessus !
    Quel bla-bla !

  5. Bruno Lafeuille
    vendredi 6 décembre 2024 at 14 h 13 min | Répondre

    Bien d’accord avec Marc Vergier car le peuple de la France se trouve d’autant plus accidenté par des politiques largement irresponsables et démagogiques depuis de si nombreuses années qu’il a été rendu très vulnérable à ses désirs individuels et à la propagande au point d’être conditionné à accepter servilement les mots d’ordre les plus serviles et avilissants au point d’obéir à l’injonction subliminale lui intimant de voter comme un seul homme pour un individu psychiquement accidenté et doté d’une logorrhée hypnotique propre aux acteurs à succès.

  6. Henri
    lundi 9 décembre 2024 at 9 h 21 min | Répondre

    D’accord avec Anne.

  7. Marc Vergier
    lundi 9 décembre 2024 at 10 h 44 min | Répondre

    M. Schoettle écrit « Pour des raisons tant culturelles que démographiques et socio-économiques, non directement liées au fonctionnement des institutions, nous avons assisté à l’éclatement du système de croyances qui structurait notre vie politique de façon bipolaire ».
    Ce « non directement liées …  » écarte toute responsabilité « des institutions ». Tout serait la faute du peuple … et, parmi d’autres, non pas celle du Conseil Constitutionnel. C’est plus que fort de café !
    Les « institutions s’épuiseraient à accompagner la multipolarisation de l’opinion !
    Et si c’était plutôt l’opinion qui se décourageait devant la surdité des dirigeants, leurs contradictions, leurs mensonges…
    Exemple : pendant des décennies, Conseil Constitutionnel en tête, on a enfoncé dans la tête des Français que la préférence nationale était l’abomination absolue, contre tout bon sens, toutes réalités, évidences et traditions juridiques.
    Rejouissons-nous que les Français se soient simplement multipolarisés. Il y avait de quoi devenir fou !

    Il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre !

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Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

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