
A la Une du Figaro de ce 25 juillet 2025… Commentaire en titre.
Le quotidien royaliste sur la toile
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Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions
Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.
Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !
L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.
Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.
Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.
Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.
La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.
Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.
Et aussi…
Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.
Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.
Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net
* Frais de port inclus
Non, le Régime n’est pas à bout de souffle car, pour reprendre une formule célèbre, s’il gouverne mal, il se défend bien. Il a encore plein de leviers pour garder le pouvoir : la dictature des juges, la spoliation des épargnants, le changement démographique, la mise en place du fédéralisme « européen » ou encore le contrôle numérique et bancaire de la population. Car, dans ce domaine, l’imagination est effectivement au pouvoir ! A moins d’une catastrophe majeure qui ferait s’effondrer cette république comme outes celles qui l’ont précédé. Y sommes nous prêtes?
C’est la « guerre d’Algérie » qui a provoqué la chute du régime en 1958; même si une crise majeure peut survenir il sera difficile de trouver l’homme providentiel bien que plusieurs soient sur les rangs. Seul le Roi pourra sauver son peuple
Une crise majeure va survenir bientôt avec les dettes de la France.
Les questions d’endettement sont un leurres, après lequel s’en vont courir des esprits abusés. Aujourd’hui, la monnaie n’existant plus réellement, on fait dire ce que l’on veut à n’importe quelle «valeur», d’ailleurs, supposée, selon la nature même avouée du «fiduciaire». Rappelons-nous les «emprunts russes» : c’est la Révolution de 17 qui a eu raison de pareille «dette» – je me rappelle mon grand-père, qui, dans les années cinquante, a dû se résoudre à brûler ses bons au fond du jardin (sauf deux ou trois, pour le souvenir) – après 89 (millésime 1900) et la «chute du Mur», la Russie a consenti au remboursement, mais c’était un peu tard pour valoir encore. Si bien que ces emprunts russes n’ont jamais valu autre chose que ce qui a été contracté alors et rien de plus ni de moins, sans «compter» qu’à la «contraction» de l’emprunt, la valeur de celui-ci n’existe en fait pas encore.
Aujourd’hui, les «dettes souveraines» ne relèvent d’aucune espèce de souveraineté, si bien qu’elles comptent pour du beurre, si tant est qu’il y ait un Raymond Barre qui mette en circulation des plaquettes de «beurre de Noël»…
Les dettes ne sont que conventionnelles et seulement faites pour donner de la consistance aux «marchés financiers» dont on en peut se demander à quoi ils servent, qui ils servent et ce qui est censé les servir, à savoir : rien de rien, sauf deux ou trois pékins dont on ne sait trop rien, sauf qu’ils sont capables de disparaître de Tokyo dans une simple valise vaguement diplomatique et de couleur on se demande bien quels types de jours dans quelle espèce de patelin.
L’endettement ne compte pour rien d’autre que pour l’éventuel prétexte à une annulation de résultats électoraux, et encore, ce n’est même pas la valeur la plus sûre mais, sans doute, la plus sure (sans circonflexe).