
Par Aristide Ankou.
Bref, nostalgique, délicat, ce billet d’Aristide Ankou.

Strasbourg a quelque chose de changé depuis que, en mes vertes années, je m’y rendais avec ma mère sur les traces de son enfance.
Les Alsaciennes ont toujours des coiffes, si j’en juge par cette affiche, mais il semblerait que ce ne soient plus tout à fait les mêmes coiffes… ni les mêmes Alsaciennes.
Je ne m’explique pas bien cette indéfinissable impression de différence.
Mais à quoi cela peut-il bien être dû ? ■ ARISTIDE ANKOU
* Précédemment paru sur la riche page Facebook de l’auteur, (le 28 septembre 2025).
Aristide Ankou
