
il fustige une « diatribe pétainiste et culpabilisante », qui exploiterait chaque information négative afin d’en faire un « élément de notre décadence ».
Par Gautier Cruchaudet.

Thomas Legrand et toute l’engeance du même type sont pourris d’une idéologie avilissante, coupée du sentiment des Français normaux. Ce sont des clercs hallucinés d’une secte nauséabonde, à force de haine et d’esprit de système — comme autrefois, dans les semaines sanglantes de la Terreur, les hommes du Tribunal révolutionnaire. Sans doute leurs modèles.
Cet article est paru le 22 octobre dans le JDD. Il n’y a rien à y ajouter. Sauf qu’on ne voit pas pourquoi ces hommes, si clairement propagateurs de toutes les haines antifrançaises, conservent le bénéfice d’exercer leur sale travail de propagande gaucharde à nos frais, au cœur du service public. Ils auraient toute leur place, juste et méritée, à la Santé. * JSF
Dans un billet publié dans Libération ce mercredi, le journaliste raille ceux qui voient dans le cambriolage du musée le symptôme d’un déclassement de la France.
Le casse du Louvre, un « délire d’autoflagellation nationale » ? Trois jours après le spectaculaire cambriolage survenu dimanche 19 octobre dans le plus grand musée du monde, le journaliste Thomas Legrand a signé dans Libération un billet intitulé « Casse du Louvre : et si on se calmait ? ». Une critique acerbe assénée à l’encontre de ceux qui voient dans le vol de bijoux historiques « le symptôme de toutes nos faiblesses et nos renoncements ».
Tout au long de son texte, Thomas Legrand cible ceux « qui se complaisent dans une surenchère de la déploration nationale », évoquant « une sorte de délire d’autoflagellation nationale » portée par « des plateaux peuplés de polémistes toutologues, qui viennent de se découvrir une nouvelle qualification d’archéo-joailliers ». En filigrane, le chroniqueur de France Inter relativise la gravité du casse du musée le plus visité au monde.
« Diatribe pétainiste »
Le journaliste pointe du doigt ceux qu’il considère comme les responsables de ce « délire » – « l’extrême-droite », « la bollosphère et ses piliers de bar » –, ciblant en particulier la chroniqueuse de CNews Rachel Khan et le député RN Jean-Philippe Tanguy. Succombant au parallèle avec les années sombres, il fustige une « diatribe pétainiste et culpabilisante », qui exploiterait chaque information négative afin d’en faire un « élément de notre décadence ».
Ce papier n’est pas sans rappeler une chronique de Patrick Cohen, diffusée la veille, mardi 21 octobre. Dans cette intervention, le journaliste de France Inter tournait en dérision ceux qui se désolent du casse du Louvre, affirmant que « le diadème d’Eugénie ou la parure de saphirs de Marie-Amélie ne sont pas les tours de Notre-Dame »…
Pour mémoire, les deux journalistes s’étaient trouvés au cœur d’une tempête médiatique, en septembre, après la diffusion d’une vidéo compromettante par le magazine L’Incorrect. Dans cette séquence, Thomas Legrand apparaissait en train de discuter de stratégie politique aux côtés de Patrick Cohen et de responsables du PS dans un café parisien. On l’entendait notamment évoquer l’idée de « faire ce qu’il faut » pour empêcher Rachida Dati de l’emporter à Paris. Face au tollé provoqué par ces révélations, les dirigeants de l’audiovisuel public se sont employés à minimiser l’affaire – et s’en sont pris à tous ceux qui interrogent la neutralité de Radio France et France Télévisions. ■ GAUTIER RUHAUDET
Pour comprendre le désarroi d’un peuple ( ici à propos du vol des bijoux que tout un chacun venait admirer) encore faut il être tout près de lui. Or , manifestement T.Legrand et consort vivent dans un no mans land où le franchouillard n a pas accès
Ces journaleux de France Inter sont l’incarnation parfaite de l’abjection de la gauche qu’on hésite de plus en plus à dire « française ». Il faudra un jour privatiser cette chaîne de propagande de gauche payée par l’argent public. Que ces journaleux aillent faire leur diatribes sur une chaîne privée qui voudra bien les accueillir.
Pour ces Messieurs, le patrimoine français est à détruire; à remplacer par le halal, le MacDo , les sales de shoot, etc..
On parlait entre les deux guerres mondiales, dans l’AF de l’anti-France, elle est de retour et je m’étonne qu’elle n’assimile pas notre pays au IIIème Reich!
C’est tout t simplement , comme le note d’ailleurs Sylvain Tesson, l’inconscient collectif de la France qui se réveille, notre mémoire blessée par les profanations de la révolution française. Il n’est pas étonnant que les gardiens du temple, autoproclamés, s’en inquiètent. Chut, ne les s réveillons pas, Laissons les à leur somnolence.