Aller au contenu

JE SUIS FRANÇAIS

Le quotidien royaliste sur la toile

Search
  • Accueil
  • Politique
    • France
    • Europe
    • Monde
    • Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade
    • En deux mots, réflexion sur l’actualité
    • Défense nationale
    • Social, economie…
    • Chiffres en vrac sur la France actuelle
    • Grain de sel … actualité
  • Comte de Paris
    • Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France
  • Annonces
    • Activités, Presse, Mouvement
    • Annonces à propos de JSF
  • Société
    • Immigration – Insécurité – Anti racisme
    • Education
    • Justice
    • Patrimoine, Racines, Traditions
    • Politique et Religion
    • Humour
  • Vidéo-Audio
    • Vidéos
    • Audios
  • Idées-Culture
    • GRANDS TEXTES
    • Idées, Histoire, Culture & Civilisation
    • Patrimoine cinématographique [P. Builly]
    • Ephémérides
    • Visuels
    • Nos lecteurs ont la parole…
    • Aux nouveaux lecteurs qui nous découvrent…
    • Journal d’un royaliste français au Maroc
  • République ou Royauté
    • République ou Royauté ?
    • Révolution – Terrorisme – Totalitarisme
  • Dossiers
    • Lire Jacques Bainville
    • Bainville : Journal année 14
    • Pierre Debray – Une politique pour l’an 2000
    • Pierre Debray – Maurras et le Fascisme
    • L’Action française dans la Grande Guerre
    • Mai 68
  • RechercheRecherche

En finir avec le PS

mardi 25 avril 2023vendredi 21 avril 2023 sur JSF
Olivier Faure et Boris Vallaud, syndics de faillite.

Par Yves MOREL.   

 

De 1905 à 2023, le Parti socialiste n’a été que la réunion opportuniste de révolutionnaires en mie de pain, surtout attachés à l’ordre bourgeois. Désormais cantonné à la défense de toutes les lubies progressistes, quand bien même elles détruisent le peuple, le PS ne se remet pas du gouvernement Fabius et encore moins du quinquennat Hollande.

Le ventre de la bête est encore fécond. Sans doute, ordinairement réservé à l’extrême droite, supposée tout entière fille légitime du fascisme sous sa pire forme (celle du nazisme et de ses complices français de la Collaboration), ce propos semble excessif, appliqué au PS. Il n’est cependant pas tout à fait dénué de pertinence. Il convient, en effet, non sans quelque exagération, redisons-le, à l’état présent de ce parti, dévasté depuis les élections présidentielle et législatives de 2017, déserté par ses adhérents (lesquels ne furent jamais légion) passés dans le camp macroniste ou à La France insoumise ou encore on ne sait où, moribond, devenu un acteur mineur de la vie politique, doté d’un premier secrétaire falot (Olivier Faure), presque oublié, parti qui se croit toujours un avenir et trouve encore le moyen de se fragmenter en tendances rivales animées par des hommes qui s’affrontent dans une dérisoire guerre des chefs.

Un parti hétéroclite fondé historiquement sur l’ambiguïté.

Si, dans notre pays, il existe un parti politique caractérisé par l’équivoque permanente, l’imposture et l’hypocrisie, c’est bien le parti socialiste, et ce depuis ses lointaines origines au début du XXe siècle. Ce parti fut fondé en avril 1905 à Paris, lors du Congrès du Globe, sous le nom de Parti socialiste unifié. Section française de l’Internationale Ouvrière (SFIO) grâce à la fusion des divers partis socialistes de l’époque : Fédération des Travailleurs Socialistes de France (modérée, possibiliste) de Paul Brousse, Parti ouvrier socialiste révolutionnaire de Jean Allemane, Parti Ouvrier (marxiste) de Jules Guesde, Parti socialiste révolutionnaire (blanquiste), « socialistes indépendants » (proches des possibilistes et des radicaux-socialistes) et autres groupes minoritaires. Cette union des socialistes n’allait pas de soi au départ : un abîme séparait les modérés possibilistes et les socialistes indépendants, prêts à soutenir tout ministère progressiste, voire à y participer, des guesdistes, marxistes arc-boutés sur la lutte des classes et hostiles à tout compromis et à toute alliance avec la bourgeoisie eût-elle été favorable à certaines réformes ; et les allemanistes étaient révolutionnaires sans être marxistes. Le maître d’œuvre de l’union fut Jean Jaurès, intellectuel brillantissime, dialecticien et doctrinaire hors normes, qui sut intégrer le marxisme, l’ouvriérisme et autres aspirations révolutionnaires à une stratégie réformiste et légaliste consistant à combattre le conservatisme et la réaction et à promouvoir des réformes par la voie parlementaire. Jaurès s’employa, de tout son talent de philosophe, d’historien, de congressiste et d’orateur, de par ses livres, ses articles, ses discours, à présenter le socialisme marxiste et ouvrier comme le prolongement logique et inéluctable de la Révolution française, l’ère des réformes sociales les plus hardies, graduellement réalisées par voie parlementaire venant compléter l’œuvre politique et juridique de 1789-1794, du Consulat, de 1848 et de la IIIe République des débuts. Cette « synthèse jaurésienne », comme on l’appela plus tard, fut à l’origine de la plus extraordinaire ambivalence qui affecta un parti politique, jusqu’à devenir partie intégrante de son identité, de son ADN.

Conséquence de cette ambiguïté : embourgeoisement et abandon rapide de l’idéal socialiste affiché

Cette fatale ambiguïté se manifesta dès les années 1900. Les députés socialistes, de plus en plus nombreux, s’installèrent dans des positions de notables tout en se réclamant de la conception marxiste de l’histoire (mâtinée de jacobinisme et de culte de la Révolution française), et d’idéalisme démocratique égalitaire et ouvriériste. Embourgeoisés, nantis de mandats de parlementaires et de maires, critiques d’une société dont ils profitaient et qu’ils ne voulaient au fond pas changer, devenus, en somme, des radicaux théoriquement marxistes, ils rejoignirent, en 1914, l’union sacrée en faveur de la guerre contre l’Allemagne et votèrent les crédits militaires, tout comme leurs frères sociaux-démocrates d’outre-Rhin, devenus les soutiens patriotiques du Reich monarchique et antidémocratique et de l’armée des Junkers prussiens contre la France, l’ennemie héréditaire de leur pays. En France, les socialistes participèrent aux gouvernements de guerre, tels Marcel Sembat et même Jules Guesde, apôtre intransigeant de la lutte des classes. L’universitaire germaniste Charles Andler, lui-même longtemps socialiste, devait dire plus tard de la social-démocratie allemande : « C’était une énorme façade cachant une énorme impuissance ». En effet : impuissance à s’opposer au nationalisme et à faire prévaloir l’idéal socialiste pacifiste sur le patriotisme belliciste, et ce en Allemagne comme en France ; impuissance de ces notables bourgeois, parlementaires et, au fond, conservateurs, à devenir d’authentiques socialistes décidés à changer la société, le cours des choses et l’homme lui-même. Cette impuissance, sous la forme d’un renoncement de fait à l’idéal socialiste, au marxisme et à la préférence à accorder à la lutte des classes contre le nationalisme qui unissait ces dernières, révélait la vanité et l’échec politique total du socialisme, celui des marxistes purs et durs comme celui des jaurésiens, au marxisme enrobé de patriotisme et de jacobinisme républicain.

Prenant conscience de cet échec, dû à l’ambiguïté jaurésienne fondatrice de la SFIO, la majorité des socialistes décida de créer un parti ouvertement et exclusivement marxiste et révolutionnaire lors du congrès de Tours de décembre 1920. Devenue un parti sans militants (mais non sans députés, loin de là), la SFIO resta avec son ambiguïté congénitale et fut plus divisée que jamais entre révolutionnaires (Marceau Pivert), représentants d’un ouvriérisme vieilli (Paul Faure), post-guesdistes (Jean Zyromski), « reconstructeurs » post-jaurésiens (Léon Blum) et néo-socialistes planistes (Marcel Déat), les « fauristes » et les « blumistes » réussissant, grâce à leur entente stratégique, à exclure les autres tendances en 1935… pour engager leur parti dans l’aventure désastreuse du Front populaire. Car son l’échec tint lourdement à l’incapacité du ministère Blum à opter en faveur d’un dirigisme économique fort et à son obstination à introduire des réformes économiques et sociales dans un système libéral où elles ne pouvaient qu’avoir des conséquences néfastes.

Divisions et dérive conservatrice de la SFIO

L’Occupation ne fut guère favorable aux socialistes. Les fauristes rallièrent aussitôt Vichy. Blum fut arrêté, Dormoy fut assassiné, tous les autres subirent les persécutions ou la prison. Sous la IVe République, la SFIO refusa le réformisme avoué de Daniel Mayer au nom de la fidélité à l’idée marxiste de lutte des classes, que ses dirigeants ignoraient pourtant délibérément : ils défendaient ou pratiquaient (avec Guy Mollet) une politique très modérément réformiste, dépourvue de toute velléité d’initiative anti-capitaliste, conservatrice à maints égards, colonialiste et résolument atlantiste, européenne et anticommuniste. Et aucun d’eux, en réalité, ne souscrivait à la doctrine marxiste, ni ne souhaitait changer la société. En vérité, seul leur attachement à la laïcité et à l’école républicaine les ancrait à gauche, et ils devenaient un avatar du radicalisme. Ayant perdu tout crédit à gauche tout en demeurant opposés à la droite sur l’échiquier politique, la SFIO, replâtrée et rebaptisée « parti socialiste » en juillet 1969, vit son candidat à la présidentielle du printemps 1969 (Defferre) se traîner à un score de 5 % des voix.

L’évolution fatale du parti socialiste vers le libéralisme économique et la subversion morale au nom des « valeurs de la République »

Elle dut se fondre dans le nouveau Parti socialiste de François Mitterrand, grossi de la Convention des Institutions républicaines et des clubs, en juin 1971, à l’issue du congrès d’Épinay. Regroupant les mouvances les plus diverses et les plus mutuellement opposées (vieux socialistes SFIO, sociaux-démocrates, technocrates de style mendésiste, jacobins marxisants du CERES), ce parti fut, en fait, l’instrument de la conquête de l’Élysée par Mitterrand en 1981, puis de son maintien au pouvoir. Passées les folies socialisantes des nationalisations en nombre, de l’économie dirigée et de la démagogie dépensière, les socialistes au pouvoir entrèrent, à partir de 1984, dans la voie du réalisme, rejoignant la droite dans l’austérité – renommée « rigueur » et « maintien des grands équilibres » – avec Fabius, puis Rocard, Cresson et Bérégovoy, et, ultérieurement, Jospin, puis Hollande et Valls. Et, de socialisme, il ne fut désormais plus question. Les socialistes se recentrèrent sur « les valeurs de la République », dont on nous rebat les oreilles. Ils devenaient des jacobins new look, intégrant à l’idéal républicain le plus traditionnel et à la vieille morale de l’école ferryste, le laxisme en matière d’immigration (au nom de l’anti-racisme, de l’universalisme des droits de l’homme et de la solidarité avec le tiers-monde), le féminisme extrémiste (impliquant le droit inconditionnel à la contraception et à l’avortement, l’institution de la PMA, et bientôt de la GPA, celle de l’écriture inclusive et des discriminations positives fondées sur le critère de l’identité sexuelle), la défense active et promotionnelle des minorités LGBT, le « mariage pour tous », la culture de toc à la Jack Lang et, dans une moindre mesure, la défense de l’environnement. Et, comme la droite « républicaine » qui s’alignait, intimidée et servile, sur ces « valeurs », était d’un implacable « politiquement correct », il devint impossible de discerner ce qui distinguait nettement la gauche socialiste de la droite puisque toutes deux pratiquaient en gros la même politique économique et sociale, leurs différences en ce domaine n’étant perceptibles que par les économistes, les politologues et les journalistes spécialistes de l’analyse minutieuse des programmes et des choix politiques de l’une et de l’autre.

Les électeurs finirent par se lasser de cette fausse dichotomie et de ce semblant d’alternance entre une gauche socialiste libérale et une droite acquise aux « valeurs » de la gauche, dont elle se refusait à remettre en question les « conquêtes » et les « acquis », et finirent par les récuser l’une et l’autre, en 2017, en faveur de la mouvance macronienne (qui en mêlait les éléments, du reste), lorsqu’ils n’étaient pas trop mécontents de la situation actuelle, ou, pour ceux qui, au contraire, désespéraient du système et aspiraient à un véritable changement, de La France insoumise (LFI) ou du Rassemblement national mariniste.

Le rejet électoral d’un parti désormais privé de sa raison d’être

Le PS et Les Républicains (LR) ont tous deux pâti de la désaffection des Français à leur égard, mais le premier a particulièrement souffert en raison de l’immense déception suscitée par sa politique sociale, lorsqu’il était au pouvoir, depuis le tournant « réaliste » du premier septennat de François Mitterrand, sous la conduite de Fabius, tournant confirmé ultérieurement par les ministères Rocard, Cresson, Bérégovoy, Jospin, Ayrault et Valls, et la présidence de Hollande. Rappelons le score désastreux de sa candidate, Anne Hidalgo, à la dernière présidentielle : arrivée en 10e position (sur 12 candidats, et derrière des concurrents aussi insignifiants que Lassalle, Roussel ou Dupont-Aignan), avec 1,7 % des suffrages exprimés. Aujourd’hui, le PS ne dispose plus que de 31 députés (sur un total de 577), 62 sénateurs (sur 348), 4 présidents de région (sur 18), et 3 députés au Parlement européen (sur 79), et il est plus divisé que jamais, au bord de la scission. « On sent combien manque une gauche de gouvernement », soupirait Olivier Faure, chef du PS, quelques mois après son désastre historique du printemps 2017. Erreur : cette « gauche de gouvernement » existe ; elle s’appelle Renaissance (ex-LREM), et elle a supplanté le PS et LR, lesquels ont perdu toute raison d’être. Le parti socialiste paie au prix fort son ambiguïté constitutive. On ne pardonne pas à une gauche qui entendait changer la société suivant des postulats révolutionnaires longtemps marxistes, et même de « changer la vie » (slogan de Mitterrand et du PS en 1981) de pratiquer, sous prétexte de pragmatisme, d’efficacité ou de « rigueur », une politique conservatrice mâtinée de gauchisme exacerbé, de modernité tapageuse, de terrorisme intellectuel et moral et de subversion des valeurs fondatrices de la civilisation, tout cela au bénéfice d’une bourgeoisie hédoniste, sur fond d’inégalités criantes et de détresse du gros de la population. L’ambivalence, l’équivoque, le double langage, le double jeu finissent toujours par recevoir leur juste sanction. La formation créée par Mitterrand en 1981 pour la prise du pouvoir reposait sur l’hypocrisie. Elle en est morte (pratiquement). La seule épitaphe lui convenant est celle que Gobineau, en son temps, écrivit pour la France post-révolutionnaire qui venait, en 1870-1871, de se fracasser, avec Napoléon III, contre la Prusse de Bismarck : « De profundis, et qu’elle aille à toutes les poussières du diable ».   ■

Yves Morel

Article paru dans Politique magazine.

 

 

   

   

 

 

 

Categories France
Post navigation
François Marcilhac : « La réforme des retraites nous ramène encore et toujours à la question primordiale, qui est institutionnelle. »
Qu’on nous excuse ! Ce n’est pas à Mayotte que « la déferlante migratoire » fait courir les plus grands risques à l’équilibre historique de la Nation !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

L'association Je Suis Français est la seule destinataire de vos données personnelles qui ne sont en aucun cas transmises à des tiers sous quelque forme que ce soit.

Archives

Notre marque

Peinture par un jeune artiste Prix de Rome, offerte à l’U.R.P. pour le 7e centenaire de la mort de Saint-Louis [1970] © U.R.P. [Peut être reprise sur autorisation écrite.]

Prince Jean : « Le rôle politique, je l’ai »

« Le rôle politique, je l’ai sans avoir besoin d’être élu. C’est tout à fait dans le rôle d’un prince de pouvoir sortir un peu de cet échange partisan et de s’intéresser au bien commun, à l’intérêt général de la Cité. »

_____________________________________

Direction de Je Suis Français
Yves Boulon – Sylvie Gaud-Hueber – Jean Gugliotta – Jean-Louis Hueber – Paul Léonetti – Gérard Pol.         
_____________________________________

Ce quotidien a un coût. Son audience un prix. Aidez-nous ! Faites un don ! À partir de 5 €. Merci !

Faire un don ? Le plus simple, c’est PayPal. Dons en ligne – en toute sécurité. Utiliser le bouton PayPal ci-dessous

Sinon, par chèque. Ordre : Je Suis Français – Adresse postale : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE

__________________________________

Rubriques Chroniqueurs

POLITIQUE
. Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade. Contribution â l’expression de notre ligne politique [France & Étranger].
. En deux mots, par Gérard Pol. Réflexion sur l’actualité française et internationale.
. Idées et débats par Pierre de Meuse.
. Les chroniques moyen-orientales d’Antoine de Lacoste,
. Les analyses économiques de plusieurs spécialistes.
. Dans la presse et Sur la toile. Des réactions courtes aux articles, vidéos, audios, les plus marquants.
. Les GRANDS TEXTES politiques.
CULTURE
. Péroncel-Hugoz : Journal du Maroc et d’ailleurs [Inédit]. Autres contributions : Histoire, géographie, lectures et reportages.
. Les études de Rémi Hugues ; Histoire, sociologie politique, philo et actualité. Des séries originales et documentées.
. Patrimoine cinématographique et autres sujets  : les chroniques dominicales de Pierre Builly 
. Les éphémérides.
ANNONCES DES PRINCIPALES ACTIVITÉS
du monde royaliste. Presse et revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc.
COMTE DE PARIS – FAMILLE DE FRANCE
. Messages, tribunes, activités, du Prince Jean, Comte de Paris. Les événements de la Famille de France. Et complément : les récits et choses vues de Francesca.
__________________________________

L’Histoire de France  jour après jour. Personnages célèbres, écrivains, savants, artistes, religieux, chefs militaires. Événements majeurs. Œuvres d’art, monuments et sites d’un héritage exceptionnel : le nôtre.

     _____________________________

CLIQUEZ SUR LES IMAGES   

_________________________________

Se renseigner – S’abonner

____________

S’abonner sur le site de Politique magazine : 

____________________________ 

Les principales activités royalistes annoncées ici. Revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc. Image : © GAR


(Sur le site de l’Action Française)
_________________________________ 

Le site géostratégique d’Antone de Lacoste _________________________________ 

Fédération Royaliste Provençale
Fédération régionale de l’Action Française

BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE. Messagerie : urp@outlook.fr

(ATENTION : l’adresse 48 rue Sainte-Victoire, 13006 MARSEILLE, est supprimée). 
_______________________________

Livres à la une

Le dernier ouvrage de Jean-Paul Brighelli, – agrégé de Lettres, qui a enseigné pendant 45 ans :  « La fabrique du crétin – Vers l’apocalypse scolaire« , le tome 2 de son succès d’édition, déjà vendu à 150 000 exemplaires. Cliquez sur l’image.

_________

L’Action française est aujourd’hui le plus ancien et, dans sa continuelle vitalité, le plus constamment jeune des mouvements politiques, toutes tendances confondues. Elle se renouvelle à chaque génération, dans la permanence, sans cesse ravivée et adaptée, d’une doctrine, d’une vision, d’une action. Cliquez sur l’image.
__________________________________

JSF recommande à ses lecteurs d’adhérer à l’Action Française

Chers lcteurs, il ne suffit pas de nous lire. Si vous le souhaitez, si vous le pouvez, nous vous recommandons d’adhérer à l’Action Française, pour soutenir, renforcer, participer au mouvement royaliste. L’année commence, c’est le moment ! Cliquez sur l’image !   JSF
__________________________________

Bernard Lugan : Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentancePrésentation – Table des matières – Commandes  [CLIQUER]

__________________________________

Livres recommandés…

Pierre de Meuse. Derniers ouvrages parus

 

 

 

 

 

Idées et doctrines de la Contre-Révolution, préface de Philippe Conrad.  DMM – 2019.
Le dogme de l’antiracisme, origine, développement et conséquences, préface de Bernard Lugan,  DMM – 2024.
Informations – Achats : Cliquez sur les images.
Annie Laurent : L’Islam. Pour s’informer sérieusement …

Pour en savoir plus sur cette indispensable étude, pour commander : ICI

__________________________________


Envois postaux : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE 
Courriel : contact@jesuisfrancais.blog

Librairie de Flore

Cliquez sur l’image pour accéder aux produits de la Librairie de Flore ! Livres, revues, boutique …

L’incontournable ouvrage de Charles Maurras enfin disponible. 15,00€, 515 pages. En stock.

Lettre de JSF : S’abonner, c’est utile et c’est gratuit !




Service quotidien gratuit, déjà assuré le matin pour les milliers de lecteurs inscrits. Si ce n’est pas encore votre cas, inscrivez-vous dès maintenant pour recevoir la lettre de JSF au plus vite et régulièrement. Inscription simple ci-dessous.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique de confidentialité.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Comte de Paris : 60 ans d’héritage et d’avenir

https://youtu.be/MEl5wncXQ0M

. Comte de Paris, Site Officiel
. Comte de Paris, Page Facebook 
. Politique Magazine & Revue Universelle
. Maurras.net
. Action Française – Le bien commun

                                    
Je Suis Français (JSF) est aussi sur Twitter/X
                 
Page associée

Commentaires récents

  • mardi 17 Juin 17:34
    RAULOT sur La République va juger pour meurtre…
    “Aujourd’hui, on peut toujours discuter, discutailler, mais de toute façon avec les dirigeants que nous avons…”
  • mardi 17 Juin 16:14
    David Gattegno sur La République va juger pour meurtre…
    “Il y a une très simple solution : l’armée. En mode reboise ou en porte à…”
  • mardi 17 Juin 15:40
    Joset sur Déclin du catholicisme en France :…
    “Bel espoir pour la foi catholique, très bien. Il faudrait aussi veiller que certains Maires ne…”
  • mardi 17 Juin 13:49
    Pierre Builly sur La République va juger pour meurtre…
    “« Se faire réactionnaire » ! Carrément… On se donne rendez-vous pour un boisage ou du porte-à-porte en…”
  • mardi 17 Juin 12:59
    RAULOT sur Déclin du catholicisme en France :…
    “Marc VERGIER a bien raison de compléter ou rectifier Fourquet. Le succès des écoles catholiques est…”
  • mardi 17 Juin 11:40
    Albane de Chenonceau sur Radu Portocala : À Kiev, la…
    “On devrait plutôt appeler ce mouvement :  » LGBTAZERTY « , sachant que le clavier  » AZERTY…”
  • mardi 17 Juin 09:43
    Marc Vergier sur Déclin du catholicisme en France :…
    “Il y aurait bien d’autres aspects à considérer, à côté de ces chiffres chers aux spécialistes…”
  • mardi 17 Juin 09:00
    cugel sur Il y a 5 ans, Jean…
    “Sympathique. Pas forcément optimiste.”
  • mardi 17 Juin 07:36
    David Gattegno sur La République va juger pour meurtre…
    “La drogue est avant tout un commerce comme un autre, sauf qu’il produit des «commerçants» à…”
  • mardi 17 Juin 00:19
    Henri sur La République va juger pour meurtre…
    “Bien sûr on ne pourra jamais mettre fin au trafic mais est-ce une raison pour ne…”
  • lundi 16 Juin 09:45
    Paul Pontenuovvo sur Radu Portocala : À Kiev, la…
    “Un ramasis d’invertis, plus ou moins nazis et droitsdel’hommistes en même temps, se regardant le nombril…”
  • lundi 16 Juin 09:42
    David Gattegno sur Stéphane Rozès au JDD : « la question…
    “La psittacique répétition de «la fin de l’ennemi communiste» pour expliquer l’état géopolitique actuel n’empêche nullement…”

EXPLOREZ LES TRÉSORS DE NOTRE HISTOIRE

EXPLOREZ LES TRÉSORS DU CINÉMA…

____________________________________

Une collection de vidéos dont un grand nombre exclusives réalisées par l’Union Royaliste Provençale. © URP/JSF – Reproduction autorisée à condition de citer la source.

Chaîne YouTube Je Suis Français. Pour une plus large audience.  (Création récente)

_____________________________________

Péroncel-Hugoz dans JSF

Retrouvez ici..

Et aussi…

_______________________________

Appel aux lecteurs de Je Suis Français : Pour la sauvegarde du patrimoine matériel de l’Action Française !

Participez à l’opération nationale de sauvegarde du patrimoine historique de l’Action Française, lancée par le Secrétariat Général du Mouvement. Tous documents ou objets divers nous intéressent : photos, films, livres, journaux, correspondance, insignes, drapeaux etc. Ecrire à Michel Franceschetti : chetti133@sfr.fr .   

PEUT-ON SORTIR DE LA CRISE ? Une étude intégrale de Pierre Debray dans JSF

Une contribution magistrale à la réflexion historique, économique, sociale, politique et stratégique de l’école d’Action Française. Étude intégrale à la disposition des lecteurs de JSF, notamment étudiants, chercheurs et passionnés d’histoire et de science économiques.  ENTRÉE

Les créations de JSF : Séries, dossiers, études

 

Etudes, séries, dossiers regroupés pour être en permanence disponibles et directement consultables   © JSF – Peut être repris à condition de citer la source Pour y accéder, cliquez sur l’image.

A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.

Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

* Frais de port inclus

  • Contact
  • Mentions Légales
  • Politique de Confidentialité
Je Suis Français © 2019 Tous droits réservés.

Site réalisé par Eva Giraud Web
Retour en haut de page