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Les aventures d’une bourgeoise de Paris, roman-feuilleton de votre été

lundi 31 juillet 2023lundi 31 juillet 2023 sur Rémi Hugues

L’autre Jeanne bondit.

— Cette femme est folle ! fut-il jamais, dans notre famille, quelqu’un pour vouloir s’allier à l’orfèvre du Roi.

— Il fut, dans votre famille, quoiqu’un qui le voulut. Mais ma nièce Jehanne, fille du baron de Fougères, est de trop bonne maison et de trop noble cœur pour s’unir à ce fiancé, dont vous avez fait un félon et. qui se nomme Hugues de Lusignan.

Sous son fard, la reine avait blêmi : les deux femmes se trouvaient face à face, l’une prête à bondir avec la souplesse digne des panthères, l’autre calme et attendant de pied ferme.

— Je vous adjure, Reine de Chypre, de me dire où est maintenant Hugues de Lusignan !

— De quel droit tenez-vous tant à le savoir ? Cela se concevrait seulement si vous étiez sa mère ou sa sœur très aînée !

— Du droit qu’ont toutes les honnêtes femmes de se liguer contre les voleuses de cœurs !

— Il est plus facile de croire que, malgré vos cheveux gris, vous venez de si loin pour courir après un jouvenceau : courez aussi vite que vous voudrez, je vous mets au défi de reprendre celui-là.

L’insulte fut lancée d’une telle voix et accompagnée d’un tel mouvement de menace que Mahault, bien que frappée en plein cœur, se redressa.

— Faites-moi prendre par vos eunuques si vous voulez, mais je vous préviens que je serai chèrement vengée : mon escorte est assez forte pour venir me reprendre ! Je sors, non sans vous avoir dit : On ne forfait point ainsi à l’honneur, quand on porte cette devise que vous faites mentir tous deux : Pour loyaulté.

En rentrant au navire avant l’heure fixée, Mahault y revint avec cette unique certitude : c’est qu’à tout âge une femme peut être soupçonnée !

Ce que cette Messaline avait osé lui dire en face, d’autres peut-être le penseraient tout bas. Les gens sont ainsi faits, que la plupart, étant incapables d’héroïsme et de dévouement, ne sauraient le comprendre chez les autres, et le dénaturent de mille manières. Sur ce pont, où l’ancre en se relevant crissait sur sa chaîne comme si elle ne pouvait se détacher du sol, tandis que s’entrecroisaient les ordres et que, de bouche en bouche, les mauvaises nouvelles s’amplifiaient encore, Mahault, la vaillante, succomba sous cette grande peine, dont les cœurs dévoués sont atteints plus souvent, que les autres, celle de sentir leur dévouement bafoué et leur droiture méconnue.

Jamais, dans sa vie déjà longue, le soupçon ne l’avait effleurée, et si elle avait envisagé toutes les conséquences de son départ hasardeux, celle-ci ne lui était pas venue à l’idée. L’injure, même jetée par cette bouche, l’avait blessée comme un soufflet.

À mesure que les lumières de la ville se fondaient en une lueur indécise, et qu’à nouveau elle sentait tomber autour d’elle une nuit pleine de périls, la veuve, si longtemps gardée de toute attaque par le plus fidèle des protecteurs, sentit une fois de plus combien il est dur, même quand on s’est donné mission de veiller sur les autres, ce vide, dont tous ceux appelés à cheminer seuls dans la vie connaissent la décevante tristesse.

VIII

LE PONT DE L’ASCHMOUN

Ah ! qu’elle parut lugubre aux passagers de la Stella Maris, cette terre d’Égypte, lorsqu’après avoir échappé à des embuscades de toutes sortes, ils y abordèrent par un pâle matin où le ciel, le sable et le fleuve se confondaient dans la même lividité ! Alors qu’il leur semblait entrer dans le royaume de la Mort, ils ignoraient, encore qui les y accueillerait les premiers et si les ombres qu’ils voyaient là-bas n’étaient pas plutôt celles d’ennemis à redouter que celles d’amis à secourir. Elles circulaient à travers un débris de camp, les haillons dont elles étaient couvertes n’évoquaient point l’idée qu’elles pussent appartenir à une armée régulière ; ce devaient être quelques-uns de ces traînards qui sont la plaie de toute expédition.

De tels adversaires n’étaient pas faits pour donner aux nouveaux arrivants en vie de combattre ; à mesure qu’ils touchaient la berge, dont le sable se dérobait sous leurs pas, transis par l’aube glaciale des pays orientaux, ils se sentaient, les Bretons, pris d’une de ces peurs irraisonnées dont l’approche da l’inconnu étreint les plus vaillants, — Les voilà tous cependant groupés en armes autour du fanion où les Fougères héraldiques étalent leurs trois feuilles dentelées, et prêts à obéir au commandement de leur chef.

On s’agite au camp des ombres, et voici qu’elles s’avancent vers les nouveaux venus. Celle qui les mène n’a rien de menaçant, bien que, même à cette distance, elle paraisse d’une taille gigantesque. Devançant ses compagnons, elle accourt en criant :

— Vous qui venez de France, par la Coiffe-Dieu, vous arrivez à point.

Puis, se servant de ses deux mains comme porte-voix :

— Capitaine, avez-vous des armes à bord ?

— Nous portons surtout vivres frais, onguents et réconforts de toutes sortes.

— Par la Coiffe-Dieu, répète encore l’homme de six pieds, c’est cela qui nous manque le plus.

Puis, s’avançant vers les nouvelles recrues :

— Beaux archers, vous aurez de la chance ! nous moisissions depuis dix-huit mois à attendre le Paradis : je me propose de vous y emmener tous ce soir et, si nous le manquions encore, trouverons ici charpie toute fraîche pour nous panser.

Ni l’une ni l’autre de ces Conjonctures ne paraissait ravir les débarquants.

— Ça, les amis, cria le géant au reste de sa troupe qui était enfin parvenue à le rejoindre, tendez la main à ces compagnons pour leur montrer façon de marcher sur le sable, pendant que je vais dire la bienvenue à leur chef.

Près de celui-ci, qui avait débarqué le dernier, se tenaient quelques femmes voilées.

— Hé, vous amenez donc des femmes aussi ? denrée moins précieuse que les autres, assurément !

Ces paroles peu courtoises s’arrêtèrent sur les lèvres du jovial personnage quand l’une des passagères laissa tomber sa mante.

— Dame Mahault !

— Sénéchal !

La surprise fut si grande qu’ils restèrent bouche bée à s’entre-regarder. Déjà dans la petite troupe le nom cher à tous circulait :

— Joinville.

— En personne, dit le sire de Champagne. Au lieu de m’endormir, après la rude journée d’hier, j’ai voulu venir ici pour rallier les traînards et j’y trouve des troupes neuves ! Çà, les enfants, on marche sur le sable en posant les pieds ainsi.

En mettant leurs pas dans les empreintes laissées par les vastes souliers du bon Sire, les Bretons trouvaient déjà que ce sol prenait de la résistance.

Dans le lointain, un sifflement aigu suivi bientôt d’une détonation semblable à celle du tonnerre faillit mettre leur trou pe en déroute.

— Hé, les anges eux-mêmes auraient peur de ce feu d’enfer ! Vous qui l’entendez pour la première fois, je vous trouve braves encore ; quand il sifflera plus près de vous comme un mauvais dragon qu’il est, mettez-vous à coudes et à genoux. À la dernière bataille, j’en reçus de tels morceaux que mon haubert me brûlait la peau ; alors je le jetai bas et me servis d’un gramboison rembourré, grâce auquel je reçus seulement cinq blessures ; mon roussin en eut quinze. Mais pour affronter le feu grégeois rien ne vaut une bonne absolution ; approchez, mon révérend, dit-il au Frère prêcheur, et baillez-nous pardon à tous ; je l’ai reçu hier matin des mains de mon prêtre, mais deux fois valent mieux qu’une.

La main du Dominicain se leva sur la foule agenouillée et quand il les eut bénis :

— Bretons, reprit Joinville, c’est votre duc Pierre Mauclerc qui sera aise de vous voir dauber sur les Sarrasins. Il fut hier fort mal accommodé, et crachant sur eux le sang de sa bouche il criait : « Tuez-moi donc ces goujats ! » Connaissez-vous Châteaubriand, Seigneur de Combourg, qui est votre voisin ? Après le combat il semblait teint en rouge, de ta tête aux pieds, tant il s’était escrimé d’estoc et de taille. Le Roy lui a donné le droit de mettre sur son écu des fleurs de lys avec cette devise : Mon sang teint la bannière de France. Une telle récompense vaut bien qu’on se batte pour l’obtenir1.

Malgré ces beaux discours, les nouveaux venus ne prenaient point encore le pas assez vite, à l’idée du Connétable.

— Viens, Martin, cria-t-il à l’un de ses sergents, et fraternise avec eux en leur apprenant une ritournelle ; peut-être les a-t on, comme moi, bercés avec celle-là :

Le petit oisel a pris la volée — a pris la — à la volette — a pris la… à la volette — a pris la volée.

Cela, c’est le refrain, retenez bien toute la rotouange : je cours détacher mon roussin et serai à votre tête pour chanter le dernier couplet.

Le chef, voyant la troupe à peu près organisée, revint au navire et y retrouva le capitaine et les femmes ; puis riant d’un de ces rires qui, chez lui, survivaient à tout :

1 On voit, au château de Combourg, une fresque représentant cet épisode. ▪ (À suivre)


Roman : LES AVENTURES D’UNE BOURGEOISE DE PARIS de Myriam Thélen (1911).

Publié dans l’Action française le 12 juin 1923.

Textes et images rassemblés par Rémi Hugues pour JSF

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Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

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Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

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Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

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