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Société  ▬ Quand le consentement devient une idéologie : Réflexions d’Aristide Ankou sur l’affaire de Mazan

mardi 19 novembre 2024mardi 19 novembre 2024 sur JSF

Par Aristide Ankou.

« Il serait bien nécessaire de redécouvrir que le consentement ne peut pas être le dernier mot de la moralité et qu’il existe, en matière de sexualité comme dans les autres domaines de l’existence, des actes honteux ou méprisables, indépendamment du fait qu’ils soient consentis ou pas. »

Le procès des viols de Mazan tire à sa fin. Les féministes ont, comme on pouvait s’y attendre, essayé de le transformer en un procès du « patriarcat », de la « culture du viol » et autres choses du même genre, c’est-à-dire en un procès des hommes : tous coupables, toutes victimes. Médiatiquement, et sans doute politiquement, cette stratégie semble avoir été largement couronnée de succès, tant la soumission intellectuelle devant les dogmes féministes est aujourd’hui quasiment universelle. Pourtant, en réalité, ce que le procès a surtout mis en évidence, c’est une contradiction insurmontable entre deux de ces dogmes.

Le premier est que le consentement est l’alpha et l’omega en matière de sexualité. Toute la moralité de l’acte sexuel s’est désormais réfugiée dans cette seule question : avez-vous consenti ? Si oui, c’est bien. Si non, c’est mal. Le deuxième est que toutes les pratiques sexuelles sont acceptables : la sexualité est un domaine dans lequel les « jugements de valeur » n’ont pas lieu d’être : dans le cochon tout est bon. Pourvu seulement que le cochon (et surtout la cochonne) soit consentant.

Ces deux dogmes ont un rapport évident entre eux (si l’on peut dire…) : la souveraineté de l’individu. Chacun est libre de définir pour lui-même ce qui lui convient, ce qui lui plait. Par conséquent, la volonté de l’individu devient sa seule loi, et la seule loi tout court lorsque la frontière qui sépare le sexe licite du sexe illicite n’a plus qu’un unique poste frontière : le consentement.

Seulement voilà, que deviennent, dans ce beau schéma, ceux qui éprouvent un vif désir pour le sexe non consenti ? Ou, à tout le moins, qui éprouvent un vif désir (et tirent un vif plaisir) de formes de sexualité dans lesquelles le consentement est douteux ? Ne bafoue-on pas leur droit naturel et imprescriptible à vivre leur sexualité comme ils l’entendent ? Au nom de quoi leur interdirions-nous de vivre leur fantasme ?

C’est d’ailleurs, à peu près, la défense présentée par un grand nombre d’accusés du procès de Mazan. Lorsqu’on leur demande pourquoi ils ne se sont pas assurés du consentement de Gisèle Pélicot, ils répondent en substance que c’est précisément ce qui faisait tout l’intérêt pour eux de ce genre de rencontres sexuelles : ils peuvent croire que la femme n’est pas consentante, tout en pouvant en même temps se rassurer sur le fait que, dans le fond, tout cela n’est qu’une fiction, que, bien sûr, madame est consentante, mais qu’elle aussi est excitée par cette situation où elle semble livrée sans défense aux désirs d’hommes inconnus. Bref, ce qu’ils aiment – ce qui, littéralement, les fait jouir – c’est l’ambiguïté. Et ils protestent que l’on cherche à les priver de leur plaisir innocent : car la sexualité est essentiellement un plaisir innocent, on le leur a suffisamment dit et répété.

Comme l’a assez bien expliqué l’un des accusés, très en colère contre Dominique Pélicot : « Il s’est fait passer pour un libertin, il n’a pas respecté les règles du libertinage. Moi, je suis un libertin qui fait confiance à un homme qui doit assurer la sécurité de sa femme. Lui, ce n’est pas un libertin, c’est un pervers menteur, un prédateur sexuel ».

Et lorsqu’un avocat insiste « Comment, dans vos rencontres libertines, recherchez-vous le consentement ?» l’accusé réplique, énervé et manifestement sûr d’être dans son bon droit : « Mais quoi, il faut d’abord faire signer un papier ? Si on ne peut plus faire confiance à personne… Comment on fait ? »

Si ce genre de considérations vous fait hausser les épaules et que vous répondez dédaigneusement qu’on ne va pas se préoccuper de quelques pervers, c’est que vous n’avez aucune compréhension de la sexualité humaine ou que vous êtes féministe. Les deux étant pratiquement synonymes.

Si vous allez, par exemple, sur le fameux site Archive of our own, un site web à but non lucratif, qui sert de bibliothèque pour les fanfictions et autres « fanworks » fournis par ses utilisateurs, vous pouvez voir que, sur les quelques 14 millions « d’œuvres » hébergées sur ce site, près de 100 000 sont étiquetées « non-consent » (absence de consentement), 70 000 « consensual non-consent » (absence de consentement consensuelle) ; 40 000 « free use » (usage libre, c’est-à-dire consentir au fait que quelqu’un use de vous comme objet sexuel à n’importe quel moment, sans vous demander si vous êtes d’accord à ce moment-là) ; 30 000 « somnophilie » (c’est-à-dire la pratique des accusés de Mazan). Et ainsi de suite.

Cela m’a pris seulement quelques minutes pour arriver à ce résultat. Je laisse à d’autres, plus patients que moi, le soin d’établir quel pourcentage des œuvres ayant un caractère sexuel hébergées sur ce site contiennent des descriptions de sexe « non consensuel », sous une forme ou une autre. Je suis moralement certain qu’il doit être élevé.

Car oui, n’en déplaise à nos modernes puritaines, une certaine ambiguïté est un puissant condiment érotique, non pas seulement pour quelques pervers, mais pour la plupart des hommes et des femmes. Pour le dire en deux mots, les hommes aiment conquérir et les femmes aiment être conquises, et cela vaut aussi dans la chambre à coucher (et je vous en prie, ne m’objectez pas telle ou telle exception : il s’agit d’une vérité générale, pas d’une vérité universelle).

Mais un grand auteur a dit cela d’une manière bien plus élégante que je ne saurais jamais le faire, aussi je vais simplement le laisser parler :

« Dans l’union des sexes chacun concourt également à l’objet commun, mais non pas de la même manière. De cette diversité naît la première différence assignable entre les rapports moraux de l’un et de l’autre. L’un doit être actif et fort, l’autre passif et faible : il faut nécessairement que l’un veuille et puisse, il suffit que l’autre résiste peu.

Ce principe établi, il s’ensuit que la femme est faite spécialement pour plaire à l’homme. Si l’homme doit lui plaire à son tour, c’est d’une nécessité moins directe : son mérite est dans sa puissance ; il plaît par cela seul qu’il est fort. Ce n’est pas ici la loi de l’amour, j’en conviens ; mais c’est celle de la nature, antérieure à l’amour même.

Si la femme est faite pour plaire et pour être subjuguée, elle doit se rendre agréable à l’homme au lieu de le provoquer ; sa violence à elle est dans ses charmes ; c’est par eux qu’elle doit le contraindre à trouver sa force et à en user. L’art le plus sûr d’animer cette force est de la rendre nécessaire par la résistance. Alors l’amour-propre se joint au désir, et l’un triomphe de la victoire que l’autre lui fait remporter. De là naissent l’attaque et la défense, l’audace d’un sexe et la timidité de l’autre, enfin la modestie et la honte dont la nature arma le faible pour asservir le fort. »

Il ajoute :

« Le plus libre et le plus doux de tous les actes n’admet point de violence réelle, la nature et la raison s’y opposent : la nature, en ce qu’elle a pourvu le plus faible d’autant de force qu’il en faut pour résister quand il lui plaît ; la raison, en ce qu’une violence réelle est non seulement le plus brutal de tous les actes, mais le plus contraire à sa fin, soit parce que l’homme déclare ainsi la guerre à sa compagne, et l’autorise à défendre sa personne et sa liberté aux dépens même de la vie de l’agresseur, soit parce que la femme seule est juge de l’état où elle se trouve, et qu’un enfant n’aurait point de père si tout homme en pouvait usurper les droits. »

J’entends déjà les féministes hululer à la mort en lisant de tels propos, mais nous pouvons tranquillement les laisser hululer. Elles sont bien souvent les premières à témoigner en acte de la vérité de ces observations.

Comme le fait dire Michel Houellebecq à un de ses personnages dans Les particules élémentaires : « Ces salopes n’arrêtaient pas de parler de vaisselle et de partage des tâches ; elles étaient littéralement obsédées par la vaisselle. Parfois elles prononçaient quelques mots sur la cuisine ou les aspirateurs ; mais leur grand sujet de conversation, c’était la vaisselle. En quelques années elles réussissaient à transformer les mecs de leur entourage en névrosés impuissants et grincheux. A partir de ce moment – c’était absolument systématique – elles commençaient à éprouver la nostalgie de la virilité. Au bout du compte, elles plaquaient leurs mecs pour se faire sauter par des machos latins à la con. »

N’importe qui ayant suffisamment vécu et observé pourra témoigner de la justesse de cette observation, et si cela ne vous suffit pas j’ai aussi quelques statistiques sous le coude. Mais laissons cela : ce qui ne peut pas être sérieusement contesté n’a pas besoin d’être prouvé.

Nos féministes s’indignent que, dans des procès pour viol ou agression sexuelle, la défense ose mettre en doute l’absence de consentement de la plaignante, mais elles ne peuvent s’en prendre qu’à elle-même. Car si le consentement est la seule chose qui sépare le crime de l’innocence, quelle défense reste-t-il à celui qui est accusé d’un crime sexuel que de soutenir que la femme était en réalité consentante ? Et, dans un cas comme dans celui de Mazan, il pourra toujours prétendre que l’absence apparente de consentement est justement ce qui faisait tout l’intérêt de la chose, pour lui comme pour la dame et que, dans le fond, il ne faisait que rendre service.

Or qui sommes-nous pour blâmer leurs fantasmes ?

En réalité, la leçon que nous devrions tirer d’une affaire comme celle de Mazan est que nous faisons totalement fausse route. Nous prétendons protéger les femmes contre les hommes, alors même que nous avons peu à peu démantelé toutes les barrières morales qui seules peuvent les protéger dans l’intimité – lorsque, par définition, la loi ne peut pas intervenir – en essayant de les remplacer par le seul consentement, qui est incapable de supporter un tel poids.

Il serait bien nécessaire de redécouvrir que le consentement ne peut pas être le dernier mot de la moralité et qu’il existe, en matière de sexualité comme dans les autres domaines de l’existence, des actes honteux ou méprisables, indépendamment du fait qu’ils soient consentis ou pas. Que les pratiques de Dominique Pélicot et ses co-accusés ne sont pas seulement criminelles mais ignobles, et qu’elles le resteraient quand bien même elles ne seraient pas criminelles.

Redécouvrir cette idée très ancienne et prétendument démodée que la sexualité est une affaire éminemment morale, dans laquelle l’âme et le corps sont inséparables. Et aussi que les hommes et les femmes n’ont pas naturellement la même perspective sur la sexualité, qu’il appartient ainsi aux premières d’éduquer les seconds, c’est-à-dire non pas de les endoctriner dans l’idéologie stérile du consentement, mais de civiliser leur virilité, ce qui ne peut être le fait que de femmes qui respectent et apprécient la virilité.

Tout ce que le féminisme non seulement ne peut pas faire, mais rend impossible.   ■  ARISTIDE ANKOU

* Précédemment paru sur la riche page Facebook de l’auteur, (le 16 novembre 2024).  

Aristide Ankou

 

 

 

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3 commentaires pour “Société  ▬ Quand le consentement devient une idéologie : Réflexions d’Aristide Ankou sur l’affaire de Mazan”

  1. Marc Vergier
    mardi 19 novembre 2024 at 9 h 14 min | Répondre

    Très bel exposé !
    Mais qui est le grand auteur ?

  2. Michel MICHEL
    mardi 19 novembre 2024 at 16 h 15 min | Répondre

    Ce texte admirable montre comment l’idéologie du contrat s’applique de façon surréaliste dans des domaines où elle est la plus impertinente.
    Le « consentement » est au domaine sexuel, ce que le contrat est au domaine du marchandage. Les marchands marchandent sur un (plus ou moins) libre marché. Mais vouloir étendre le contrat aux relations entre médecin et patient, maître et élève, parents et enfants, mari et femme, ce débordement est une folie. Une folie de juriste.
    On ne contracte qu’avec un « lointain »; le contrat est une mise à distance sous l’arbitrage possible d’un tribunal et de la force publique. Pour contracter, il faut trouver la « bonne distance ». On ne contracte pas avec le trop « prochain ». On contracte avec la diable, pas avec le bon Dieu (« plus prêt de moi que ma veine jugulaire ») .
    Certes, l’amour est bien faillible dans ce monde d’après la chute – corruptio optimi pessima est – mais le contrat est à proprement parler un « tue-l’amour ». La prostitution est régie par une sorte de contrat, pas l’état amoureux.
    Pour bien contracter, il faut que la personne humaine soit réduite à l’état « d’individu », monade rationnelle sans lien organique, sans génération, sans identité. Mais dès que l’affectif, le passionnel, le pulsionnel, le charnel se mêlent à cette raison, le contrat ne marche plus bien. C’est également vrai pour l’honneur, l’éthique, et toutes les modalités du « dépassement de soi ». Supériorité pour un « homme vrai » de la « vendetta », du crime d’honneur ou du duel sur le procès…
    Abus de droit ? Abus du droit. Ne nous sentons nous pas ridicules quand, voulant importer un logiciel, nous cochons une case reconnaissant que nous avons pris connaissance et approuvons des règles qui nous lieraient à une obscure « startup » alors même que, pour notre hygiène mentale, nous avons ignoré les 20 pages de jargon pour juriste qui défilent.
    Tous les secteurs de la société moderne sont de plus en plus régis par les juges. Tristes fictions, mensonges auquel aboutit le totalitarisme des « parle-menteurs ».

    • Grégoire Legrand
      mercredi 20 novembre 2024 at 15 h 21 min | Répondre

      « Mais vouloir étendre le contrat aux relations entre médecin et patient, maître et élève, parents et enfants, mari et femme, ce débordement est une folie. Une folie de juriste. »
      Je dirais même une folie de philosophe (une philofolie ?) : après tout, c’est aux philosophes que l’on doit l’idée absurde du contrat social par lequel nous accepterions d’entrer en société. Personnellement, je n’ai jamais signé ledit contrat.

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