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GRANDS TEXTES XXV : Du Roi, par Vladimir Volkoff. Première partie: Du Roi comme Père / De la Reine

lundi 23 mai 2011 sur JSF

        Voici les deux premières parties de la réflexion de Vladimir Volkoff sur la trinité royale, qu’il a délivrées lors des Rassemblements royalistes des Baux de Provence : Du roi, comme père, et De la reine, ici réunies en un seul Grand Texte, le XXVème; la conclusion de cette réflexion, L’héritier ou Du prince royal constituant le deuxième volet de cette trilogie, et le Grand Texte XXVI. 

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        La royauté est un humanisme, non pas abstrait mais en acte, et cela de trois façons.

        Premièrement, c’est le seul système de gouvernement qui fasse qui fasse ouvertement passer l’homme avant les institutions. Tabler sur la primogéniture plutôt que sur la majorité des suffrages, il y faut une forte dose de foi en l’homme. C’est préférer l’individu incarné à ses qualités hypothétiques. C’est admettre qu’un chose aussi sérieuse que le gouvernement puisse se fonder sur le plus incertain et souvent le moins bien fondé des sentiments : l’amour humain, un amour, de surcroît, posé par définition comme mutuel.

        Là où Racine déclare que l’amour porté au prince va de soi, Ronsard affirme comme une évidence que :

        …un roi chrétien est doux et débonnaire,

        Et comme son enfant duquel il a  souci,

       Vrai père, aime son peuple et sa noblesse aussi.

        Au reste, cet amour ne doit pas être une passion égoïste :

        Sire, ce n’est pas tout que d’être roi de France….

        Le roi sans la vertu porte le sceptre en vain.

       Conception exigeante des relations politiques. Nous en avons perdu l’habitude, et nous la trouverions peut-être lassante pour les deux parties. Aussi opposée que possible, en tout cas, aux moeurs anonymes de l’isoloir.

        Deuxièmement, le roi apparaît comme l’homme type, l’homme universel, l’Homme tout court.

        Ce n’est pas seulement pour des raisons de convenance que tant de personnages tragiques portent le cothurne royal. Homère, Shakespeare, Racine, Anouilh, Pirandello et combien d’autres ont vu dans la fonction royale un piédestal pour l’homme, comme si les passions chantaient plus clair à ce niveau d’élévation. Eugène Ionesco a retrouvé cette veine éternelle lorsque, voulant dépeindre la mort de l’homme, il a écrit le Roi se meurt : il avait vu que tout homme est roi dans la mesure où tout homme est le centre de son propre univers.

        Il s’agit, bien sûr, de l’homme total, de l’homme hermaphrodite de Platon, de l’Adam de la Bible avant qu’Eve n’ait été tirée de lui. Bertrand de Jouvenel a montré comment le symbole féminin de la couronne et le symbole viril du sceptre faisaient du roi un homme complet. La royauté est le seul régime bisexué. L’animus et l’anima y sont également importants.

        Troisièmement, si le roi, triptyque fermé, reproduit les structures fondamentales de l’homme, le roi, triptyque ouvert, c’est-à-dire apparaissant sous la forme de la famille royale, reproduit les structures de la cellule fondamentale de l’humanité.

        Les candidats des divers partis à tel ou tel emploi de la républqiue peuvent bien, à l’américaine, faire donner femmes et enfants pendant la campagne électorale : on sait qu’une fois élus ils les renverront à leurs études et à leurs bridges. S’ils ne le faisaient pas, on y verrait je ne sais quel abus de l’intégrité républicaine. La femme du chef de l’Etat fait à peine exception : elle n’est là, dans le meilleur des cas, que pour la décoration. Il faudrait qu’elle fût folle pour réclamer la moindre part au gouvernement de la république. Un élu, en tant qu’élu, est un homme seul; une élue, en tant qu’élue, est une femme seule.

        C’est tout à rebours de la royauté. Un roi seul n’est plus roi. Sans père, il est illégitime; sans reine, il est stérile; sans héritier, il est déjà mort.  

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Louis XIII et Anne d’Autriche se marient en 1615 mais ce n’est qu’en 1638 que le couple royal attend un enfant : il sera nommé Louis-Dieudonné, c’est le futur Louis XIV. Celui-ci n’est pas encore né que Louis XIII prononce la consécration de sa personne et de son royaume à la Vierge Marie. Il ordonne que tous les ans il se fasse une procession solennelle à Notre Dame de Paris pour renouveler cette consécration : c’est le Voeu de Louis XIII , à l’origine de la procession qui se fait annuellement dans les églises le jour de l’Assomption.

 

 

                                                     I : Du roi comme père

        C’est un lieu commun que le roi est le chef de son royaume comme le père l’est de sa famille.

        Il n’importe pas que, à notre époque, l’autorité soit plus ou moins également répartie entre les deux parents et que la famille constitue, pour ainsi dire, une monarchie bicéphale. Les archétypes ne changent pas en même temps que le code civil, et, quand nous aurons pris acte que les mères sont devenues un peu pères et les pères un peu mères, nous n’aurons pas modifié leurs rôles fondamentaux.

        Comme au roi, l’on s’est toujours accordé à reconnaître au père un caractère sacré. Parce qu’il donne la vie ? Pas seulement.

        Comme le roi, le père a besoin d’être exorcisé parce qu’il est la force physique et peut en être l’abus. Il est la virilité et peut être la violence. Le père apprend à s’endurcir, à se salir. A la chasse, il enseigne le meurtre; si cela se trouve, il l’enseignera aussi à la guerre. Je suis homme parce que j’ai un père : c’est à travers lui que j’ai reçu cette tare mystérieuse que, depuis saint Augustin, on appelle le péché originel. 

        Comme le roi, le père suscite la gratitude. Le père, c’est la nourriture et la sécurité. Le père, c’est le progrès, car c’est de lui – ou d’un autre père semblable à lui – que j’apprendrai mon métier. Le père, c’est la justice, car il me punit et me récompense selon mes actions, ce qui me donne bonne conscience. Mon père, qui est plus fort que moi, n’est pas obligé d’être juste; il pourrait me traiter en esclave; peut-être même en aurait-il le droit, puisque sans lui je ne serais rien. Mais ce n’est pas ainsi qu’il en agit avec moi : m’ayant tiré du néant, il m’aide à devenir moi-même, quelquefois à ses propres dépens. Comme c’est bon d’avoir un père ! Et comme il est naturel d’en remercier le Père des pères !

        C’est ainsi du moins qu’on a senti pendant des siècles. Depuis le début de la civilisation, l’archétype paternel a été partout l’objet d’une vénération constante. Des mots comme patrie, patriotisme, patriarche, patricien, patron, patronage, patrimoine recevaient une adhésion spontanée. Des pères conscrits au père du régiment, de Jupiter à Jéhovah, toute supériorité s’assimilait naturellement à une forme de paternité. Certaines cités antiques prévoyaient les peines les plus atroces pour les parricides; d’autres n’en prévoyaient pas, le meurtre du père étant jugé impossible. 

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        J’ai montré ailleurs qu’Hamlet et Le Cid, tragédies presque contemporaines, avaient des moteurs semblables – dans l’une comme dans l’autre il s’agit avant tout de venger un père – et j’ai cru pouvoir dater de cette époque, le début du XVIIème siècle, l’amorce d’une décadence de l’image paternelle dans la culture occidentale. Sujet de thèse : étudier comment les pères nobles de la tradition sont peu à peu devenus les pères ignobles de Dickens et de Dostoïevsky.

        La société a évolué dans le même sens. Pendant des siècles la cité s’était voulu une reproduction en grand de la famille, mais à mesure que « Je vous dois le jour » était remplacé par « Ils n’ont pas demandé à venir », la notion de libre association, de contrat social s’affermit. Cent ans avant Freud, la révolution oedipéenne a tout naturellement abouti à la décollation du roi et du père par le même couperet. Cela, moins au nom de la liberté et de l’égalité que, paradoxalement, au nom de la fraternité.

        Le paradoxe n’est qu’apparent. Manifestement, des frères sans pères ne pourront être que des infusoires ou des clones, pas des hommes, et c’est justement là le but poursuivi : libérer l’homme non pas d’un quelconque asservissement politique mais, en dernier ressort, des contraintes de sa nature même; le marxisme est parfaitement franc sur ce point.

        Obstacle : le père, qui apparaît comme le garant, l’auctor de la nature humaine. On ne pourra pas jouer à des jeux idéologiques avec des hommes, les conduire vers des avenirs radieux fondés sur des abstractions-panacées, ni même leur faire croire qu’ils sont égaux donc interchangeables, tant qu’ils se rappelleront d’où ils sortent et dans quel ordre ils en sont sortis. Les aînés, les puînés, les cadets forment une structure organique dont la Révolution  s’est précipitamment débarrassée : il lui fallait des alignements indéterminés de jumeaux sortis tout droit de l’incubateur.

        Or, à son niveau, le roi est le père par excellence, le garant explicite de la paternité. Les rois ne naissent pas par l’oreille; on n’imagine pas de dauphin-éprouvette; les reines de France qui accouchaient en public l’ont assez prouvé.

        C’est pourquoi, si jamais nous songions à créer à nouveau la royauté, nous devrions nous appliquer d’abord non pas à fomenter des complots ou à lancer des campagnes de publicité, mais, rentrant en nous-même, à instaurer dans nos familles des relations de père à fils sur qui la royauté, à la fois éternelle et moderne, pourrait se modeler.

        Cela même ne serait pas possible tant que nous n’aurions pas appris à rendre hommage à l’icone de la paternité qui luit au fond de nous. Beaucoup d’entre nous la portent comme père ou comme mère; tous comme fille ou fils. Certains sont satisfaits de leurs parents; d’autres déplorent leurs erreurs ou leurs négligences; mais nous n’avons pas de sujet de méditation qui soit plus profondément gravé en nous que le mystère de notre naissance, auquel celui de la royauét est si intimement lié.

 

II : De la reine

        Une reine n’est pas une grise faisane.

        Il est vrai que les reines de France, terre salique, arrivaient d’un pays étranger, ne s’acclimataient pas toujours très bien, se prenaient bientôt les pieds dans les tabourets des maîtresses du roi. Elles en pleuraient, puis elles apprenaient à en rire, condamnées pour leur part à une fidélité rarement mise en doute et à une procréation professionnelle qu’elles exerçaient à un rythme soutenu.

        Pourtant, malgré le handicap de leur sexe, Anne de Russie, Aliénor d’Aquitaine, Blanche de Castille, Marguerite de Bourgogne, Anne de Bretagne, Catherine de Médicis, Marie de Médicis, Anne d’Autriche ont tenu un rôle politique que n’a jamais joué aucune femme d’élu. C’est qu’en effet la reine n’est pas que la femme du roi; elle appartient de son propre chef à la trinité royale; si le roi est Osiris et l’héritier Orus, elle est Isis. 

        Pour bien marquer cela, la basilissa de Byzance était couronnée avant son mariage : elle tenait donc sa couronne de Dieu, comme le basileus, et non de son mari. En Russie, au contraire, c’était le tsar qui effleurait de sa propre couronne la tête de la tsarine avant de poser dessus la couronne qui lui était reservée. Le symbolisme est différent, mais le contact avec la première couronne, reçue des mains du métropolite, indique que c’est le couple qui accède à la souveraineté et non pas simplement un homme qui se trouve être marié.

        En France, les usages étaient différents. Certaines reines furent sacrées le même jour que le roi, d’auttres le jour de leur mariage, d’autres encore à un autre moment. Au XVIIème et au XVIIIème siècle, la plupart ne le furent pas : décadence de la conception originelle de la royauté et régression, heureusement temporaire, du rôle social de la femme. En revanche, de 1115 à 1610, période où la royauté française donna le meilleur d’elle-même, neuf reines seulement ne furent pas sacrées, contre vingt-six qui le furent. 

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François II et Marie Stuart : « En France, les usages étaient différents. Certaines reines furent sacrées le même jour que le roi, d’auttres le jour de leur mariage, d’autres encore à un autre moment…. »

 

        La reine de France recevait deux onctions : sur la tête et sur la poitrine. L’archevêque lui remettait, comme au roi, le sceptre et la main de justice, et la couronnait de ses mains. L’opération était solennelle et définitive, puisqu’Anne de Bretagne, qui avait déjà était sacrée lors de son mariage avec Charles VIII, ne le fut pas une deuxième fois quand elle épousa Louis XII.

        Comme le roi sacré est l’homme par excellence, la reine sacrée est la femme par excellence.

        On a l’habitude de penser d’abord à son rôle de mère, et il est vrai que la transmission de la royauté, plutôt qu’en ligne droite allant de père en fils, comme on l’imagine trop souvent, décrit une crémaillère qui va de roi en reine et de reine en héritier. Mais la reine a d’autres emplois, et je ne pense pas aux inaugurations d’orphelinats ni au baptême des vaisseaux de guerre. En tant que femme, elle devient naturellement la dame des pensées de ses sujets, et Lancelot accomplit pour Guenièvre des exploits que le roi Arthur ne lui aurait pas inspirés. A notre époque, on imagine que la reine pourrait prendre des responsabilités politiques même en terre salique : il y aurait là la mise en oeuvre de possibilités que la royauté du temps passé ne pouvait exploiter.

        Il arrive qu’une reine soit autocrate de son propre chef. Alors c’est elle qui rassemble en elle-même les principes des deux sexes et qui assure le caractère bisexué de la royauté. C’est une reine-roi, et l’expérience montre que c’est généralement un grand roi. Elisabeth Ière d’Angleterre, la reine-vierge, a mis a profit toutes les facultés androgynes de sa fonction; Catherine II de Russie, la Sémiramis du Nord, n’a pas moins bien réussi comme empereur que comme impératrice : Krasnoff, qui lui avait consacré un roman historique, disait que la Russie en était l’héroïne et Catherine le héros.

        En dehors de ce cas particulier, la reine nous est garante que ce n’est pas un homme mais l’Homme intégral, masculin et féminin, qui est appelé à régner.

        Les révolutionnaires français ne s’y sont pas trompés en décapitant celle que Léon Bloy appelait superbement la Chevalière de la Mort.

        Marie-Antoinette n’avait jamais conseillé au bon peuple de manger des brioches au lieu de pain, elle ne s’était pas compromise dans l’affaire du collier; elle avait peut-être souri à Fersen et probablement renseigné les cours d’Europe sur les mouvements de troupes de la France révolutionnaire. Mais ce ne sont pas ces fautes qu’elle paya le 16 octobre 1793. Ce qu’elle paya, ce fut sa qualité de reine, car, en tuant le roi, on ne tuait qu’un roi : avec la reine, on tuait la royauté.

        C’est qu’en effet la royauté ne réside pas dans le roi, mais dans la reine. C’est elle qui tisse le roi avec les filaments de son sang, c’est elle qui sait si l’héritier du trône est légitime, c’est elle qui assure cette continuité sans laquelle la royauté n’est rien, puisque la royauté n’est pas fille du temps, mais de la durée.

       Donc, c’est à bon droit qu’une grande piété posthume entoure, dans les familles traditionnelles, la dernière reine de France. Je me rappelle ce livre qui lui était consacré et qu’un de mes amis avait apporté au lycée pour me le montrer. Avec un tendre respect, il me fit voir une poche aménagée dans la reliure : dedans, un lambeau d’une robe que Marie-Antoinette avait portée au Temple. Nous avions dix-sept ans et nous regardions ce chiffon sacré avec des larmes dans les yeux. 

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Deux reliques provenant de la prison du Temple : fragment de robe qu’y a portée Marie-Antoinette (ci-dessus) et (ci-dessous), pochettes qu’elle y a brodées… :

 « Nous avions dix-sept ans et nous regardions ce chiffon sacré avec des larmes dans les yeux… »

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Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

* Frais de port inclus

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