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Un collectif de médecins et scientifiques alerte sur les dangers du nouveau confinement

mardi 10 novembre 2020mardi 10 novembre 2020 sur JSF

Cette tribune publiée le vendredi 29 octobre 2020 peut surprendre par sa véhémence et sa radicalité. La colère qu’elle exprime est pourtant présente parmi les Français, sans compter les protestations diverses, catégorielles et professionnelles, qui sont nombreuses et fortes. Rappelons que nous avons publié à plusieurs reprises les réserves du Prince lui-même sur les conditions et les conséquences des mesures gouvernementales de confinement et sur la politique sanitaire, à maints égards erratique, de ce dernier. Le lecteur en tout cas jugera. 


Près de 300 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé, du droit, de l’éducation et du social, ainsi que des artistes, se déclarent « atterrés » par des discours officiels qui dramatisent indûment la réalité afin de justifier des mesures de confinement.

C’est un secret de polichinelle : le reconfinement était envisagé depuis l’été dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée autour de cette perspective depuis plus de deux mois, de façon à le faire accepter par la majorité de la population le jour J. Les médias mainstream lui ont fourni une aide décisive. Ils sont le relais et l’instrument privilégiés de cette communication.

Et, force est hélas de constater qu’ils jouent très bien le rôle qui leur a été assigné. S’appuyant mécaniquement sur les chiffres, cette communication consiste à ne s’intéresser qu’aux indicateurs les plus alarmants, en les changeant au fil du temps si celui qu’on utilisait ne permet plus d’envoyer le message espéré.

Et si un indicateur a une évolution en dents de scie, la communication se fait uniquement les jours où les chiffres augmentent. Il n’y a qu’un seul message possible.

Avant-hier, 27 octobre, la manipulation a encore opéré. La totalité des médias a titré sur les prétendus 523 morts : « Du jamais vu depuis le confinement » . Or ce chiffre était faux. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à l’hôpital le 27 octobre, contre 257 la veille (le 26) et 244 (en baisse donc) le 28. Mais l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les quatre jours en les cumulant. Prétendre compter les morts quotidien ce jour-là revient donc à gonfler artificiellement les chiffres. Et c’est étonnamment ce qui s’est passé la veille de l’allocution annoncée du président de la République, qui a repris à son compte ce chiffre faux. Est-ce un détail ? Non, ce n’est hélas qu’un exemple parmi beaucoup d’autres.

Une deuxième vague prétendue « plus terrible encore que la première »

C’est le président du « Conseil scientifique » (M. Delfraissy) qui le disait il y a quelques jours : arriverait une deuxième vague « plus forte encore que la première » et nous serions déjà dans « une situation critique ». Ce genre de prédiction catastrophique constitue une manipulation d’un Conseil qui n’est pas scientifique mais politique. Rien ne permet non plus d’affirmer que, sauf confinement, « d’ici quelques mois, c’est au moins 400.000 morts supplémentaires à déplorer » , comme l’a pourtant prétendu hier soir le président de la République. Enfin, il est également faux de dire que nous ferions comme tous nos voisins européens. A ce jour, seuls l’Irlande et le Pays de Galles ont reconfiné la totalité de leur population. (Tableau ci-dessus : cliquer sur l’image).

Il serait urgent de revenir à la raison. Selon les chiffres de Santé Publique France, sur les près de 15 millions de tests effectués à ce jour, 93% sont négatifs. Et parmi les 7% restant de la population testée positive, plus de 85% ont moins de 60 ans ; il s’agit donc essentiellement de personnes qui ne risquent pas de faire une forme grave de la maladie. Au final, moins de 1% de la population est donc « à risque » et c’est uniquement elle qu’il faut protéger.

Autre façon de le dire : au cours de la période récente (entre le 1er septembre et le 20 octobre, jour où nous avons fait ce calcul), 7.621.098 personnes ont été testées. Sur cette même période, 38.100 individus ont été hospitalisés (0,5%) et 6.593 ont été admis en réanimation (0,09%) avec un test positif au Covid. En d’autres termes, depuis le 1er septembre, sur cet énorme échantillon de la population de 7,6 millions, la probabilité moyenne pour un individu lambda (sans distinction d’âge ou de comorbidité) de ne pas être hospitalisé est de 99,5% et celle de ne pas être admis en réanimation est de 99,91%.

Justifier le reconfinement de 67 millions de Français sur cette base s’appelle un délire.

Hier, le 28 octobre, 3045 personnes étaient en réanimation. Comment parler de saturation lorsque l’on se souvient que, fin août, le ministre de la Santé annonçait 12.000 lits disponibles si besoin (quatre fois plus donc). Où donc sont ces lits ?

On dit alors : « Oui, mais l’hôpital est submergé par le Covid ».

Manipulation encore, pour trois raisons. D’abord, les tests ayant été généralisés depuis juillet, toute personne entrant à l’hôpital porteuse d’une trace du Covid est comptée comme un « hospitalisé Covid » même si elle vient en réalité pour son cancer ou son hypertension. Et c’est la même chose si elle entre en réanimation ou si elle décède.

Ensuite, si les chiffres de l’hospitalisation et de la réanimation augmentent bel et bien, cela n’a rien d’exceptionnel : c’est au contraire ce qui se produit chaque année à la même époque (automne-hiver) mais que l’on fait semblant d’avoir oublié. Un Alzheimer généralisé s’est-il emparé de nos politiques et des journalistes ? Faut-il rappeler qu’en janvier 2020, à la veille de la crise du Covid, 1000 médecins dont 600 chefs de service des hôpitaux avaient menacé de démissionner pour dénoncer « un hôpital public qui se meurt » ?

La vérité est que les gouvernements ne veulent pas investir dans l’hôpital public où l’on maltraite les professionnels et où l’on a perdu près de 70.000 lits en 15 ans lors même que la médecine de ville est saturée et que les services d’urgence voient leur fréquentation augmenter d’année en année. Oui, l’hôpital est en tension mais ce n’est pas fondamentalement à cause du Covid ! C’est essentiellement à cause de la maltraitance politique dont ce service public est l’objet de manière générale depuis plus de 20 ans, et tout particulièrement depuis que les politiques y ont introduit comme partout une politique du chiffre et de la rentabilité inspirée du management des grandes entreprises.

La vie sociale amputée, la démocratie en péril

La vérité est que le confinement (qui sera peut-être prolongé au-delà du 1er décembre) crée bien plus de problèmes qu’il n’en résout. Son bilan mondial n’est associé à aucune réduction mesurable de la mortalité tandis que son principal résultat observable est d’abord de mettre au chômage des centaines de milliers et peut-être demain des millions de personnes, surtout évidemment parmi les plus fragiles (emplois précaires, CDD, intérim, personnes payées à la prestation, saisonniers, etc.), et de menacer de disparition la plupart des petites entreprises, souvent familiales, autres que les commerces de bouche, dont l’activité quotidienne est la seule source de revenu. Gageons que les très grands groupes s’en satisferont car ils les rachèteront sans doute demain. (Photo : Lyon de nuit sous reconfinement.)

Ces mesures de confinement ont ensuite pour effet d’amputer la vie sociale de la plupart des liens sociaux autres que familiaux. Un certain style de vie et de pensée embourgeoisé s’en satisfaisait certes au printemps dernier, chaque enfant ayant sa chambre pour vivre son intimité, son ordinateur pour rester en contact avec l’école et son smartphone avec forfait illimité pour échanger en permanence avec ses amis, les parents faisant du télétravail, sortant chaque jour faire leur footing dans des rues et des espaces verts « où on entendait de nouveau les oiseaux », et se faisant livrer des repas à domicile s’ils avaient la flemme de faire à manger ou la peur d’aller se mêler à la populace dans un supermarché.

Mais de quelle proportion de la population cette vie est-elle le quotidien en confinement ? Qui ne voit que le confinement fait exploser les inégalités sociales, les échecs scolaires, les violences intra-familiales, les troubles psychologiques et les renoncements au soin ? Qui ne sait qu’il entraîne déjà dans d’autres pays des soulèvements et des émeutes de la faim ? Et qui comprend que les oiseaux ont bon dos et que ces petits moments de répit procurés par la panique des humains ne sont rien au regard de leur lente extinction ?

Quant à la démocratie, elle est mise sous cloche par l’état d’urgence permanent et le confinement. Qu’est-ce qu’une démocratie sans liberté d’aller et venir, de se réunir et de manifester ? Qu’est-ce qu’une démocratie où il n’y a quasiment plus personne dans les hémicycles des assemblées parlementaires ? Qu’est-ce qu’une démocratie où la justice est paralysée faute de pouvoir audiencer ? Qu’est-ce qu’une démocratie où, finalement, il n’y a plus qu’un pouvoir exécutif ? Qu’est-ce qu’une démocratie où tout ceci s’impose par la peur et la culpabilisation, voire la censure et la mise en accusation de quiconque refuse d’y céder ?

Chacun, en conscience, tirera les conséquences qu’il veut de tous ces dramatiques constats. Nous n’appelons pas à la révolution et nous ne faisons pas de politique partisane. Mais nous voulons dire que nous en avons plus qu’assez qu’on nous demande de nous comporter comme les moutons de Panurge au nom d’un principe de précaution totalement dénaturé et d’interprétations statistiques relevant de la manipulation.

Nous réclamons qu’on en finisse avec cette panique sanitaire, qu’on donne aux soignants les moyens de remplir leurs missions de santé publique, qu’on cesse de violenter des pans entiers de la société et qu’on sorte de cet état d’urgence permanent pour bâtir démocratiquement une politique sanitaire consensuelle.  ■


Signataires

Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS

Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN

Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097

Paul Touboul, Professeur de cardiologie à l’université Lyon 1
Pierre-Yves Collombat, ancien sénateur du Var, ancien vice-président de la commission des lois
Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des Etats Généraux de la Prévention
Marc Rozenblat, président du syndicat National des médecins du sport-santé
Christian Celdran, Directeur Régional des Affaires Sanitaires et sociales (DRASS) honoraire
Chantal Brichet-Nivoit, médecin et correspondante de l’Académie d’Ethique à l’Université de Paris
Dominique Eraud, médecin, présidente de la coordination nationale médicale santé environnement
Louis Fouché, médecin anesthésiste, réanimateur hospitalier
Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier
Gilles Perrin, médecin anesthésiste réanimateur
Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM
Rose-Marie Castello, médecin du Travail
Sroussi Hubert, médecin généraliste (Montbéliard)
Cécile Bourdais, maîtresse de Conférences en Psychologie à l’Université Paris 8 Vincennes à Saint-Denis
Marie Estripeaut-Bourjac, professeur Émérite à l’Université de Bordeaux
Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue
Jean-Jacques Vallotton, médecin généraliste (39)
Florence Lair, radiologue libérale, Blois
Gilles Guglielmi, professeur de droit à l’Université Paris II Panthéon-Assas, Directeur du Centre de Droit public comparé
Éric Desmons, professeur de droit public, université Sorbonne Paris Nord
Alain Wurtz, professeur émérite de Chirurgie Thoracique, Université de Lille
Bernard Dugué, ingénieur des Mines, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie
Elizabeth Oster, avocat à la Cour, ancien membre du Conseil National des Barreaux
Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
Mathias Delori, politiste, chargé de recherche CNRS
Alexandra Menant, docteur en biologie, chercheuse au CNRS
Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université Aix-Marseille
Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie, Université de Bordeaux
Éric Plaisance, professeur de sociologie à l’Université Paris Descartes
Thierry Flaget, Conseiller principal d’éducation
Marc Cognard, professeur de biologie et physique-chimie en lycée
Cesare Mattina, enseignant/chercheur à Aix-Marseille Université
Nathalie Chapon, Enseignante et Chercheure à Aix-Marseille Université
Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
Marc Roux, professeur Honoraire de Zootechnie
Pascale Gillot, Maître de conférences en philosophie, Université de Tours
Charalambos Apostolidis, Professeur de droit international à l’Université de Bourgogne
Didier Blanc, Professeur de droit public à l’Université de Toulouse
Christophe Leroy, Biologiste, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire
Dominique Domergue Anguis, gynécologue
Evelyne Fargin, professeur de chimie à l’Université de Bordeaux
David Lepoutre, professeur de sociologie, Université de Paris Nanterre
Isabelle Vinatier, professeur émérite de sciences de l’éducation à l’Université de Nantes
Marie Touzet Cortina, Maître de Conférences à l’Université de Bordeaux
Murielle Dellemotte, Médecin du Travail
Monique Lamizet, médecin
Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon
Monique Romagny-Vial, professeur des universités
Jean-Jacques Robin, Juriste ancien directeur d’établissements médico-sociaux
Sébastien Aubert, professeur agrégé de Génie Mécanique, Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
Laurence Maury, psychologue (psychologie sociale et cognitive)
Isabelle Aubert, Maitre de conférences HDR à l’Université de Bordeaux
Thierry Gourvénec, pédopsychiatre
Michèle Leclerc-Olive, chercheure retraitée CNRS-EHESS
Hélène Banoun, pharmacien biologiste, Docteur ès-sciences pharmaceutiques
André Cayol, enseignant chercheur retraité de l’Université de Compiègne Sorbonne
Shanti Rouvier, Docteure en Psychologie Clinique et Psychopathologie
Jean-Michel de Chaisemartin, psychiatre des Hôpitaux Honoraire
Gilles Mottet, enseignant artistique compositeur
Marta Barreda, Médecin généraliste, spécialiste en Santé Publique
Camille Allaria, Sociologue, chercheuse associée au CNRS
Pierre Duchesne, Psychanalyste
Michel Angles, médecin généraliste (12)
Daniel Robinson, médecin généraliste (Ecully)
Jean-Pierre Eudier, Chirurgien-Dentiste
Christian Perronne, médecin infectiologue
Christine Claude-Maysonnade, avocate (Tarbes)
Eugenia Lamas, chercheuse en éthique, INSERM
Hervé Joly, directeur de recherche CNRS, Lyon
Sylvie Laval, psychiatre
Daniel Chollet, médecin pneumologue
Brigitte Agostini, infirmière libérale, Propriano
David Esfandi, psychiatre-addictologue, Bordeaux
Thiou Sandrine, médecin généraliste à Besançon
Ariane Bourgeois, Avocat au Barreau des Hauts-de-Seine
Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste, Villenave d’Ornon
Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste Bourges
Marc Richevaux, magistrat, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS
Brigitte Weiss, Médecin généraliste
Laura Giusti, Médecin psychiatre
Mylène Weill, biologiste, directrice de recherche au CNRS
Eric Bouvier, pharmacien
Bernard Cornut, polytechnicien
Mohamed Zelmat, biologiste médical
Dominique Jaulmes, médecin retraitée, ancien PHTP AP-HP
Anne Marie Begue-Simon, ancien maître de conférences des Universités en sciences humaines, ancien médecin et expert honoraire près des Tribunaux
Tanguy Martinelli, médecin généraliste à Issigeac (Dordogne)
Caroline Mecary, Avocate aux barreaux de Paris et du Québec, Ancien Membre du Conseil de l’Ordre
Bernard Banoun, Professeur de littérature allemande, Sorbonne Université, Faculté des Lettres
Hugues Debotte, Conseiller en droit
Sendegul Aras, avocat au barreau de Strasbourg, Membre du Conseil de l’Ordre
Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier
Lisbeth Girard Claudon, Médecin généraliste
Benoît Rousseau, juge des libertés et de la détention (Cayenne)
Cécile Fortanier, docteur en Économie de la Santé, Cadre Hospitalier
Delphine Rive, médecin généraliste (Rezé)
Claude Gautier, professeur de philosophie, École Normale Supérieure de Lyon
Nathalie Caradot, médecin généraliste
Michel Soussaline, chirurgien AIHP- ACCAHP
Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
Roland Pfefferkorn, professeur émérite de sociologie à l’Université de Strasbourg
Maryse Esterle, sociologue, enseignante-chercheure honoraire de l’université d’Artois
Lucie Jouvet Legrand, Maîtresse de Conférences en Socio-Anthropologie
Caroline Petit, chercheuse au CNRS, USR 3608
Pascal Lardellier, Professeur de sciences de la communication à l’Université de Bourgogne
Aurélia Vessière, Chercheur en maladies infectieuses
Marie-José Minassian, philosophe
Fausto Lanzeroti, Ostéopathe D.O.
Jean-Marc Le Gars, Avocat au Barreau de Nice
Michel Deshaies, Professeur de Géographie, Université de Lorraine
Thierry Orsiere, Ph D HDR, Ingénieur de Recherche en Toxicologie Génétique à Aix Marseille Université
Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen
Jacques Bouaud, chercheur en informatique médicale
Jean-Michel Crabbé, médecin généraliste (Besançon)
Patrick Bellier, pneumologue
Isabell Erhardt, médecin généraliste
Franklin Joulie, Chirurgie Gynéco-Obst (Nantes)
Pascal Sacré, Anesthésiste-réanimateur
Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, formateur
Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chirurgien-dentiste
Jeanine Jemet, médecin généraliste
Rosa Gutierrez Silva-Lenud, infirmière, diplômée en Santé publique
Claude Amzallag, musicien
Bénédicte Helfer, Expert Science de Régulation
Nicole Foulquier, Avocat (Beziers)
Claude Murtaza, médecin généraliste
François Gastaud, Chirurgien orthopédiste
Gérard Ostermann, Professeur de Thérapeutique, Médecine Interne, Psychothérapeute
Michel Boudet, Médecin généraliste
Anne-Elisabeth Migeon, Diététicienne/Nutritionniste
Béatrice Adam, Kinésithérapeute
Maylis Ferry, post-doctorante en science politique au Centre Émile Durkheim
Pierre Sonigo, directeur de recherche et développement
Rik Verhellen, médecin généraliste
Alain Le Hyaric, Médecin de Santé publique, Paris
Koryna Socha médecin, PH, docteur en sciences médicales
Jean Baptiste Mouzet, praticien hospitalier gériatre, Maine-et-Loire
Gérard Le Roux, médecin généraliste retraité
Jean Jacques Gandini, Avocat honoraire, Montpellier
Marie Monguet, psychologue clinicienne
Jean-Marc Rehby, médecin généraliste (Lille)
François de Chabalier, psychiatre, épidémiologiste
Cynthia Galand, infirmière diplômée d’état
Jérôme Reynier, Docteur en psychologie sociale
André-Pierre Bouillet, médecin généraliste (Talant)
Jean-Dominique Michel, socio-anthropologue
Maryse Pechevis, Avocat à la Cour (Montpellier)
Nadège Pandraud, enseignant-chercheur à Aix-Marseille Université
Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
Peter El Baze, médecin Ancien attaché des Hôpitaux du CHU de Nice
Heike Freire, philosophe et psychologue, spécialiste de la Pédagogie Verte
Dominique Leiber, médecin généraliste
Pascal Roman, Professeur de Psychologie clinique, psychopathologie et psychanalyse à l’Université de Lausanne
Maxime Langevin, Doctorant en mathématiques appliquées
Hélène Chollet, Docteur en médecine
Béatrice Petit, médecin généraliste
Raphaël Sendrez, masseur-kinésithérapeute et ostéopathe
Nicole Chaudiere, pharmacienne
Karim Souanef, maître de conférences en sociologie à l’Université de Lille
Vincent Manns, médecin généraliste acupuncteur
Martine Mérour, pneumologue
Myriam Balsat, médecin généraliste
Yves-Marie Mattheyses, Infirmier Anesthésiste
Anne Atlan, Directrice de Recherches au CNRS, Généticienne des populations et Sociologue
Caroline Mouzet-Heaulme, Médecin généraliste
Dominique Bouvier, pharmacienne
Nicole Roattino, pharmacienne Praticien Hospitalier
Evelyne Jaumary-Lapeyre, avocat, docteur en Science Politique
Sybille Burtin-Philibert, Médecin spécialiste de Santé Publique
Laurent Durinck, médecin anesthésiste
Véronique Ahari, médecin nutritionniste
Nathalie George, médecin du travail et épidémiologiste
Frédéric Schnee, médecin gériatre coordonnateur en Ehpad
Thierry Medynski, médecin généraliste
Teddy Francisot, Avocat à Montpellier
Blanche Magarinos-Rey, avocate au Barreau de Paris
André Bonnet, avocat au barreau de Marseille
Hélène Palma, maître de conférences à l’Université d’Aix-Marseille
Jean Luc Wabant, avocat
Guy Chapouillié, Professeur Emérite à l’ENSAV de Toulouse
Évelyne Gandais, Dermatologue
Nicole Karsenti, Médecin généraliste
Fabien Giboudot, médecin généraliste (39)
Gwennola Nouet Berthelot, docteur en médecine (49)
Édith Delbreil, avocate au barreau d’Avignon
Serge Rader, Pharmacien, Paris
Valérie Giraud, Sage-femme sexologue
Emmanuel Sarrazin, médecin généraliste
Franck Enjolras, psychiatre et anthropologue
Anne Catherine Martin, médecin généraliste
Paul-André Bellot, chirurgien dentiste
Francine Barouch, médecin Homéopathe (Nice)
Catherine Delmas, médecin généraliste, Toulouse
Jean Emsallem, médecin angéiologue
Morgane Miègeville, cadre de santé
Patricia Melot, médecin généraliste
Sylvie Huitorel, infirmière libérale (56)
Marc Arer, médecin généraliste (Saint-Etienne)
Philippe Bos, anesthésiste-réanimateur retraité
James Masy, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université Rennes 2
Benoit Marpeau, maître de conférences en histoire, université de Caen-Normandie
Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste
Lidia Wacheux, aide-soignante
Bénédicte Dassonville, médecin généraliste
Christophe Dargere, sociologue, chercheur associé au Centre Max Weber
Tamara Baron, psychologue
Dominique Géraud-Coulon, médecin rééducateur (Gap)
Pierre Maugeais, médecin généraliste (30)
Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin Oto-rhino-laryngologiste, CHU Marseille
Paul Report, retraité, ancien magistrat des tribunaux administratifs et cours Aude Meesemaecker, infirmière, naturopathe, Montpellier
Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale, Sorbonne-Université
Emmanuel Krivine, chef d’orchestre, directeur honoraire de l’orchestre national de France
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13 commentaires pour “Un collectif de médecins et scientifiques alerte sur les dangers du nouveau confinement”

  1. Cincinnatus
    mardi 10 novembre 2020 at 8 h 06 min | Répondre

    Fort bien .
    Mais nous sommes malgré tout en face d’un virus dont on ne sait toujours rien, hormis qu’il se propage à la façon d’une grippe et qu’il frappe davantage les faibles.
    Alors que peut faire un gouvernement sinon tâtonner et prendre des mesures au jour le jour?
    A moins de penser à un complot suicidaire de nos propres gouvernants pour anéantir l’économie du pays et le précipiter dans un chaos orchestré dans un but ignoré , il est impossIble au citoyen lambda de lutter contre des mesures qu’on lui présente et qui sont susceptibles de retarder l’encombrement des urgences hospitalières .
    Les mêdecins « tant pis » et «  Tant mieux » ont un bel avenir

  2. christian le cosquer
    mardi 10 novembre 2020 at 10 h 43 min | Répondre

    Un peuple se bat contre un ennemie humain, il se protège contre un virus.
    Faut il encore qu’il soit informé du danger et que les médecins lui indiquent les méthodes et les moyens de s’en protéger. Or en France, les professionnels de la santé se disputent à la télévision, les gouvernants prennent des directives digne d’un état de guerre. Comment expliquer les jeunes élèves libres dans la vie courante et les autres bloqués. Comment expliquer les rayons fermés par un ruban dans les grands magasins. Ils tâtonne et ils prennent des « mesures » pas toujours adéquates, cela peut se comprendre dans l’immédiat et pour un temps court de réaction. Mais, Mais ceci dure depuis Noêl dernier, un an, et jusqu’à quant. Alors sans réflexion devant les différents importants des professionnels et des responsables ou allons nous. L’Ogre de la pandémie associé à la chute de notre économie et à la soumission à la religion des émigrés, pose un réel problème dans les esprits encore libres. Merci à tous les soignants .

  3. michel de Lignières
    mardi 10 novembre 2020 at 11 h 45 min | Répondre

    Tout était préparer lisez le livre de DOUSTE-BLAZY  » MALADI FRANCAIS »
    pandélie: et pourtant tout avait été préparé!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  4. Pierre Builly
    mardi 10 novembre 2020 at 12 h 29 min | Répondre

    Le monde entier navigue à vue, dans une mer houleuse, dans un épais brouillard, au milieu d’écueils et de requins. Je dis bien le monde entier.

    Je trouve assez ridicules les fiers-à-bras qui traitent par le mépris les mesures qui sont prises et les précautions qu’on nous demande ; elles sont quelquefois hâtives, hasardeuses, contradictoires ? Bien évidemment, puisque personne au monde ne sait ce qu’il faudrait faire (sauf abattre les vieux pour consacrer tous les efforts et les appareils aux plus jeunes ; qui est candidat ?)

    La médecine, faut-il le rappeler, n’est pas une science exacte ; et il est absolument grotesque d’imaginer qu’un autre Président, même un autre régime aurait mieux réussi. Pour l’instant je vois qu’on n’atteint qu’un peu plus de 40.000 morts, ce qui n’est pas considérable ; et pour la plupart des vieillards, des obèses, des diabétiques, c’est-à-dire des gens qui avaient de bonnes chances de ne pas faire de vieux os.

    Continuons à vivre, sortons un peu, lisons, voyons des films, téléphonons-nous, attendons que les vaccins arrivent. Et cessons de tenir des propos à haute valeur philosophique, mais que nous ne tiendrions pas si nous étions les Pouvoirs publics qui agissent non pas dans la noblesse de pensée mais dans le « hic et nunc ».

  5. Pierre Builly
    mardi 10 novembre 2020 at 12 h 33 min | Répondre

    J’ajoute que lorsque je vois parmi les signataires de cette tribune Laurent Mucchieli et Caroline Mecary, j’ai bien des raisons de me méfier.

    Le brave Prince, qui n’a pas plus de compétence que moi sur le sujet ferait mieux de ne pas se manifester…

  6. Antiquus
    mardi 10 novembre 2020 at 22 h 27 min | Répondre

    Depuis que les hommes ont une autorité, on applique les mêmes règles immuables pour faire face à une épidémie: on isole les personnes infectées, tout en les aidant, et on bloque les entrées. En Provence, l’intendant fit d’ailleurs construire un mur isolant la région de Marseille lors de la peste de 1720. C’est ce qu’ont fait la Norvège, la Chine, l’Estonie et la Finlande, avec succès. Dans la crise actuelle, en France, on confine tout le monde, sans se préoccuper des conséquences, et, jusqu’à une date très récente, on laisse les frontières ouvertes. Macron s’est même permis une plaisanterie idiote sur le virus qui ne s’arrêtait pas aux frontières. N’en déplaise à Pierre Builly, c’est discutable. Dans le même temps, on déclare mort du covid, de l’aveu même du ministre de la santé, un grand nombre de patients atteints de maladies incurables et mortelles. Cela, c’est de la « communication », mais on pourrait aussi l’appeler du mensonge. Désolé mais nous avons le droit d’en discuter. J’ai quelque agacement à me voir rappeler à l’ordre moral pour avoir fait preuve d’esprit critique. Nous n’avons pas à garder le silence sous le prétexte fallacieux que les « Pouvoirs publics » font ce qu’ils peuvent.

  7. Pierre Builly
    mardi 10 novembre 2020 at 23 h 31 min | Répondre

    Oh mais bien sûr, Macron a dit une de ces énormes bêtises don t il a le secret en prétendant que les virus ne s’arrêtent pas aux frontières ! Zemmour le rappelle continuellement ; si, au tout début de l’épidémie on avait effectué des contrôles et refoulé les voyageurs venant de Chine ou, plus tard, d’Italie, on aurait épargné bien des efforts.

    Cela étant – et c’est bien ce qui est intéressant dans l’affaire – c’est que personne ne sait ce qu’il faut faire, que les médecins s’écharpent entre eux et dévoilent leurs haines de clans et que nous sommes à espérer avoir eu la chance de ne pas toucher une poignée de porte, un bouton d’ascenseur, un chariot de supermarché infecté.

    On peut tout à fait être grognon parce que ça nous tombe dessus et que nous n’avions pas besoin de ça ; mais faire croire que d’autres auraient mieux fait, beaucoup mieux fait, c’est de la blague. Et le Prince Jean ferait mieux de s’occuper de l’invasion migratoire et des bandits de banlieue.

  8. Antiquus
    mercredi 11 novembre 2020 at 9 h 13 min | Répondre

    Je regrette, mais je ne suis pas d’accord avec Pierre Builly, au moins sur son état d’esprit.
    D’abord, ce n’est pas parce que l’on connaît mal ce nouveau fléau que l’on doive faire n’importe quoi. Dans le doute, dit la sagesse populaire, abstiens-toi. On n’est absolument pas sûr que les mesures prises au printemps aient été efficaces, mais on est en revanche sûr de leurs effets catastrophiques sur la société et même la sociabilité de ce pays. Et là, je dois dire que je me hérisse en lisant Builly qui fustige les « grognons ». Grognon, le fleuriste du bourg voisin, qui va devoir vendre sa maison pour rembourser son emprunt pour la réfection de son magasin? Grognons, ces huit employés de l’ entreprise de mes enfants qui sont virés sans aucune chance de retrouver un emploi? Grognonne, la chauffeuse de taxi qui s’est suicidée parce que sans chiffre d’affaires, elle ne pouvait plus payer ni traites ni loyer?
    Entre 1957 et 1959 fit irruption en France un virus aussi meurtrier et aussi inconnu que le covid: la grippe asiatique. On ne sait pas au juste combien elle a fait de morts, l’OMS annonce 4 millions de morts dans le monde. Pour la France, les chiffres varient entre 17.000 et 100.000 morts. Il faut dire aussi qu’on avait plutôt tendance à réduire les chiffres qu’à les augmenter, comme on le fait aujourd’hui. En tout cas, je peux dire qu’à l’époque, il n’y a pas eu l’ombre d’un quart de confinement. Nous pourrions nous interroger sur la différence énorme de traitement d’occurrences similaires.
    En fait, ce nous dit Builly, c’est que l’on n’a pas d’autre choix que de faire confiance à nos gouvernants. Pas seulement leur obéir, car cela, c’est une question de répression subie, mais croire à leurs motivations honorables, déterminées par le souci du bien public, même s’ils se trompent. Là non plus je ne suis pas d’accord. Les motivations des gouvernants sont au contraire méprisables, car elles ont pour nom la pétoche, le panurgisme et le calcul politicien.
    – La pétoche, d’être poursuivi en justice pour avoir causé des morts, de se voir contesté dans la rue ou sur les ronds-points, de se voir obligé de braver l’Europe de Bruxelles, de perdre le contrôle du peuple en somme. Et il est plus facile de serrer la vis à mort lorsqu’on invoque la peur de la maladie, surtout quand on l’instille en permanence. Les gendarmes imposent le port du masque sur les ponts de la Garonne, balayés par un vent d’autan à décorner les boeufs! Les français sont traités comme des demeurés, et ils s’y habituent.
    -Le panurgisme, parce que nos gouvernants sont en permanence en train de regarder les pays voisins et de surenchérir sur eux. C’est à celui qui confinera le plus, et chaque gouvernant invoque l’autorité des autres, sans se préoccuper de l’efficacité des mesures, ni de leur coût dans l’avenir.
    – Le calcul politicien qui explique le mensonge. Pourquoi, en effet, augmenter artificiellement le décompte des morts du covid? Certains expliquent que l’institution hospitalière y trouverait son compte par l’attribution de subventions. C’est possible, mais deux autres raisons interviennent aussi à mon sens. D’abord, en insistant frauduleusement sur l’urgence, on peut appesantir d’autant la main de l’Etat sur les français. Et aussi, c’est un calcul vieux comme la république: on fait apparaître une situation pire qu’elle n’est afin, le jour venu (au moment des élections) d’en tirer un profit électoral. Mensonge et manipulation, donc.

  9. Henri
    mercredi 11 novembre 2020 at 10 h 02 min | Répondre

    Remercions les auteurs de cette tribune. Prendre des précautions, oui, mais pas à n’importe quel prix et dans une psychose, qui détruit tout sur son passage, notre économie, notre tissu social, la vie, la vraie vie quoi ! Et j’ajouterai le visage de l’autre, qui est un don de Dieu. J’enrage de voir ces jeunes enfants , -« aux yeux étincelants » du moins, c’est ce que raconte un témoin effaré dans la Russie de 1942 – être masqués, à l’école, dans la rue, à domicile bientôt : mes petits-enfants ! De devoir me promener avec masque dans nos rues, dans nos parcs, sans nécessité évidente, de voir ce ralliement zélé d’une part de l’Eglise,- celle du sommet!- à cette dictature sanitaire qui veut de manière diabolique hypocrite et feutrée, nous cacher le visage : imagine-t-on Christ masqué parlant à la Samaritaine, à la femme adultère ; et en outre on nous interdit l’office, l’expression de notre foi ( pour les croyants) on nous met sous haute surveillance les enterrements, les mariages. Même les pires régimes totalitaires n’ont pas osé le faire : les martyrs qu’ils fusillaient avaient, au moins en France, l’assistance d’un prêtre.. La Semaine Sainte et Pâques aux oubliettes, et bientôt la célébration de Noël. Ce que les pires persécutions n’avaient pas réussi à faire , « éteindre les étoiles dans notre ciel » dans notre paysage, ils sont en train d’y arriver. Ne parlons pas des cimetières fermés pour ceux qui veulent s’y recueillir ! Je ne me réjouis pas de ce jeûne spirituel » comme ose le dire… enfin vous avez deviné.
    Devons nous revenir, si nous sommes chrétiens, aux forêts de la révolution pour pouvoir assister à une messe, comme pour le futur curé d’Ars ?.
    J’invite certains à relire sérieusement le Grand Inquisiteurs, célèbre parabole de Dostoïevski. Ils y découvrirons, verront comment cette euthanasie de nos âmes est prévue, décrite de manière géniale, combien au poids de leur liberté , les homme préfèrent le plat de lentilles d’une sécurité illusoire, qui ôte tout sens à leur vie. . Nous y sommes !
    Remercions enfin le Prince Jean d’avoir souci de nous en ces temps.

  10. Pierre Builly
    mercredi 11 novembre 2020 at 11 h 28 min | Répondre

    @Antiquus ; j’ai connu comme toi la grippe asiatique de 57-58 ; j’étais en classe de 6ème et, alors que cette classe comptait 30 élèves, nous n’étions plus que trois (3 !) pour assister aux cours. C’est dire combien l’épidémie était virulente et sans doute mortifère.

    Seulement il y a une grande différence entre cette vieille époque et maintenant : la mort, la peur de la mort a gagné la partie et, pour une large majorité de la population, il n’est pas question de s’y résigner. Lorsque je vois les ridicules efforts du printemps pour interdire aux vieillards des mouroirs (les EPHAD) de recevoir la visite de leurs enfants et petits-enfants, je vois bien que la sauvegarde d’une existence sans grand intérêt est devenue primordiale.

    Et les médecins des hôpitaux ne peuvent pas non plus se résoudre à être débordés, c’est-à-dire à accepter de voir des pertes nombreuses et de FAIRE LE TRI entre les malades, qui serait la seule solution si, comme le président Macron l’avait annoncé, nous étions « en guerre ».

    Non, nous ne sommes pas en guerre puisque nous n’admettons pas les pertes… physiques. Car – tu as tout à fait raison – nous acceptons avec résignation la mort de beaucoup d’artisans et de commerçants, la fin de la joie de vivre et sans doute à terme, d’une grande partie de notre économie (luxe, tourisme, aviation, etc.). Et ceci dans le monde occidental entier : la prolongation de la vie devenue bien suprême nous tue plus sûrement qu’autre chose.

    Nous ne sommes pas substantiellement en désaccord ; je constate seulement avec un certain cynisme que nos amollissements sont certains et que nous n’avons plus de volonté de vivre mais une volonté farouche et absolue de survivre. C’est un fait. Et ce n’est pas le fait des Français (F majuscule !!!) seulement mais des Italiens, Allemands, Espagnols et tutti quanti.

    Prêter des arrière-pensées au Gouvernement est chose facile ; je songe toujours à la phrase lumineuse de Michel Rocard qu’on devrait avoir en tête plus souvent : « Toujours privilégier l’hypothèse de la connerie à celle du complot. La connerie est courante, le complot demande un esprit rare. » ; substituons « ignorance » ou « panique » à « connerie » : on est en plein dedans.

    Personne ne sait ce qu’il faut faire ; tu le sais, toi ? Tu es prêt à accepter qu’il y ait 2 ou 3000 morts par jour ? Ou davantage ? Ou beaucoup plus ?Comme sur la Marne en 14 ou au Chemin des Dames en 17 ? Peut-être le faudrait-il ; mais je ne vois pas qui, dans le monde que nous connaissons, pourrait prendre ce risque.

    On peut bien fulminer contre le monde moderne ; mais comme l’a dit je ne sais plus qui « Tu tépuises inutilement à tonner contre un monde qui, de toute façon se fera sans toi ».

  11. Antiquus
    mercredi 11 novembre 2020 at 19 h 13 min | Répondre

    Lors de la grippe asiatique, il n’y avait pas 3000 morts par jour. Même en acceptant les hypothèses les plus hautes, sur une épidémie qui a duré 30 mois, nous serions à 3.000 morts par mois. Mais de toute façon, ce n’est pas aux médecins de trancher du sort de la société française, ni à ce qui prétend être notre Etat, ni à la Sécurité sociale, ni à l’administration hospitalière, c’est aux français d’en décider. Nous devons tous mourir un jour, mais on ne peut pas continuer à saboter le pays sans rien dire ; Regarde ces lamentables enseignants qui ne veulent plus enseigner à cause de « l’angoisse permanente de mourir! » qui leur « serre la gorge quand ils enseignent » et font la grève pour cela, mobilisant leurs élèves (les plus fainéants) pour des manifestations violentes. Evidemment, on comprend que Corneille et Sénèque ne soient plus au programme, car l’éthique qu’ils proposent met la barre beaucoup trop haut pour ces adeptes du « droit de retrait ». Donc pour répondre à ta question (j’ai dépassé les 75 ans et j’enseigne toujours à titre bénévole), oui, je pense que la voie que nous suivons est lâche et criminelle. Et pour répondre à la formule qui, penses-tu, est destinée à me clouer le bec: Non, le Monde nouveau dont tu parles ne se fera pas, il se défera.

  12. Pierre Builly
    mercredi 11 novembre 2020 at 20 h 16 min | Répondre

    Comment, mon vieil ami, peux-tu penser que je veuille « te clouer le bec » ? Je te connais assez pour concevoir que tu t’indignes là où (sans dpute trop souvent) je me résigne.

    Nous vivons dans la nullité, nous le savons bien. Je suis bien en accord avec toi pour dire que les médecins, des « illuminés » d’une certaine façon veulent nous imposer leur éthique. Que les enseignats crèvent de trouille.

    Je demande simplement ce que Chirac, Sarkozy, Hollande auraient fait ; le Prince Jean ? Tu veux rire ?

  13. Antiquus
    mercredi 11 novembre 2020 at 21 h 57 min | Répondre

    C’est une toute autre question. Le Prince n’est pas un surhomme. Cela dit, il me semble qu’il y a une lourde contradiction dans ton raisonnement à son égard. En pointant du doigt les atteintes à l’ordre social de ce gouvernement fantoche, (et il est vrai que Macron a été précédé par une funeste ribambelle d’incapables), Jean mène le bon combat et …tu le lui reproches! Cela ne me semble pas juste. Bien sûr, il n’a pas le pouvoir, mais il nous montre le bon chemin et il ne tient qu’à nous de faire entendre le langage de la vie collective.

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Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

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Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

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