Les hommes du régime se dévorent entre eux… Comme sous la Révolution. En vivons-nous une ? Titre de l’édito du Figaro du jour : « Malaise dans la démocratie ». (Sic). Faut-il en rire ?
« Comme dans la vieille semaine, demandant toujours que l’on tue.» L’épisode Sarko nous rappelle ces deux vers de Brasillach, écrits en des circonstances autrement tragiques qui conduisaient à la vraie mort. Et aussi la devise des socialos du congrès de Valence : « Il faut que des têtes tombent », réminiscence du rasoir national. Ce régime – et ses juges ! – se souvient toujours de ses enfances, de ses principes, de ses commencements. Redde mea principa ! Sans autre commentaire. JSF
Claude Bourrinet sur Le linguiste Alain Bentolila dénonce le…
“Il idolâtre le globish, comme Macron et les amoureux de l’american way of life ? Bentolila…”