En soi l’affaire ne mériterait ni qu’on la rélève ni – et encore moins – qu’on la commente : Ségolène Royal, qui peine à se remettre après ses « KO debout » à répétition, n’a rien trouvé de mieux, durant ces derneirs mois, que de dresser – dans Le Point – un portrait peu flatteur de celle qui qui fut, pourtant, l’une de ses porte-paroles en 2007 : Najat Vallaud-Belkacem (1).
Après moult propos peu amènes, l’ex madone des sondages lance sa perfidie (in cauda venenum) : « …Elle s’appellerait Claudine Dupont, elle en serait peut-être pas là… Elle doit assumer son identité et en être fière. Elle doit accepter d’être là pour ça… ». Ambiance…
Di Guardia sur C’est un fait qu’un bonne partie…
“C’est votre droit (bof !) de penser comme vous dites. Et le mien d’en dire Bof…”