PÉRONCEL-HUGOZ : Au fin fond de la Provence, les héritiers de Charlemagne en majesté
PÉRONCEL-HUGOZ SUSPEND QUELQUE TEMPS SES « COUPS de POING » POUR NOUS ENTRAÎNER SUR DES SENTIERS PLUS REPOSANTS À COMMENCER PAR LA DRACÉNIE…
PÉRONCEL-HUGOZ SUSPEND QUELQUE TEMPS SES « COUPS de POING » POUR NOUS ENTRAÎNER SUR DES SENTIERS PLUS REPOSANTS À COMMENCER PAR LA DRACÉNIE…
— Dame Mahault, auriez-vous donc idée de vous encloîtrer ici ? — Je ferais une détestable nonne, mon père Yves, mouvante comme je suis : mais je n’ai pas eu le temps de me lasser de cette vie là, ni surtout de voir à ma guise cette Galilée qui me plaît si fort. — Il …
Lire la suiteLes aventures d’une bourgeoise de Paris, roman-feuilleton de votre été
Les Deux Patries – réponse de Charles Maurras à la critique d’André Gide des Déracinés de Maurice Barrès, a été publié en 1903 – il y a donc 120 ans – dans la Gazette de France. Ce texte a ensuite été repris et remanié, dans L’Étang de Berre, puis, selon le choix de Maurras, dans …
À peine les reconnaissais-je, tant leurs tailles s’étaient redressées : elle, presque droite dans sa mante bleue, qui l’enveloppait de la tête aux pieds ; lui, tout menu dans ses braies de toile. Levant devant moi son bonnet de laine rouge qui découvrait ses longs cheveux blancs, il dit : — Jehanne de Fougères, je …
Lire la suiteLes aventures d’une bourgeoise de Paris, roman-feuilleton de votre été
« André Bonnard, mon cher époux, j’ai accompli le projet que nous avions formé ensemble et me suis dit, souventes fois, quand la pensée des morts vient pour réconforter les vivants, que tu devais être content de moi. Mais la partie de ma tâche qui me tient le plus au cœur, je ne l’ai pas encore …
Lire la suiteLes aventures d’une bourgeoise de Paris, roman-feuilleton de votre été
Disparition d’une incarnation du bon sens et de l’intelligence.
II est de taille aussi menue qu’un des farfadets qui dansent le soir sur la lande, et passe pour avoir la langue aussi affilée que son aiguille. Assis sur une table, les jambes repliées, il mettait un fond tout neuf aux braies du vieux sergent. À ma vue, il tira en guise de salut la …
Lire la suiteLes aventures d’une bourgeoise de Paris, roman-feuilleton de votre été
VERDU sur « La France ne doit pas se…
“Merci l’AF Et pour que Vive la France, Vive le Roi Longue vie à SAR le…”