(Comme tous les textes publiés dans cette catégorie, celui-ci, aussitôt paru, est incorporé à notre album Maîtres et témoins…(II) : Jacques Bainville. – 128 photos)
Comme l’a montré l’excellente et savante étude du « Britannicus » que L’Action française a reproduite hier, elle n’est pas si simple que cela, l’affaire du Canada.
Il ne suffit pas de dire que Louis XV a abandonné les Canadiens à leur sort, que Voltaire a négligemment parlé des « arpents de neige », ni même que l’opinion publique a partagé cette indifférence et ce dédain.
Il y a plus. Le ministre qui a contresigné ce traité de Paris, réputé humiliant et désastreux, était un des plus grands que nous ayons eus. Saluez : c’était Choiseul. Choiseul n’a-t-il pas su ce qu’il faisait ?
Je crois tout de même que si. Dès qu’on av au fond des choses, on s’aperçoit qu’à sa place on n’eût pas été médiocrement embarrassé par la difficulté du problème qu’il avait à résoudre.
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Patrick Jardin sur Vidéo courte — L’opinion de Pierre…
“Je partage les propos de Pierre de Villiers que je connais bien et que j’estime. Dommage…”