JE SUIS FRANÇAIS

             L’Ephéméride de ce jour lui est consacrée : c’est ce jour-là, en effet, le 8 septembre 1830, que Frédéric Mistral a vu le jour à Maillane.

            On sait l’amitié sans faille qui a uni, tout au long de leur existence, ces deux provençaux majeurs que furent Mistral et Maurras. Et l’importance qu’a toujours tenu le premier dans la pensée du second. A travers sa poésie, certes, mais aussi – et Léon Daudet l’a fort bien noté – par l’exemple qu’il a donné tout au long de sa vie : une longue vie, tout entière consacrée à ce que l’on pourrait appeler un traditionalisme de fait, que rien n’est jamais venu démentir ni interrompre.

            C’est la raison pour laquelle nous avons choisi, pour évoquer Mistral, de reprendre le titre d’un des ouvrages de Charles Maurras : Maîtres et témoins de ma vie d’esprit.

43ème illustration : Di Baus fariéu ma capitalo !… Des Baux je ferais ma capitale !….

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              Après notre note de samedi, on a pu lire les trois commentaires postés par Catoneo, Ariane et Anatole. Si Catoneo semble partager l’esprit de la note, Ariane et Anatole préfèrent s’en tenir à une sage prudence; attendre et voir, en quelque sorte…..

            Or, ce même samedi, François d’Orcival publiait dans Le Figaro Magazine le billet que nous reproduisons ci-après.

            Il y rappelle que ce n’est pas la première fois que les juges désavouent carrément et frontalement le travail de la police. Il a pu s’agir, parfois, d’épisodes à la limite du comique, voire du burlesque, comme pour cette affaire des clandestins de Bonifacio arrêtés par la police et libérés presque le jour-même par les juges. Nous avions alors – pour garder le moral !… – publié le dessin suivant :

            Mais, parfois, ce fut beaucoup plus grave…..

Lire la suiteForfaiture ? Le second braqueur d’Uriage remis en liberté !…