Francis Jeanson est mort. Si nous jugeons utile de parler de lui quelques instants -histoire, comme on dit, de marquer le coup, tout de même...– on ne va pas remuer un passé de toutes façons aboli, exhumer des horreurs anciennes ni rappeler à la surface des laideurs qu’il vaut mieux, maintenant, laisser recouvrir par « le sombre oubli » du temps.
Et on ne va donc pas reprendre à notre compte, ici, des insultes ou des injures (les accusations de « traître »…) que d’autres ont ressorties sur lui, ici et là, à l’occasion de sa mort.
Les lecteurs de ce blog savent que, de toutes façons, ce n’est pas le style de la maison. Nous disons ce que nous avons à dire, parfois fermement, parfois avec un peu d’ironie (du moins, on essaie…), mais sans jamais nous rabaisser à un niveau qui n’est pas celui du combat politique que nous essayons de mener au quotidien.
Grégoire Legrand sur Pierre-Yves Rougeyron : « À partir du 18…
“En attendant, le travail qu’il abat, personne ne l’abat à sa place.”