Patrimoine cinématographique • Douce
Par Pierre Builly. Douce de Claude Autant-Lara (1943). Noirceur et dévastation. Introduction : Fin du 19ème siècle. Très bel hôtel particulier parisien. Férule orageuse et autoritaire de la vieille marquise de Bonafé. Son fils veuf, Enjalbert, sa rêveuse petite-fille, Douce. Et naturellement une foule de domestiques régentés par l’acariâtre Estelle, dévouée comme un chien à ses maîtres. …
cugel sur Les Français orphelins de la magistrature…
“Cher ami, anarque, lettré, j’essaie de tirer ces premiers chapitres sur papier pour mieux y réfléchir…”