Dans Libération, samedi 3 mai…
« Près de 300 travailleurs sans-papiers ont entamé une nouvelle occupation vendredi après-midi, à la Bourse du travail à Paris. Ils affirment que la CGT les a menés en bateau. «La CGT a pris en otage le mouvement. Nous, on prend en otage la Bourse du travail !»: devant le bâtiment rue Charlot (ça ne s’invente pas, ndlr !…), à Paris, Sissoko s’emporte face à un agent de sécurité. «Je suis rage de colère» , dit-il.
« Des responsables de la CGT finissent par arriver. L’atmosphère devient de plus en plus tendue lorsqu’un sans-papiers lâche : «La CGT a trahi.» Raymond Chauveau, l’un des leaders du syndicat, s’avance vers lui : «Qui ose dire cela en face de moi ?» Dépassés par les événements, les syndiqués tentent de prendre la parole mais en sont empêchés par les huées… »
Un dicton ne dit-il pas qu’on est souvent puni par où l’on a pêché ? La CGT s’est cru finaude de conforter les escrocs/délinquants/hors la loi qui « exigent » (!) un passe-droit ? Eh bien, qu’elle récolte ce qu’elle a semé ! Elle a accepté de « parrainer » mille dossiers d’escrocs ? Les mêmes escrocs exigent d’elle maintenant qu’elle en parraine 2.000: c’est un engrenage fatal, dans lequel il ne fallait pas mettre le doigt…
Actualité de La Fontaine: « Vous chantiez ? J’en suis fort aise.
« Eh bien, dansez, maintenant ! »
(1): « sans-papiérisme » : tricherie langagière, qui consiste à présenter comme un « Droit de l’homme » celui de s’installer chez les autres sans y avoir été invité. En bon français: « escroquerie, délinquance, hors la loi… »
Pierre Builly sur Autant le savoir puisqu’il y a…
“Mais qu’est-ce que notre France est allée faire en 1830 chez ce peuple de sauvages incapables…”