MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d’information civique et politique, en ligne depuis 2008 : Présentation de Magistro par François Georges Dreyfus.pdf
* Liens : – http://www.henrihude.fr/ (Henri Hude)
– http://www.democratiedirecte.fr/ (Yvan Blot)
– Ivan RIOUFOL Journaliste
La social-démocratie à bout de souffle Dans la pressante crise économique, …
Les premières déconvenues du Printemps arabe Ceux qui, en France, s’enthousias ment pour …
– Philippe BILGER Conseiller spécial au cabinet D’Alverny, Demont et Associés Le pire puis le pire ? En Tunisie, comme il était prévu et, par beaucoup, craint, …
– Chantal DELSOL Membre de l’Institut Décentraliser et libéraliser l’école L’Éducation Nationale aujourd’hui ne remplit plus son rôle, qui est …
– Yves-Marie LAULAN Géopoliticien
Hommes et territoires Avec la mondialisation et la construction de l’Europe …
La mort de Kadhafi : retour à la Barbarie ? Il est indécent de se réjouir autour d’un cadavre, fut-il celui …
– Hyacinthe-Marie HOUARD Abbé, fondateur de l’IRCOM d’Angers La faute à qui ? « C’est qui ? » (sic) demande un étudiant français de troisième année …
– Christine SOURGINS Historienne de l’art Art contemporain … tout va très bien … Selon le Kunst Kompass, les artistes français …
Extrait du Delsol, Décentraliser et liberaliser l’école….:
L’Éducation Nationale aujourd’hui ne remplit plus son rôle, qui est de promouvoir l’égalité des chances.
Elle fonctionne comme une machine déployant les inégalités. La faute en est désormais moins à son idéologie qu’à son gigantisme centralisé, et à son corporatisme.
A l’abri de l’énorme machine anonyme et rationnelle, toutes les combines et tous les gaspillages et toutes les injustices peuvent se déployer.
L’urgence consiste à décentraliser et à libéraliser.
Il s’agit de limiter drastiquement le pouvoir de l’État et de le réduire à la solidarité, au contrôle et à la garantie.
C’est pourquoi je défends le système du chèque-scolaire. L’État dans ce cas continue à financer l’enseignement de tous, c’est son rôle s’il veut garantir l’égalité des chances et ne pas lier l’instruction à la classe sociale. Cependant, au lieu de dépenser l’argent à diriger lui-même des établissements sur tout le territoire, il distribue un bon scolaire aux familles, au prorata du nombre d’enfants. Les parents choisissent l’établissement qui leur convient. Un établissement plébiscité par nombre de familles est ainsi davantage financé par l’État, et un établissement peu demandé, finit par disparaître.
L’État s’occupe de vérifier que l’hygiène et les bonnes mœurs sont respectés dans les établissements autonomes. Il veille sur les compétences des enseignants – il peut maintenir un système de concours et imposer aux établissements de n’embaucher que les titulaires du grade. Il peut publier des programmes de matières à étudier. Mais ce n’est pas lui qui dirige les établissements. Ceux-ci sont autonomes, ils embauchent leurs enseignants selon leurs besoins, payent les enseignants selon leurs mérites et peuvent les renvoyer en cas de négligence ou de fainéantise.
Ce système, dit du chèque-scolaire, est appliqué dans nombre de pays où il profite surtout aux familles les moins aisées – qui choisissent leurs écoles au lieu d’être envoyées dans des ghettos. Dans les sondages en France, il est plébiscité par les familles…..
VERDU sur Retour en images : Le comte…
“Longue vie au jeune Dauphin et à SAR le Prince Jean IV Comte de Paris Roi…”