Aller au contenu

JE SUIS FRANÇAIS

Le quotidien royaliste sur la toile

Search
  • Accueil
  • Politique
    • France
    • Europe
    • Monde
    • Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade
    • En deux mots, réflexion sur l’actualité
    • Défense nationale
    • Social, economie…
    • Chiffres en vrac sur la France actuelle
    • Grain de sel … actualité
  • Comte de Paris
    • Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France
  • Annonces
    • Activités, Presse, Mouvement
    • Annonces à propos de JSF
  • Société
    • Immigration – Insécurité – Anti racisme
    • Education
    • Justice
    • Patrimoine, Racines, Traditions
    • Politique et Religion
    • Humour
  • Vidéo-Audio
    • Vidéos
    • Audios
  • Idées-Culture
    • GRANDS TEXTES
    • Idées, Histoire, Culture & Civilisation
    • Patrimoine cinématographique [P. Builly]
    • Ephémérides
    • Visuels
    • Nos lecteurs ont la parole…
    • Aux nouveaux lecteurs qui nous découvrent…
    • Journal d’un royaliste français au Maroc
  • République ou Royauté
    • République ou Royauté ?
    • Révolution – Terrorisme – Totalitarisme
  • Dossiers
    • Lire Jacques Bainville
    • Bainville : Journal année 14
    • Pierre Debray – Une politique pour l’an 2000
    • Pierre Debray – Maurras et le Fascisme
    • L’Action française dans la Grande Guerre
    • Mai 68
  • RechercheRecherche

Le prince Jean, Comte de Paris, à Valeurs actuelles : « Il y a une dérive oligarchique du pouvoir »

mercredi 2 mars 2022mercredi 2 mars 2022 sur JSF
Le prince Jean d’Orléans et sa famille rencontraient Emmanuel Macron, à l’occasion du 500e anniversaire de la mort de Léonard de Vinci, à Amboise, le 2 mai 2019. Photo © PHILIPPE WOJAZER / POOL / AFP

Le 25 février dernier, Nicolas Boutin s’est entretenu avec le Prince, pour Valeurs actuelles. En voici pour JSF l’intégralité. 

Prétendant à la couronne de France et descendant direct de Louis XIII, le prince Jean d’Orléans vit dans le Sud de la France. Alors que la France doit désigner son prochain chef de l’État, il nous livre ses impressions et ses inquiétudes sur le pays, la politique et la crise sanitaire. Entretien.

Par Nicolas Boutin.

Valeurs actuelles. Vous vivez aujourd’hui dans le sud de la France, en territoire rural. L’occasion pour votre famille de garder le contact avec une certaine France profonde ?
Prince Jean d’Orléans. Depuis le retour d’exil de mon grand-père, notre famille a toujours été implantée au milieu du village qu’est la France. Mon grand-père avait parcouru le pays pour connaître la France en profondeur, ce que j’ai fait ensuite un certain nombre d’années, jusqu’à la sortie de mon livre « Un Prince Français » (Pygmalion). Un tour de France des différentes régions pour prendre le pouls du pays. Aujourd’hui dans notre environnement immédiat, j’ai eu l’occasion de revoir le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, de visiter l’école Ozar Hatorah de Toulouse, qui avait été visée par Mohammed Mérah en 2012. Je rencontre aussi un certain nombre d’acteurs politiques, économiques et sociaux. Pour moi, c’est vital.

Quel est le but de ces rencontres ? Quel sens voulez-vous donner à votre présence ?
Il faut savoir ce que pensent les Français, dans leur spécificité, prendre la mesure des attentes du pays dans l’ensemble de ses composantes. C’est une démarche discrète mais nécessaire pour être capable de réfléchir aux mesures à prendre. On ne peut pas prendre des décisions sans voir la réalité des choses.

A la sortie de ces rencontres, dans quel état se trouve la France aujourd’hui, de votre point de vue ?
La France est sous contrainte et perfusion. Avec la pandémie, les Français ont dû adapter leur façon de travailler. Malgré toutes les restrictions imposées, dont on ne sait pas si elles ont vraiment servi, de nombreux Français ont continué à diriger leurs entreprises, à garder leurs clients, etc. Nous avons vu des circuits courts se développer, des solidarités se mettre en place. Nous avons pu ainsi garder notre allant, nos villes « franches », notre liberté d’entreprendre…

« La France doit retrouver une certaine dynamique »

2022 est une année présidentielle. Allez-vous jouer un rôle d’aiguillon, d’observateur, d’acteur ?
J’espère pouvoir le faire sereinement. Ces échéances sont importantes. La France doit retrouver une certaine dynamique, assez absente ces deux dernières années. Le débat est resté sur cette pandémie alors qu’il y a de nombreux autres sujets qui préoccupent nos compatriotes : la justice, la sécurité, le travail, la retraite, la santé… L’hôpital est malade, depuis des années. La pandémie n’a fait que révéler ces difficultés. Il y a aussi un nombre de fractures incroyables. Les pauvres sont laissés de côté au profit d’une société française qui dérive vers l’oligarchie. Il n’y en a que pour les privilèges. La présidentielle doit remettre au centre toutes ces problématiques.

Doit-on conserver ce mode de gouvernance ?
C’est une question institutionnelle. Avec le quinquennat, le modèle de la Ve République ne colle plus. Soit on revient au septennat pour avoir deux rythmes qui cohabitent et collaborent : le rythme long du président de la République qui gère les affaires importantes et qui donne les directions, s’occupe de la cohésion nationale. Et le gouvernement, avec un rythme différent, qui peut être d’un parti opposé et qui joue sa partition et gère le quotidien. Avec ce dernier quinquennat, on observe un glissement institutionnel, vers une vision égoïste des choses et des privations de libertés individuelles et publiques. Ce n’est pas un bon système. S’ajoute à cela l’élection qui favorise le clientélisme. Une fois élu, il faut une année pour se mettre en place, trois ans pour exercer et une année pour préparer les prochaines élections. Que peut faire un président de la République ? A côté de cela, il n’y a plus de contre-pouvoir. Les syndicats ont disparu, l’Eglise est empêtrée dans ses difficultés, les hautes chambres et les ministres sont pris dans des liens d’intérêts économiques et financiers. La chose publique n’intéresse les politiques que pour ce qu’elle peut leur apporter. Des groupes de pression se constituent et cannibalisent toute issue démocratique. L’Etat a besoin de retrouver une stature que lui donnait le septennat. Une autre solution serait un passage à la monarchie !

Vous prenez exemple sur la monarchie britannique ?
Lorsque l’Angleterre traverse des difficultés, la reine est là pour les atténuer, pour remettre du baume au cœur. Quand tout va bien, elle accentue les bonnes directions qui sont prises. C’est un pays qui défend ses intérêts, qui avance avec sa liberté. Une liberté que nos politiques ont perdue. Lorsque la France s’est frictionnée il y a quelques années avec l’Italie, le Président a retiré son ambassadeur. J’ai écrit à Emmanuel Macron, lui rappelant la proximité de ces deux pays et lui montrant la possibilité de profiter du 500e anniversaire de Léonard de Vinci pour retrouver ce lien. Si en Italie, il n’y avait pas eu cette dichotomie entre le Président Matarella et le Premier ministre, avec un différentiel de temps et de rôle, jamais Emmanuel Macron n’aurait pu faire cette démarche et inviter le président italien dans une visite d’État, notamment à Amboise où nous étions.

Vous déplorez le bilan du président sortant ?
Nous avons un président-Premier ministre qui est au four et au moulin. Il fait de la communication parce qu’il n’a plus les moyens « souverains » pour agir. Comme je le disais plus haut, tant qu’à faire, passons à la monarchie, avec cette dichotomie entre le temps long et le temps court. Le système de la monarchie est intéressant parce que le long terme est représenté par une figure qui incarne la permanence, l’arbitrage, au-dessus de la mêlée des partis. Ce qui n’empêche pas le débat démocratique, loin de là, dans l’alternance des gouvernements qui gèrent le quotidien.

Si le président ne peut plus agir aujourd’hui, n’est-ce pas aussi la faute à une perte de souveraineté ?
Bien sûr. Souveraineté et autorité sont liés. Il faut en retrouver. De nombreux moyens ont été délégués à l’Europe et à des institutions indépendantes non élues, comme la BCE et un certain nombre d’autres structures, même en France… Soit nous faisons le choix d’une Europe fédérale soit celui d’une fédération d’États souverains. De mon point de vue la fédération d’États souverains me semble plus appropriée pour garder une certaine indépendance. D’ailleurs, lorsqu’une crise surgit, nous voyons bien les difficultés à faire front commun.

« Il y a une dérive oligarchique »

Dans cette élection présidentielle, y a-t-il un candidat qui trouve grâce à vos yeux ?
Il n’y a pas de candidat particulier auquel je suis attaché et pour lequel je me déclare. Je ne l’ai jamais fait dans le passé, je ne vais pas le faire aujourd’hui. En revanche, il y a des sujets qui m’intéressent plus particulièrement, comme la justice. Un pays qui a une justice qui ne fonctionne plus ne suscite plus l’adhésion des citoyens à ses projets. Il faut une économie qui respire et non sous perfusion. Les citoyens doivent avoir une certaine marge de liberté. Par rapport à notre histoire, notre caractère, je suis étonné qu’il n’y ait pas eu plus de voix qui se soient élevées contre les dernières limitations de nos libertés. Ce n’est pas bon signe.

Quand une partie de l’opposition d’Emmanuel Macron critique un pouvoir trop « monarchique », dévoie-t-on ce terme, selon vous ?
Ce n’est pas une présidence monarchique du tout ! Il s’agit plutôt d’une dérive oligarchique du pouvoir, où ce sont quelques-uns qui s’accaparent le pouvoir. La monarchie était bien plus souple. Il y a eu une monarchie relative qui s’est appuyée sur une décentralisation forte et bien vue. Il y a eu une monarchie plus centralisée avec notamment avec les Bourbons. Mais ça toujours été « le prince en ses conseils, et le peuple en ses états ».

« Dès qu’une voix s’élève, elle est mise à l’index »

Ce quinquennat a été entaché par de nombreuses crises sociales, sanitaires, politiques. Comment peut-on retrouver un lien de confiance entre les citoyens et les dirigeants ?
C’est la conséquence de cette dérive oligarchique. Il y a des conflits d’intérêts de certains ministres, des intérêts économiques qui priment sur l’intérêt sanitaire, sur la question des vaccins par exemple. Dès qu’une voix s’élève pour mettre ces pratiques à jour, elle est mise à l’index. Il y a aussi cette « woke culture », où l’on juge une figure historique ou un personnage politique sans réflexion de fond et où on le met à la vindicte des réseaux sociaux ; ce n’est pas bon. Nous devons réinventer un modèle, qui prenne le contre-pied de ces habitudes où les puissants prennent le pouvoir à travers l’argent, les médias et la politique. Si on évoque la pandémie, il n’y a pas vraiment eu de débat, même à l’Assemblée, à part avec quelques députés comme Jean-Luc Mélenchon qui ont porté la contradiction. A l’échelle internationale, on a vu la pression des entreprises pharmaceutiques, les accords financiers qui se sont fait au détriment des précautions à prendre comme ce qui se faisait jusque là pour n’importe quel vaccin ou médicament mis sur le marché. Les contre-indications, la capacité de pouvoir se retourner contre les fabricants ont été laissés de côté. Et dès que quelqu’un s’est interrogé, on l’a « flingué ». Il faut remettre un climat de confiance, ce qu’un président ne peut pas faire en cinq ans.

Comprenez-vous cette défiance qui empêche une partie des Français d’aller se faire vacciner ?
Dans une société, il est difficile de faire adhérer tout le monde. La vaccination n’étant pas obligatoire, il faut comprendre que certains ne veuillent pas se faire vacciner. Que les gens le fassent parce que ils y trouvent un avantage, c’est normal, mais qu’on les contraigne dans leurs activités quotidiennes de la façon dont on l’a fait, ce n’est plus vraiment démocratique. La contrainte n’a jamais apporté quoi que ce soit ! Pour revenir au débat entre pro et anti, nous ne sommes plus dans la science mais dans l’idéologie. Il y a des vaccins qui fonctionnent, d’autres non, d’autres à un certain moment seulement. On a aujourd’hui l’impression d’une France devenue un hôpital géant. Bientôt on se promènera en scaphandre. Nous avons besoin des contacts ; nous avons besoin de ça pour vivre !

Cette peur absolue du risque, de la mort dans la société vous inquiète-t-elle ?
La vie est un risque. On prend des risques tous les jours, en traversant la rue, en mettant ses enfants dans une école, en choisissant un travail. La vie c’est la prise de risque permanente. Il y a un certain nombre de choses qui doivent être encadrées, bien sûr, mais sans prise de risque, c’est une triste vie. Le but de l’encadrement, c’est finalement d’aider les plus humbles et les plus faibles à y arriver et non pas de vouloir tout contrôler.

« Lorsque l’on est président, on ne peut pas traiter les Français comme il le fait »

Lorsque ces mesures sanitaires seront abrogées, dans quel état retrouvera-t-on notre pays ? Comment recréer le lien social entre les Français ?
Les mesures prises a cassé le lien social. On aimait bien se retrouver autour d’un café pour refaire le monde. Le mouvement des Gilets jaunes, qui à révélé toute une frange de la population laissée pour compte, a fait peur à une classe dirigeante repliée sur elle-même, attachée à l’argent, au pouvoir et autres passions. Cette classe ne veut plus que ça se reproduise, par peur de perdre ses pouvoirs. Ca peut se traduire dans la façon dire, dans la parole. Celle du président de la République a malheureusement suivi cette tendance. Lorsque l’on est président, on ne peut pas traiter les Français de cette façon. Le lien social a été abimé, il faut le restaurer en nous libérant de toutes les contraintes « liberticides » qui nous empêchent d’avancer.

Vous évoquez le « repli sur soi », fréquemment utilisé par la gauche pour dénoncer la question identitaire. Comprenez-vous cette inquiétude de voir notre identité en péril ?
Il y a, c’est vrai, une crise d’identité qui est liée à une verticalité qui disparaît, une société liquide dont les fondements sont ébranlés. On parle des valeurs de la République sans être capable de parler du corpus qui les détermine. On devrait pouvoir s’appuyer sur la liberté, la justice, la façon dont on traite les plus démunis. Nous avons une histoire et un patrimoine extraordinaire à redécouvrir. Nous devons retrouver notre ADN. Nous nous rattachons à un certain nombre de choses dont nous sommes sûr : la famille et les amis, le travail. En fait, loin du repli sur soi, des liens sociaux se mettent en place grâce au cumul d’énergies, de bonnes volontés, et de savoir-faire. Voilà ce qu’il faut développer dans le domaine politique, économique et social. L’identité et le destin sont les composantes d’une même dynamique qu’il faut retrouver.  ■

Nicolas Boutin

Suivez les messages et activités du Prince sur son Site officiel. (Lien ci-dessus)

 

 

 

 

Categories France, Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France, République ou Royauté ?
Post navigation
L’Ukraine ou le peuple protéiforme (1)
Pour rire. « Vous avez 2 vaches ». Encore ! Deux vaches lucides en matière de politiciens

1 commentaire pour “Le prince Jean, Comte de Paris, à Valeurs actuelles : « Il y a une dérive oligarchique du pouvoir »”

  1. thizy
    mercredi 2 mars 2022 at 9 h 17 min | Répondre

    bonjour
    a lire,,
    .article tres bien,,

    reflete la realite

    cordialement

    thizy gilbert

Laisser un commentaire Annuler la réponse

L'association Je Suis Français est la seule destinataire de vos données personnelles qui ne sont en aucun cas transmises à des tiers sous quelque forme que ce soit.

Archives

Notre marque

Peinture par un jeune artiste Prix de Rome, offerte à l’U.R.P. pour le 7e centenaire de la mort de Saint-Louis [1970] © U.R.P. [Peut être reprise sur autorisation écrite.]

Prince Jean : « Le rôle politique, je l’ai »

« Le rôle politique, je l’ai sans avoir besoin d’être élu. C’est tout à fait dans le rôle d’un prince de pouvoir sortir un peu de cet échange partisan et de s’intéresser au bien commun, à l’intérêt général de la Cité. »

_____________________________________

Direction de Je Suis Français
Yves Boulon – Sylvie Gaud-Hueber – Jean Gugliotta – Jean-Louis Hueber – Paul Léonetti – Gérard Pol.         
_____________________________________

Ce quotidien a un coût. Son audience un prix. Aidez-nous ! Faites un don ! À partir de 5 €. Merci !

Faire un don ? Le plus simple, c’est PayPal. Dons en ligne – en toute sécurité. Utiliser le bouton PayPal ci-dessous

Sinon, par chèque. Ordre : Je Suis Français – Adresse postale : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE

__________________________________

Rubriques Chroniqueurs

POLITIQUE
. Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade. Contribution â l’expression de notre ligne politique [France & Étranger].
. En deux mots, par Gérard Pol. Réflexion sur l’actualité française et internationale.
. Idées et débats par Pierre de Meuse.
. Les chroniques moyen-orientales d’Antoine de Lacoste,
. Les analyses économiques de plusieurs spécialistes.
. Dans la presse et Sur la toile. Des réactions courtes aux articles, vidéos, audios, les plus marquants.
. Les GRANDS TEXTES politiques.
CULTURE
. Péroncel-Hugoz : Journal du Maroc et d’ailleurs [Inédit]. Autres contributions : Histoire, géographie, lectures et reportages.
. Les études de Rémi Hugues ; Histoire, sociologie politique, philo et actualité. Des séries originales et documentées.
. Patrimoine cinématographique et autres sujets  : les chroniques dominicales de Pierre Builly 
. Les éphémérides.
ANNONCES DES PRINCIPALES ACTIVITÉS
du monde royaliste. Presse et revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc.
COMTE DE PARIS – FAMILLE DE FRANCE
. Messages, tribunes, activités, du Prince Jean, Comte de Paris. Les événements de la Famille de France. Et complément : les récits et choses vues de Francesca.
__________________________________

L’Histoire de France  jour après jour. Personnages célèbres, écrivains, savants, artistes, religieux, chefs militaires. Événements majeurs. Œuvres d’art, monuments et sites d’un héritage exceptionnel : le nôtre.

     _____________________________

CLIQUEZ SUR LES IMAGES    

14 JUIN – MIDI BLANC – QU’ON SE LE DISE !

_________________________________

Se renseigner – S’abonner

____________

S’abonner sur le site de Politique magazine : 

____________________________ 

Les principales activités royalistes annoncées ici. Revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc. Image : © GAR


(Sur le site de l’Action Française)
_________________________________ 

Le site géostratégique d’Antone de Lacoste _________________________________ 

Fédération Royaliste Provençale
Fédération régionale de l’Action Française

BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE. Messagerie : urp@outlook.fr

(ATENTION : l’adresse 48 rue Sainte-Victoire, 13006 MARSEILLE, est supprimée). 
_______________________________ 

Livres à la une

Le dernier ouvrage de Jean-Paul Brighelli, – agrégé de Lettres, qui a enseigné pendant 45 ans :  « La fabrique du crétin – Vers l’apocalypse scolaire« , le tome 2 de son succès d’édition, déjà vendu à 150 000 exemplaires. Cliquez sur l’image.

_________

L’Action française est aujourd’hui le plus ancien et, dans sa continuelle vitalité, le plus constamment jeune des mouvements politiques, toutes tendances confondues. Elle se renouvelle à chaque génération, dans la permanence, sans cesse ravivée et adaptée, d’une doctrine, d’une vision, d’une action. Cliquez sur l’image.
__________________________________

JSF recommande à ses lecteurs d’adhérer à l’Action Française

Chers lcteurs, il ne suffit pas de nous lire. Si vous le souhaitez, si vous le pouvez, nous vous recommandons d’adhérer à l’Action Française, pour soutenir, renforcer, participer au mouvement royaliste. L’année commence, c’est le moment ! Cliquez sur l’image !   JSF
__________________________________

Bernard Lugan : Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentancePrésentation – Table des matières – Commandes  [CLIQUER]

__________________________________

Livres recommandés…

Pierre de Meuse. Derniers ouvrages parus

 

 

 

 

 

Idées et doctrines de la Contre-Révolution, préface de Philippe Conrad.  DMM – 2019.
Le dogme de l’antiracisme, origine, développement et conséquences, préface de Bernard Lugan,  DMM – 2024.
Informations – Achats : Cliquez sur les images.
Annie Laurent : L’Islam. Pour s’informer sérieusement …

Pour en savoir plus sur cette indispensable étude, pour commander : ICI

__________________________________


Envois postaux : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE 
Courriel : contact@jesuisfrancais.blog

Librairie de Flore

Cliquez sur l’image pour accéder aux produits de la Librairie de Flore ! Livres, revues, boutique …

L’incontournable ouvrage de Charles Maurras enfin disponible. 15,00€, 515 pages. En stock.

Lettre de JSF : S’abonner, c’est utile et c’est gratuit !




Service quotidien gratuit, déjà assuré le matin pour les milliers de lecteurs inscrits. Si ce n’est pas encore votre cas, inscrivez-vous dès maintenant pour recevoir la lettre de JSF au plus vite et régulièrement. Inscription simple ci-dessous.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique de confidentialité.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Comte de Paris : Retour de l’idée monarchique

https://www.youtube.com/watch?v=qBH3MOjOha4

. Comte de Paris, Site Officiel
. Comte de Paris, Page Facebook 
. Politique Magazine & Revue Universelle
. Maurras.net
. Action Française – Le bien commun

                                    
Je Suis Français (JSF) est aussi sur Twitter/X
                 
Page associée

Commentaires récents

  • mardi 20 Mai 15:36
    Di Guardia sur On pourrait redire comme Philippe Myer,…
    “Au fond, ça nous ramène aux sociétés de subsistance ou de pénurie où les vieux ne…”
  • mardi 20 Mai 11:26
    Henri sur Patrimoine cinématographique • Le nom de…
    “et dans l’agriculture!”
  • mardi 20 Mai 11:25
    Henri sur Patrimoine cinématographique • Le nom de…
    “La tradition, bien comprise, est porteuse de progrès, je parle du progrès scientifique , dans les…”
  • mardi 20 Mai 11:11
    Anne sur Patrimoine cinématographique • Le nom de…
    “Ah ça oui. Le Moyen-Âge énorme et délicat d’Hugo et Verlaine. Je crois que sous des…”
  • mardi 20 Mai 10:39
    Pierre Builly sur Patrimoine cinématographique • Le nom de…
    “Bon ! Voilà un joli programme pour une campagne de l’AF : retour au Moyen-Âge…”
  • mardi 20 Mai 09:12
    Euzennat de Coux sur Hurawa wa shaba
    “Il faut changer de regime”
  • mardi 20 Mai 08:50
    David Gattegno sur Patrimoine cinématographique • Le nom de…
    “Libertinez, libertinez !… Libertinez autant que vous voudrez, agnostiques ventrus, il ne fait qu’en rester vaguement…”
  • lundi 19 Mai 22:23
    Pierre Builly sur Patrimoine cinématographique • Le nom de…
    “Vous êtes trop forts ou trop incompréhensibles pour moi, les gars er j’abandonne. J’aime profondément le…”
  • lundi 19 Mai 14:27
    E. Raulot sur Patrimoine cinématographique • Le nom de…
    “Dans le fond, est-ce que David Gattegno juge du film ? Sauf si je n’ai rien…”
  • lundi 19 Mai 12:40
    Jean de Maistre sur « La loi sur l’aide à…
    “Euthanasie, les nazis l’ont fait, les députés de la république prennent le relais. Oublié le commandement…”
  • lundi 19 Mai 12:27
    Richard sur Patrimoine cinématographique • Le nom de…
    “Ainsi, il faudrait se défier de toute les romans écrits , disons, après le milieu du…”
  • lundi 19 Mai 09:03
    David Gattegno sur Patrimoine cinématographique • Le nom de…
    “Au risque – une fois de plus – de me montrer plus hérétique en modernité qu’il…”

EXPLOREZ LES TRÉSORS DE NOTRE HISTOIRE

EXPLOREZ LES TRÉSORS DU CINÉMA…

____________________________________

Une collection de vidéos dont un grand nombre exclusives réalisées par l’Union Royaliste Provençale. © URP/JSF – Reproduction autorisée à condition de citer la source.

Chaîne YouTube Je Suis Français. Pour une plus large audience.  (Création récente)

_____________________________________

Péroncel-Hugoz dans JSF

Retrouvez ici..

Et aussi…

_______________________________

Appel aux lecteurs de Je Suis Français : Pour la sauvegarde du patrimoine matériel de l’Action Française !

Participez à l’opération nationale de sauvegarde du patrimoine historique de l’Action Française, lancée par le Secrétariat Général du Mouvement. Tous documents ou objets divers nous intéressent : photos, films, livres, journaux, correspondance, insignes, drapeaux etc. Ecrire à Michel Franceschetti : chetti133@sfr.fr .   

PEUT-ON SORTIR DE LA CRISE ? Une étude intégrale de Pierre Debray dans JSF

Une contribution magistrale à la réflexion historique, économique, sociale, politique et stratégique de l’école d’Action Française. Étude intégrale à la disposition des lecteurs de JSF, notamment étudiants, chercheurs et passionnés d’histoire et de science économiques.  ENTRÉE

Les créations de JSF : Séries, dossiers, études

 

Etudes, séries, dossiers regroupés pour être en permanence disponibles et directement consultables   © JSF – Peut être repris à condition de citer la source Pour y accéder, cliquez sur l’image.

A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.

Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

* Frais de port inclus

  • Contact
  • Mentions Légales
  • Politique de Confidentialité
Je Suis Français © 2019 Tous droits réservés.

Site réalisé par Eva Giraud Web
Retour en haut de page