Aller au contenu

JE SUIS FRANÇAIS

Le quotidien royaliste sur la toile

Search
  • Accueil
  • Politique
    • France
    • Europe
    • Monde
    • Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade
    • En deux mots, réflexion sur l’actualité
    • Défense nationale
    • Social, economie…
    • Chiffres en vrac sur la France actuelle
    • Grain de sel … actualité
  • Comte de Paris
    • Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France
  • Annonces
    • Activités, Presse, Mouvement
    • Annonces à propos de JSF
  • Société
    • Immigration – Insécurité – Anti racisme
    • Education
    • Justice
    • Patrimoine, Racines, Traditions
    • Politique et Religion
    • Humour
  • Vidéo-Audio
    • Vidéos
    • Audios
  • Idées-Culture
    • GRANDS TEXTES
    • Idées, Histoire, Culture & Civilisation
    • Patrimoine cinématographique [P. Builly]
    • Ephémérides
    • Visuels
    • Nos lecteurs ont la parole…
    • Aux nouveaux lecteurs qui nous découvrent…
    • Journal d’un royaliste français au Maroc
  • République ou Royauté
    • République ou Royauté ?
    • Révolution – Terrorisme – Totalitarisme
  • Dossiers
    • Lire Jacques Bainville
    • Bainville : Journal année 14
    • Pierre Debray – Une politique pour l’an 2000
    • Pierre Debray – Maurras et le Fascisme
    • L’Action française dans la Grande Guerre
    • Mai 68
  • RechercheRecherche

Les aventures d’une bourgeoise de Paris, roman-feuilleton de votre été

samedi 29 juillet 2023samedi 29 juillet 2023 sur Rémi Hugues

Las ! la mer avait été peu clémente au pauvre Gaucher : il restituait sans cesse, même lorsqu’il n’avait rien pris, cela au plus grand dol du costume mi-monacal, mi-guerrier, taillé en plein feutre et que sa sœur avait voulu lui confectionner de ses mains, pieusement secondée en ce travail par les Conguerlines de la paroisse.

Du jour où le fidèle valet avait appris le dessein de la Dame, nulle doutance n ’exista dans son esprit ; il devait partir avec elle, sans en avoir la moindre envie, car il disait :

— Je redoute quasiment, l’eau à l’égal du feu, et aimerais presque autant suivre madame Mahault en enfer.

Sa sœur Hermance le reprit de ce discours, mais elle était si fière de voir en celui dont le salut lui avait inspiré moult inquiétudes, un futur soldat de la Foi, qu’elle voulut l’équiper à ses frais, aidée eu cela par ses benoîtes amies, les filles de la. Congrégation. Elles commandèrent au taillandier les pièces de fer du harnois et confectionnèrent le reste de l’habillement ; trois images y furent brodées : une de saint Lazare qui préserve du mal du ladre, une de sainte Barbe, qui garde de l’orage, une de saint Benoist pour éviter les mauvaises pensées. Cette cotte, moitié cuir, moitié feutre, était si large qu’on se demandait quelle place y pourrait tenir le corps maigre du guerrier. Lorsque, pour la première fois, il se présenta ainsi aux yeux de sa suzeraine, la veille même du départ, gardant sous son casque en forme de melon un air piteux, contrastant avec la vaillante colichernarde qui lui battait, aux mollets, Mahault, d’humeur peu folâtre à son ordinaire, et occupée pourtant de choses graves avec ses conseillers intimes, éclata de rire.

— Comme te voilà, cossu, mon Gaucher ! s’exclama Dom Pierre ; la Congrégation n’a pas ménagé l’étoffe.

— Saprejeu. cousine, il me vient une idée, dit sire Roger. Puis il s’entretint à voix basse avec ses compagnons qui, malgré la gravité de l’heure, riaient à se tenir les côtes ; et quand Mahault eut repris ses esprits :

— Viens là, mon écuyer : cette cotte a besoin d’une doublure, confie-la moi pour une nuit : je veux te la rembourrer de telle façon que nul homme de guerre ne puisse se vanter d’en avoir une semblable.

Cette nuit-là, Mahault et Jehanne s’escrimèrent si bellement que le lendemain, du hausse-col aux cuissards, Gaucher fut embourré de telle sorte qu’il prit l’envergure d’un chevalier de belle mine.

Sire Roger lui-même voulut aider Gaucher à revêtir sa tenue, et ainsi accommodé on le fit à nouveau comparaître dans la grand’salle. Cette fois, nul n’avait plus envie de rire.

— Mon frère de lait, lui dit Mahault, nous t’estimons le plus fidèle, et tu m’as toujours été précieux. Tu vas le devenir bien, davantage encore, puisque tu portes dans tes doublures la fortune de ta dame et la rançon de ton seigneur.

Le croisé malgré lui se prit en grand respect en se sentant ainsi rembourré d’étoupe et de pierreries ; mois son contentement. fut moindre lorsque messire Pierre, se levant solennel, lui dit : — Jure sur cette croix et devant nous tous ici présents que tu ne goûteras vin, hydromel ou hypocras tant que tu seras, ainsi vêtu, afin de ne point retomber dans ton vilain, péché d’ivresse !

Comment refuser, quand la croix lui était tendue par la petite main de Jehanne ? Gaucher jura ; s’avisa-t-on même de l’en remercier ? Il est de ces dévouements acquis d’avance, auxquels il est si simple d’avoir recours, qu’on, oublie d’en savoir gré, car nul ne se doute du sacrifice qu’ils ont coûté.

Il y avait six semaines que la Stella Maris voguait : un ouragan d’une grande force l’avait arrêtée entre l’abîme de Charybde et le tourbillon de Scylla, faisant croire à chacun que sa dernière heure était venue. Maintenant, sur cet mer d’Ionie, où l’azur du ciel et celui des flots avaient même transparence, le vent ne gonflait plus les voiles qui pendaient tristement le long des vergues, et l’on avançait- avec une extrême lenteur. La chaleur était étouffante dans cet ironique Château des Dames placé entre les deux maîtres-mâts — et où les passagères, ayant à peine l’espace de se mouvoir, demeuraient épuisées et sans force.

Tous avaient le plus vif désir dé se reposer en cette île de Chypre qu’ils se représentaient comme une sorte de paradis terrestre, et Mahault ressentait à la fois la hâte et l’anxiété de l’arrivée. Sa colère contre Lusignan s’était exaspérée des ennuis de ce voyage, dont à coup sûr il était la cause principale ; et, prête à toutes les audaces, elle voulait l’attendre au piège où il s’était laissé prendre, le trouver près de sa complice et, si bien gardés qu’ils fussent tous deux, s’alléger de son courroux en le leur jetant à la face.

Déjà une ligne bleuâtre se dessinait sur l’immense courbe des eaux ; le vent apportait des effluves qui sont l’haleine par fumée de cette terre fleurie, et le blanc vol des mouettes venait tourbillonner au tour des mâts ; tous les passagers étaient pris de cette hâte qui caractérise l’approche d’une escale.

Le capitaine, un Marseillais, invectivait devant Mahault cette mer d’huile qu’aucun souffle ne ridait.

— Si le vent ne se lève nous n’arriverons pas avant la nuit, bonne Dame, et j’ai de fortes raisons pour vouloir seulement toucher barre; en cette île ; aucun de mes. hommes ne voudrait en partir s’ils y séjournaient longtemps.

— Elle a donc bien des charmes, cette île-là, capitaine ?

— Ce n’est point seulement l’île, bien que toutes les richesses y abondent, mais les femmes de ce lieu ont des-ruses sans pareilles, pour nous retenir : votre coquebin de valet lui-même s’y laisserait prendre : depuis les sujettes jusqu’à la Reine, elles connaissent tels secrets d’amour qu’on n’a jamais fini de les entendre.

— Les hommes sont bien sots d’écouter si menteuse chanson, qu’ils savent fausse et perverse.

— C’est vrai, mais depuis notre père Adam elle leur plaît quand même ! il en est beaucoup, parmi les Croisés, qui dorment en cette terre pour l’avoir trop entendue. Sa souveraine a essayé de la chanter au Roy lui-même, et si celui-ci n’avait point été si saint homme, l’enchanteresse l’aurait pris aussi ; une de ses grand’mères était fée ; elle lui ressemble.

— Il y a longtemps que j’ai curiosité de voir cette femme, dont on parle tant, capitaine.

— Cela ne vous sera pas difficile : elle se fait souvent mener par ses rameurs au-devant des vaisseaux, tel l’émouchet qui fond sur bel oisel bon à plumer ; cette fois-ci, il est vrai, — et le regard de l’homme de mer se posa dédaigneusement sur ses passagers, — nous ne lui amenons rien qui soit digne d’elle.

— Mais, interrogea à nouveau la tante de Jehanne, en dissimulant mal son anxiété, quel était son favori, la dernière fois que vous la vîtes, cette Reine de malheur ?

— Un de ses cousins, disait-on, tout jeune et beau comme un marbre ; elle en était folle, et l’on prétend, qu’il ne pouvait se déprendre de ses filets.

— Je ne comprends pas qu’on se laisse retenir quand le devoir appelle ailleurs.

— Eh ! Dame, devoir ne compte guère, quand amour vous possède, puis cette île-là est trop riche : tout l’or de la Croisade y afflue, les palais y débordent de meubles précieux, ses nobles sont les mieux argentés du monde, ils ont assez volé pour cela ! Tenez, on commence à distinguer la terre : ces monticules que vous pourriez prendre pour des collines, sont des amas d’orge, achetée au compte des Croisés, mais on se gardera bien de la leur faire parvenir. Voici que le vent s’élève, je vous quitte, nous pourrons débarquer de bonne heure.

L’île se précisait peu à peu, recourbée comme une cithare, avec sa couronne de forêts, ses bosquets, dans lesquels les fleurs blanches de l’oranger se mêlaient aux rouges corolles des grenades, et où erraient autrefois les nymphes aux bras blancs. Lentement, Nicosie apparaissait, mirant dans le golfe la façade de marbre de ses palais, telle, au temps des dieux, Vénus laissait dans l’onde le reflet blond de ses cheveux. C’était son île encore, cette Cythère enchantée et ceux qui l’habitaient aujourd’hui étaient restés ses trop fidèles adorateurs.

Bien avant que la galère n’eût jeté l’ancre, elle se trouva entourée d’une flottille de petites barques dans lesquelles de belles filles, offraient, sur des plateaux de paille ces fruits d’or qu’autrefois les Hespérides gardaient si jalousement.

Bientôt les autres chaloupes s’écartèrent devant une barque qui, sous ses voiles de pourpre, voguait majestueuse comme le cygne de la déesse : sa proue recourbée se terminait par une figure de femme merveilleusement belle, mais dont le corps, formé d’écaillés brillantes, se terminait comme celui d’un reptile. Il servait de trône à une sorte d’idole dont les vêtements semblaient tissés de soleil. Le ton fauve de sa chevelure se confondait avec l’or léger du voile, et paraissait plus éclatant encore que les orfrois précieux, dont la robe était brodée. La Reine, car c’était elle, laissait glisser, sur la mer ses yeux qui en avaient le glauque reflet, et, de ces deux figures d’enchanteresses, celle sculptée dans le bois, celle figée dans la grâce de sa splendeur d’icône, on n’aurait pu dire laquelle était la plus dangereuse ! ▪ (À suivre)


Roman : LES AVENTURES D’UNE BOURGEOISE DE PARIS de Myriam Thélen (1911).

Publié dans l’Action française le 10 juin 1923.

Textes et images rassemblés par Rémi Hugues pour JSF

Categories Idées, Histoire, Culture & Civilisation, Patrimoine, Racines, Traditions
Post navigation
Pour répondre à une demande, c’est avec plaisir que nous mettons en ligne ce jour « La Blanche hermine » un chant d’origine bretonne chanté ici par le 8e Para de marine.
Patrimoine cinématographique • Le caporal épinglé

Laisser un commentaire Annuler la réponse

L'association Je Suis Français est la seule destinataire de vos données personnelles qui ne sont en aucun cas transmises à des tiers sous quelque forme que ce soit.

Archives

Notre marque

Peinture par un jeune artiste Prix de Rome, offerte à l’U.R.P. pour le 7e centenaire de la mort de Saint-Louis [1970] © U.R.P. [Peut être reprise sur autorisation écrite.]

Prince Jean : « Le rôle politique, je l’ai »

« Le rôle politique, je l’ai sans avoir besoin d’être élu. C’est tout à fait dans le rôle d’un prince de pouvoir sortir un peu de cet échange partisan et de s’intéresser au bien commun, à l’intérêt général de la Cité. »

_____________________________________

Direction de Je Suis Français
Yves Boulon – Sylvie Gaud-Hueber – Jean Gugliotta – Jean-Louis Hueber – Paul Léonetti – Gérard Pol.         
_____________________________________

Ce quotidien a un coût. Son audience un prix. Aidez-nous ! Faites un don ! À partir de 5 €. Merci !

Faire un don ? Le plus simple, c’est PayPal. Dons en ligne – en toute sécurité. Utiliser le bouton PayPal ci-dessous

Sinon, par chèque. Ordre : Je Suis Français – Adresse postale : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE

__________________________________

Rubriques Chroniqueurs

POLITIQUE
. Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade. Contribution â l’expression de notre ligne politique [France & Étranger].
. En deux mots, par Gérard Pol. Réflexion sur l’actualité française et internationale.
. Idées et débats par Pierre de Meuse.
. Les chroniques moyen-orientales d’Antoine de Lacoste,
. Les analyses économiques de plusieurs spécialistes.
. Dans la presse et Sur la toile. Des réactions courtes aux articles, vidéos, audios, les plus marquants.
. Les GRANDS TEXTES politiques.
CULTURE
. Péroncel-Hugoz : Journal du Maroc et d’ailleurs [Inédit]. Autres contributions : Histoire, géographie, lectures et reportages.
. Les études de Rémi Hugues ; Histoire, sociologie politique, philo et actualité. Des séries originales et documentées.
. Patrimoine cinématographique et autres sujets  : les chroniques dominicales de Pierre Builly 
. Les éphémérides.
ANNONCES DES PRINCIPALES ACTIVITÉS
du monde royaliste. Presse et revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc.
COMTE DE PARIS – FAMILLE DE FRANCE
. Messages, tribunes, activités, du Prince Jean, Comte de Paris. Les événements de la Famille de France. Et complément : les récits et choses vues de Francesca.
__________________________________

L’Histoire de France  jour après jour. Personnages célèbres, écrivains, savants, artistes, religieux, chefs militaires. Événements majeurs. Œuvres d’art, monuments et sites d’un héritage exceptionnel : le nôtre.

     _____________________________

CLIQUEZ SUR LES IMAGES    

14 JUIN – MIDI BLANC – QU’ON SE LE DISE !

_________________________________

Se renseigner – S’abonner

____________

S’abonner sur le site de Politique magazine : 

____________________________ 

Les principales activités royalistes annoncées ici. Revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc. Image : © GAR


(Sur le site de l’Action Française)
_________________________________ 

Le site géostratégique d’Antone de Lacoste _________________________________ 

Fédération Royaliste Provençale
Fédération régionale de l’Action Française

BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE. Messagerie : urp@outlook.fr

(ATENTION : l’adresse 48 rue Sainte-Victoire, 13006 MARSEILLE, est supprimée). 
_______________________________ 

Livres à la une

Le dernier ouvrage de Jean-Paul Brighelli, – agrégé de Lettres, qui a enseigné pendant 45 ans :  « La fabrique du crétin – Vers l’apocalypse scolaire« , le tome 2 de son succès d’édition, déjà vendu à 150 000 exemplaires. Cliquez sur l’image.

_________

L’Action française est aujourd’hui le plus ancien et, dans sa continuelle vitalité, le plus constamment jeune des mouvements politiques, toutes tendances confondues. Elle se renouvelle à chaque génération, dans la permanence, sans cesse ravivée et adaptée, d’une doctrine, d’une vision, d’une action. Cliquez sur l’image.
__________________________________

JSF recommande à ses lecteurs d’adhérer à l’Action Française

Chers lcteurs, il ne suffit pas de nous lire. Si vous le souhaitez, si vous le pouvez, nous vous recommandons d’adhérer à l’Action Française, pour soutenir, renforcer, participer au mouvement royaliste. L’année commence, c’est le moment ! Cliquez sur l’image !   JSF
__________________________________

Bernard Lugan : Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentancePrésentation – Table des matières – Commandes  [CLIQUER]

__________________________________

Livres recommandés…

Pierre de Meuse. Derniers ouvrages parus

 

 

 

 

 

Idées et doctrines de la Contre-Révolution, préface de Philippe Conrad.  DMM – 2019.
Le dogme de l’antiracisme, origine, développement et conséquences, préface de Bernard Lugan,  DMM – 2024.
Informations – Achats : Cliquez sur les images.
Annie Laurent : L’Islam. Pour s’informer sérieusement …

Pour en savoir plus sur cette indispensable étude, pour commander : ICI

__________________________________


Envois postaux : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE 
Courriel : contact@jesuisfrancais.blog

Librairie de Flore

Cliquez sur l’image pour accéder aux produits de la Librairie de Flore ! Livres, revues, boutique …

L’incontournable ouvrage de Charles Maurras enfin disponible. 15,00€, 515 pages. En stock.

Lettre de JSF : S’abonner, c’est utile et c’est gratuit !




Service quotidien gratuit, déjà assuré le matin pour les milliers de lecteurs inscrits. Si ce n’est pas encore votre cas, inscrivez-vous dès maintenant pour recevoir la lettre de JSF au plus vite et régulièrement. Inscription simple ci-dessous.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique de confidentialité.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Comte de Paris : Retour de l’idée monarchique

https://www.youtube.com/watch?v=qBH3MOjOha4

. Comte de Paris, Site Officiel
. Comte de Paris, Page Facebook 
. Politique Magazine & Revue Universelle
. Maurras.net
. Action Française – Le bien commun

                                    
Je Suis Français (JSF) est aussi sur Twitter/X
                 
Page associée

Commentaires récents

  • samedi 17 Mai 20:02
    Albane de Chenonceau sur Communiqué ▬ L’Action Française réaffirme son…
    “VOICI UNE VIDÉO D’UN MÉDECIN SPECIALISTE DES SOINS PALLIATIFS QUI S’INSURGE CONTRE LE PROJET DE LOI…”
  • samedi 17 Mai 14:10
    gilbert thizy sur Communiqué ▬ L’Action Française réaffirme son…
    “bonjour il faut bloquer le texte cordialement”
  • vendredi 16 Mai 16:34
    nicole sur Radu Portocala : Bref billet interrogatif…
    “Voir le message de macron sur Twitter, en italien https://x.com/EmmanuelMacron/status/1923067983951229136 J’ai eu l’occasion de parler pour…”
  • vendredi 16 Mai 16:23
    nicole sur Visibilité et fierté, enfin !
    “Le curé progressiste de Sèvres a refusé de diriger la messe des obsèques de mon père,…”
  • vendredi 16 Mai 14:15
    Albane de Chenonceau sur Communiqué ▬ L’Action Française réaffirme son…
    “Philippe JUVIN, Député LR, milite CONTRE le projet de  » la fin de vie  » vu…”
  • vendredi 16 Mai 12:46
    Albane de Chenonceau sur Communiqué ▬ L’Action Française réaffirme son…
    “L’Humanité réduite à du  » consommable  » tel une machine à laver qui, pour des raisons…”
  • vendredi 16 Mai 12:37
    Cincinnatus sur Ça n’est jamais que le fond…
    “Macron s’imagine qu’avec sa com il va retourner l’opinion. Ses talents de comédiens ont fait long…”
  • jeudi 15 Mai 11:32
    Marc Vergier sur VOIR ou REVOIR ▬ HILAIRE DE…
    “Superbe émission. Le format à trois voix me semble idéal. Régis de Castelnau en a récemment…”
  • jeudi 15 Mai 10:26
    Henri sur Fin de vie ? ▬ Aristide…
    “Hélas!”
  • jeudi 15 Mai 09:03
    Cincinnatus sur L’analyse de Pierre Vermeren sur un…
    “Les animaux ne se reproduisent pas dans l’insécurité . C’est la première des raisons et qui…”
  • jeudi 15 Mai 08:43
    David Gattegno sur Pape Léon XIV : Quel message…
    “Le Jean-François Colosimo de service est au service du plus grand vice intellectuel – celui de…”
  • jeudi 15 Mai 08:32
    David Gattegno sur Fin de vie ? ▬ Aristide…
    “La réalité de leur «grand cœur» brandi à bout de slogans pourrait tenir à cette terrible…”

EXPLOREZ LES TRÉSORS DE NOTRE HISTOIRE

EXPLOREZ LES TRÉSORS DU CINÉMA…

____________________________________

Une collection de vidéos dont un grand nombre exclusives réalisées par l’Union Royaliste Provençale. © URP/JSF – Reproduction autorisée à condition de citer la source.

Chaîne YouTube Je Suis Français. Pour une plus large audience.  (Création récente)

_____________________________________

Péroncel-Hugoz dans JSF

Retrouvez ici..

Et aussi…

_______________________________

Appel aux lecteurs de Je Suis Français : Pour la sauvegarde du patrimoine matériel de l’Action Française !

Participez à l’opération nationale de sauvegarde du patrimoine historique de l’Action Française, lancée par le Secrétariat Général du Mouvement. Tous documents ou objets divers nous intéressent : photos, films, livres, journaux, correspondance, insignes, drapeaux etc. Ecrire à Michel Franceschetti : chetti133@sfr.fr .   

PEUT-ON SORTIR DE LA CRISE ? Une étude intégrale de Pierre Debray dans JSF

Une contribution magistrale à la réflexion historique, économique, sociale, politique et stratégique de l’école d’Action Française. Étude intégrale à la disposition des lecteurs de JSF, notamment étudiants, chercheurs et passionnés d’histoire et de science économiques.  ENTRÉE

Les créations de JSF : Séries, dossiers, études

 

Etudes, séries, dossiers regroupés pour être en permanence disponibles et directement consultables   © JSF – Peut être repris à condition de citer la source Pour y accéder, cliquez sur l’image.

A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.

Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

* Frais de port inclus

  • Contact
  • Mentions Légales
  • Politique de Confidentialité
Je Suis Français © 2019 Tous droits réservés.

Site réalisé par Eva Giraud Web
Retour en haut de page