Aller au contenu

JE SUIS FRANÇAIS

Le quotidien royaliste sur la toile

Search
  • Accueil
  • Politique
    • France
    • Europe
    • Monde
    • Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade
    • En deux mots, réflexion sur l’actualité
    • Défense nationale
    • Social, economie…
    • Chiffres en vrac sur la France actuelle
    • Grain de sel … actualité
  • Comte de Paris
    • Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France
  • Annonces
    • Activités, Presse, Mouvement
    • Annonces à propos de JSF
  • Société
    • Immigration – Insécurité – Anti racisme
    • Education
    • Justice
    • Patrimoine, Racines, Traditions
    • Politique et Religion
    • Humour
  • Vidéo-Audio
    • Vidéos
    • Audios
  • Idées-Culture
    • GRANDS TEXTES
    • Idées, Histoire, Culture & Civilisation
    • Patrimoine cinématographique [P. Builly]
    • Ephémérides
    • Visuels
    • Nos lecteurs ont la parole…
    • Aux nouveaux lecteurs qui nous découvrent…
    • Journal d’un royaliste français au Maroc
  • République ou Royauté
    • République ou Royauté ?
    • Révolution – Terrorisme – Totalitarisme
  • Dossiers
    • Lire Jacques Bainville
    • Bainville : Journal année 14
    • Pierre Debray – Une politique pour l’an 2000
    • Pierre Debray – Maurras et le Fascisme
    • L’Action française dans la Grande Guerre
    • Mai 68
  • RechercheRecherche

« Ce que la Corse dit de la France » : analyse d’Éric Zemmour

jeudi 10 juin 2021jeudi 10 juin 2021 sur JSF

Cet article paru dans la livraison du Figaro de ce matin peut, comme on dit aujourd’hui, faire débat. Même entre nous où sur ce sujet, on le sait, il y a des sensibilités et des analyses parfois divergentes. À travers le dossier corse, toujours brûlant, toujours à vif, Zemmour met ici en évidence les maux qui menacent pas seulement l’unité ou la cohésion mais, existentiellement, la survie de notre société, de la nation française elle-même. Et la naissance, le développement de ces maux sont imputables au Régime en place, en fait à la République elle-même, sous sa forme française postrévolutionnaire. Ainsi, dans sa présentation, Le Figaro écrit : « Paul-François Paoli – puisqu’il s’agit ici de son nouveau livre – nous offre une analyse fine et courageuse du malaise identitaire français dans le miroir que lui tend une Corse de plus en plus rétive et distante. » Par-delà la question corse, c’est donc le malaise identitaire français lui-même qui est aussi – voire surtout – le sujet de cet article d’Éric Zemmour, dont, en général, on le sait bien, l’esprit est plutôt jacobin.     

« Elle te plaît, ma sœur ? Comment, elle ne te plaît pas ma sœur ? »

Tous les lecteurs d’Astérix en Corse connaissent cette réplique culte et bien d’autres hilarantes.

À cette époque bénie, les querelles identitaires se noyaient dans un bain de rigolade. On les réglait à coups de bons mots et non à coups de machette ou de couteau. L’identité française ne se discutait pas, et se déployait en mille nuances locales, à la fois chéries et brocardées. «Le pays des deux cent cinquante-huit sortes de fromages» cher au général de Gaulle ne craignait pourtant aucun séparatisme ; «la République une et indivisible» était partout chez elle, aimée et respectée. Ce temps béni nous paraît si lointain qu’on a oublié que c’était l’enfance de beaucoup d’entre nous. Paul-François Paoli, lui, ne l’a pas oublié: «J’ai longtemps cru que j’étais français. Je sais maintenant que je suis corse», ouvre son ouvrage. Le texte est bref, mais l’ambition est vaste: que nous est-il arrivé? s’interroge notre ami que les lecteurs du Figaro littéraire connaissent et apprécient pour ses chroniques historiques.

«Jamais avant les années 1970 Je n’ai entendu un Corse me dire qu’il n’était pas français. Cette négation est devenue banale dans l’île et ne se limite pas aux indépendantistes», continue-t-il, dans son effort d’introspection. Ce n’est pas le premier livre que Paoli écrit aux sources du malaise identitaire français. Mais c’est le plus personnel, puisqu’il part de son exemple, son histoire, sa spécificité de Corse.

Paoli n’est pas un indépendantiste corse ; il en montre au contraire les contradictions, voire les ridicules, même s’il leur sait gré d’avoir empêché «la baléarisation» de l’île de Beauté. Il reprend la vieille distinction faite par la philosophie allemande entre Civilisation et Culture, pour différencier la civilisation française (et italienne) et la culture corse. Mais il n’est pas non plus le jacobin – qu’il fut naguère, nous dit-il – qui veut araser toutes les différences. Paoli nous décrit un système de vases communicants: il est de plus en plus corse au fur et à mesure qu’il est de moins en moins français.

Ce n’est pas lui qui est en cause, mais la France, et le discours dominant de nos élites qui réduisent l’identité française à une République universelle reposant sur des valeurs. Cette abstraction de l’identité française tue l’identité française. Un être humain a besoin de chair autant que d’esprit. La France, c’est une terre et un peuple, des mœurs et une langue, le fameux «peuple de race blanche, de culture gréco-romaine et de religion chrétienne», cher au général de Gaulle. Si la France – en tout cas ses élites autoproclamées – ne veulent plus l’être, les «petites patries» combleront ce manque symbolique. Cela vaut pour la Corse, mais aussi pour la Bretagne, et d’autres régions qui refusent d’être embarquées dans le maelstrom mondialiste et multiculturaliste.

Contrairement à beaucoup d’analystes pusillanimes, Paoli ne refuse pas de voir l’éléphant dans la pièce: l’islam. C’est évidemment l’islamisation – par les mœurs, les vêtements, les prénoms, les boutiques, le halal, les mosquées, les comportements mêmes, la violence aussi d’une partie de sa jeunesse – de l’espace public français qui est la cause première – et principale – du malaise identitaire français. C’est particulièrement vrai en Corse, où l’histoire millénaire de l’île se polarise autour de sa romanisation et de sa christianisation, et de son conflit séculaire avec le monde arabo-islamique, toujours trop proche, toujours trop menaçant. Paoli, avec un beau courage et une réelle finesse d’analyse, ose des distinguos qui n’ont plus cours: on peut être xénophobe mais pas raciste, les deux concepts n’ont rien à voir ; c’est la « réputation de xénophobie des Corses (qui) les protège de la submersion migratoire ».

Paoli passe en revue l’histoire d’une francisation des Corses, et non une colonisation de la Corse, comme le prétendent les indépendantistes, qui atteint son acmé avec les deux Napoléon, leurs Empires successifs, et la place dominante que les Corses vont y prendre. Les Corses sont avant tout des Romains ; ils sont français quand la France est grande et sûre d’elle-même ; ils redeviennent corses, quand la France s’abandonne à une faiblesse coupable. En fait, Paoli et les Corses posent à la France la question existentielle: « Êtes-vous encore une nation ? Ou un agglomérat de peuples disparates ? Être corse c’est être français tout en l’étant autrement que ceux qui, en France, ont renoncé à toute forme d’enracinement.» Et de nous prévenir loyalement: « Des régions françaises prendront leur indépendance si la France ne parvient pas à juguler le séparatisme islamiste. »

Longtemps, les Corses se sont inspirés de la France: ses mœurs, sa culture, sa langue, sa modernité, ses Lumières, son universalisme, son impérialisme émancipateur. Aujourd’hui, nous devons, nous, Français, nous inspirer des Corses: leur fierté d’eux-mêmes, leur solidarité clanique, leur enracinement, leur amour de leur terre et de leurs paysages et de leur histoire, leur susceptibilité, leur défense farouche de leurs traditions, leur hantise de petit peuple menacé par la submersion migratoire, et je dirais même leur xénophobie, car comme nous l’a expliqué le grand Lévi-Strauss, apôtre de l’antiracisme, un peu de xénophobie permet de sauvegarder sa culture, qui est une richesse pour l’univers tout entier. Si les Corses se sont longtemps inspirés du modernisme français, les Français doivent désormais s’inspirer de l’archaïsme corse. Paoli nous rappelle très pertinemment que «la dignité humaine, selon Hannah Arendt, a à voir avec une certaine inadéquation de l’homme à l’histoire. L’homme ne peut s’adapter à tout. La liberté n’est pas la flexibilité, elle est même tout l’inverse.» Alors, cessons de nous adapter, ne soyons plus flexibles. Chérissons notre part enfouie d’archaïsme et de rigidité.

Redevenons tous des Corses français !■

Éric Zemmour

 

 

« France-Corse, je t’aime, moi non plus ». Paul-François Paoli. éd. de l’observatoire. 149 p. 15 €. éditions de l’Observatoire

 

 

Categories France, Immigration - Insécurité - Anti racisme
Post navigation
Le Bien commun et Politique magazine de juin sont parus. Se renseigner, s’abonner ? L’annonce de JSF restera en l’état (colonne de gauche) jusqu’aux futurs numéros
Philippe de Villiers : « McFly et Carlito, les pitreries d’État d’Emmanuel Macron »

4 commentaires pour “« Ce que la Corse dit de la France » : analyse d’Éric Zemmour”

  1. MICHEL MICHEL
    jeudi 10 juin 2021 at 11 h 02 min | Répondre

    Qu’on cesse de nous parler de « la république une et indivisible » après l’abandon des trois départements d’Algérie…

  2. Pierre Builly
    jeudi 10 juin 2021 at 12 h 30 min | Répondre

    Michel, tu me déçois en parlant d’une impossible (et même absurde) Algérie « française » ; Sévillia a tout dit là-dessus.

    Pour la Corse, je suis plus modéré : bien que, en résidant là-bas je ne me sois jamais senti en France, je crois que si notre pays avait su tenir son rang, l’indépendantisme n’aurait eu aucune chance que de demeurer une infime minorité rêveuse.

    Mais je songe beaucoup à notre ami Christian Mondoloni, ex-militant exemplaire de l’URP qui a suivi tant et tant le chemin de la déception qu’il a de fait, il y a maintenant longtemps, rejoint les séparatistes…

  3. MICHEL MICHEL
    vendredi 11 juin 2021 at 8 h 42 min | Répondre

    Cher Pierre,
    Dans l’Histoire, il y a eu des formes sociales et politiqués variées. Les Rois ont créé le Nation française ; mais il y a d’autres formes comme la Cité, la Tribu et l’Empire.
    Ce n’est pas les royalistes qui ont voulu un Empire français par la colonisation, mais les caciques de la 3e république.
    Mais l’Empire dès lors qu’il existait devait être défendu. Comme la Pax Romana l’Empire français pouvait être et était une réalité bienfaisante.
    L’Angleterre nous a limité le développement de cet Empire, puis l’émergence de la superpuissance américaine et de l’URSS l’a contrecarré. L’Etat de Napoléon III, puis l’incohérence et la faiblesse des républiques ont accumulé les défaites.
    Il est donc dans l’ordre des choses que nous ayons perdu notre Empire, comme nous avons perdu notre marche à la rive gauche du Rhin. Nous n’avons même pas l’influence du commonwealth britannique.
    Mais avec un autre gouvernement, la carte de « l’Empire français » était une carte qui pouvait être jouée et nous devons honorer ceux qui se sont battus pour maintenir cet Empire.

  4. Pierre Builly
    vendredi 11 juin 2021 at 12 h 02 min | Répondre

    Il serait trop long, Michel, de réfléchir « à ce qui aurait pu être » et n’a pas été, pour cent raisons différentes, en premier lieu, j’en conviens la suite catastrophique de nos gouvernements.

    On peut toujours pratiquer ce qu’en science-fiction on appelle « l’uchronie » (du style « Louis XVI parvient à dépasser Varennes et rejoint les armées loyales » et penser que si ceci ou si cela les choses auraient pu être différentes.

    Mais autant je pense avec oi que nos Rois auraient pu installer la France sur toute la rive gauche du Rhin, autant je conçois mal comment nous aurions pu conserver (et pour qu’en faire ?) l’Oubangui-Chari ou la Haute-Volta. Même les colonies de peuplement – qui ont souvent éliminé les peuples autochtones -sont vouées à disparaître et à se dissocier des métropoles : ainsi l’Espagne n’a pas gardé l’Amérique du Sud, le Portugal le Brésil… et les Anglais les États-Unis.

    « les colonies sont faites pour être perdues » dit Montherlant (dans, je crois « Le maître de Santiago »). C’est tout. Ceux qui ont lutté pour l’utopie du maintien ont droit à notre considération, voire à notre admiration, mais pas à de la considération pour leur tête politique.

    Je préfèrerai toujours Louis XI « L’Universelle aragne » à François Ier « Le Roi chevalier ».

Laisser un commentaire Annuler la réponse

L'association Je Suis Français est la seule destinataire de vos données personnelles qui ne sont en aucun cas transmises à des tiers sous quelque forme que ce soit.

Archives

Notre marque

Peinture par un jeune artiste Prix de Rome, offerte à l’U.R.P. pour le 7e centenaire de la mort de Saint-Louis [1970] © U.R.P. [Peut être reprise sur autorisation écrite.]

Prince Jean : « Le rôle politique, je l’ai »

« Le rôle politique, je l’ai sans avoir besoin d’être élu. C’est tout à fait dans le rôle d’un prince de pouvoir sortir un peu de cet échange partisan et de s’intéresser au bien commun, à l’intérêt général de la Cité. »

_____________________________________

Direction de Je Suis Français
Yves Boulon – Sylvie Gaud-Hueber – Jean Gugliotta – Jean-Louis Hueber – Paul Léonetti – Gérard Pol.         
_____________________________________

Ce quotidien a un coût. Son audience un prix. Aidez-nous ! Faites un don ! À partir de 5 €. Merci !

Faire un don ? Le plus simple, c’est PayPal. Dons en ligne – en toute sécurité. Utiliser le bouton PayPal ci-dessous

Sinon, par chèque. Ordre : Je Suis Français – Adresse postale : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE

__________________________________

Rubriques Chroniqueurs

POLITIQUE
. Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade. Contribution â l’expression de notre ligne politique [France & Étranger].
. En deux mots, par Gérard Pol. Réflexion sur l’actualité française et internationale.
. Idées et débats par Pierre de Meuse.
. Les chroniques moyen-orientales d’Antoine de Lacoste,
. Les analyses économiques de plusieurs spécialistes.
. Dans la presse et Sur la toile. Des réactions courtes aux articles, vidéos, audios, les plus marquants.
. Les GRANDS TEXTES politiques.
CULTURE
. Péroncel-Hugoz : Journal du Maroc et d’ailleurs [Inédit]. Autres contributions : Histoire, géographie, lectures et reportages.
. Les études de Rémi Hugues ; Histoire, sociologie politique, philo et actualité. Des séries originales et documentées.
. Patrimoine cinématographique et autres sujets  : les chroniques dominicales de Pierre Builly 
. Les éphémérides.
ANNONCES DES PRINCIPALES ACTIVITÉS
du monde royaliste. Presse et revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc.
COMTE DE PARIS – FAMILLE DE FRANCE
. Messages, tribunes, activités, du Prince Jean, Comte de Paris. Les événements de la Famille de France. Et complément : les récits et choses vues de Francesca.
__________________________________

L’Histoire de France  jour après jour. Personnages célèbres, écrivains, savants, artistes, religieux, chefs militaires. Événements majeurs. Œuvres d’art, monuments et sites d’un héritage exceptionnel : le nôtre.

     _____________________________

CLIQUEZ SUR LES IMAGES   

_________________________________

Se renseigner – S’abonner

____________

S’abonner sur le site de Politique magazine : 

____________________________ 

Les principales activités royalistes annoncées ici. Revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc. Image : © GAR


(Sur le site de l’Action Française)
_________________________________ 

Le site géostratégique d’Antone de Lacoste _________________________________ 

Fédération Royaliste Provençale
Fédération régionale de l’Action Française

BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE. Messagerie : urp@outlook.fr

(ATENTION : l’adresse 48 rue Sainte-Victoire, 13006 MARSEILLE, est supprimée). 
_______________________________

Livres à la une

Le dernier ouvrage de Jean-Paul Brighelli, – agrégé de Lettres, qui a enseigné pendant 45 ans :  « La fabrique du crétin – Vers l’apocalypse scolaire« , le tome 2 de son succès d’édition, déjà vendu à 150 000 exemplaires. Cliquez sur l’image.

_________

L’Action française est aujourd’hui le plus ancien et, dans sa continuelle vitalité, le plus constamment jeune des mouvements politiques, toutes tendances confondues. Elle se renouvelle à chaque génération, dans la permanence, sans cesse ravivée et adaptée, d’une doctrine, d’une vision, d’une action. Cliquez sur l’image.
__________________________________

JSF recommande à ses lecteurs d’adhérer à l’Action Française

Chers lcteurs, il ne suffit pas de nous lire. Si vous le souhaitez, si vous le pouvez, nous vous recommandons d’adhérer à l’Action Française, pour soutenir, renforcer, participer au mouvement royaliste. L’année commence, c’est le moment ! Cliquez sur l’image !   JSF
__________________________________

Bernard Lugan : Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentancePrésentation – Table des matières – Commandes  [CLIQUER]

__________________________________

Livres recommandés…

Pierre de Meuse. Derniers ouvrages parus

 

 

 

 

 

Idées et doctrines de la Contre-Révolution, préface de Philippe Conrad.  DMM – 2019.
Le dogme de l’antiracisme, origine, développement et conséquences, préface de Bernard Lugan,  DMM – 2024.
Informations – Achats : Cliquez sur les images.
Annie Laurent : L’Islam. Pour s’informer sérieusement …

Pour en savoir plus sur cette indispensable étude, pour commander : ICI

__________________________________


Envois postaux : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE 
Courriel : contact@jesuisfrancais.blog

Librairie de Flore

Cliquez sur l’image pour accéder aux produits de la Librairie de Flore ! Livres, revues, boutique …

L’incontournable ouvrage de Charles Maurras enfin disponible. 15,00€, 515 pages. En stock.

Lettre de JSF : S’abonner, c’est utile et c’est gratuit !




Service quotidien gratuit, déjà assuré le matin pour les milliers de lecteurs inscrits. Si ce n’est pas encore votre cas, inscrivez-vous dès maintenant pour recevoir la lettre de JSF au plus vite et régulièrement. Inscription simple ci-dessous.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique de confidentialité.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Comte de Paris : 60 ans d’héritage et d’avenir

https://youtu.be/MEl5wncXQ0M

. Comte de Paris, Site Officiel
. Comte de Paris, Page Facebook 
. Politique Magazine & Revue Universelle
. Maurras.net
. Action Française – Le bien commun

                                    
Je Suis Français (JSF) est aussi sur Twitter/X
                 
Page associée

Commentaires récents

  • vendredi 20 Juin 13:33
    Anne. sur Pierre-Yves Rougeyron : « À partir du 18…
    “Sauf pour la nostalgie, ça n’a plus grande importance. Les gaullistes en tant que tels ont…”
  • vendredi 20 Juin 12:37
    MIKE sur Pierre-Yves Rougeyron : « À partir du 18…
    “Du gaullisme le plus délirant !”
  • vendredi 20 Juin 11:13
    Anne. sur Radu Portocala : Eh, oui. Il…
    “Du David Gattegno. Vrai avec excès, mais vrai tout de même !”
  • vendredi 20 Juin 11:13
    Jean de Maistre sur Renaud Camus : De la destruction…
    “Il faut lire et relire le magnifique ouvrage de Renaud Camus intitulé la Dépossession, une analyse…”
  • vendredi 20 Juin 11:05
    Philippe sur Pierre de Meuse : Les rapports…
    “Fin de cette suite ; je l’avais trouvée remarquable au début et je le confirme après…”
  • vendredi 20 Juin 09:42
    François-Xavier Castet du Poët sur Perplexité… Mais ceux qui ont encore…
    “Bonjour, L’AiEa… ça vous dit quelque chose ? Un État qui fait 4 fois la superficie…”
  • vendredi 20 Juin 08:35
    David Gattegno sur Israël-Iran, jusqu’où ?
    “La question du «nucléaire iranien» est délibérément mal posée. L’enjeu du nucléaire c’est la capacité de…”
  • vendredi 20 Juin 07:58
    David Gattegno sur Radu Portocala : Eh, oui. Il…
    “Formule d’Hugues Noël : «retour du Roi dans une république démocratique rénovée». D’un point de vue…”
  • jeudi 19 Juin 15:49
    jver sur Israël-Iran, jusqu’où ?
    “Je suis sidéré par l’unanimité des réactions françaises – surtout de la « droite » — Quel que…”
  • jeudi 19 Juin 13:57
    Anne sur Radu Portocala : Eh, oui. Il…
    “L’hypothèse avancée par Hugues Noël me paraît pure élucubration. Effectivement, en 2015, Macron avait publié qu’il…”
  • jeudi 19 Juin 13:51
    Joset sur « Il est vrai qu’entendre la réponse…
    “Depuis sa réunification sans exiger la moindre garantie de sa part, l’Allemagne renoue avec ses vieux…”
  • jeudi 19 Juin 08:02
    NOEL Hugues sur Radu Portocala : Eh, oui. Il…
    “Que fera l’actuel Président de la République après les élections présidentielles de 2027? -Probablement militer pour…”

EXPLOREZ LES TRÉSORS DE NOTRE HISTOIRE

EXPLOREZ LES TRÉSORS DU CINÉMA…

____________________________________

Une collection de vidéos dont un grand nombre exclusives réalisées par l’Union Royaliste Provençale. © URP/JSF – Reproduction autorisée à condition de citer la source.

Chaîne YouTube Je Suis Français. Pour une plus large audience.  (Création récente)

_____________________________________

Péroncel-Hugoz dans JSF

Retrouvez ici..

Et aussi…

_______________________________

Appel aux lecteurs de Je Suis Français : Pour la sauvegarde du patrimoine matériel de l’Action Française !

Participez à l’opération nationale de sauvegarde du patrimoine historique de l’Action Française, lancée par le Secrétariat Général du Mouvement. Tous documents ou objets divers nous intéressent : photos, films, livres, journaux, correspondance, insignes, drapeaux etc. Ecrire à Michel Franceschetti : chetti133@sfr.fr .   

PEUT-ON SORTIR DE LA CRISE ? Une étude intégrale de Pierre Debray dans JSF

Une contribution magistrale à la réflexion historique, économique, sociale, politique et stratégique de l’école d’Action Française. Étude intégrale à la disposition des lecteurs de JSF, notamment étudiants, chercheurs et passionnés d’histoire et de science économiques.  ENTRÉE

Les créations de JSF : Séries, dossiers, études

 

Etudes, séries, dossiers regroupés pour être en permanence disponibles et directement consultables   © JSF – Peut être repris à condition de citer la source Pour y accéder, cliquez sur l’image.

A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.

Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

* Frais de port inclus

  • Contact
  • Mentions Légales
  • Politique de Confidentialité
Je Suis Français © 2019 Tous droits réservés.

Site réalisé par Eva Giraud Web
Retour en haut de page