Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides (et, en permanence : Du passé faisons table rase.pdf ) :
Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides (et, en permanence : Du passé faisons table rase.pdf ) :
Le Japon contre la Chine. Le massacre de Nankin. Décembre 1937.
En septembre 1931, l’armée impériale japonaise envahit la Mandchourie.
En 1937, Hirohito donne son accord à l’invasion du reste du territoire chinois, ce qui conduit à la seconde guerre sino-japonaise. En août 1937, l’armée japonaise investit Shanghai où elle rencontre une forte résistance et subit de lourdes pertes. La bataille est sanglante pour les deux camps qui se livrent à un corps à corps en milieu urbain. À la mi-novembre, les Japonais prennent possession de Shanghai. L’État-Major à Tokyo décide dans un premier temps de ne pas étendre la guerre à cause des pertes sévères et du faible moral des troupes. Toutefois, le 1er décembre, il ordonne à l’Armée du centre de la Chine de capturer Nankin, alors capitale de la République de Chine. Le 13 décembre Nankin tombe aux mains des Japonais.
« Le changement, c’est maintenant » ! : après le million huit de Français qui paient l’impôt, alors qu’ils ne le payaient pas « avant », le gouvernement vient d’imposer l’uniformisation par le haut – et rétroactive – du taux de prélèvements sociaux, à 15,5%, pour certains produits d’épargne : Contrats d’assurance-vie multisupports (ceux dans lesquels on peut acheter des …
1. Dans « 24 heures », à propos de la décision d’aller punir Bachar El Assad… …et dans Le Temps, après l’inénarrable « réaction » (?) à l’ « affaire Léonarda » :
La révolution bolchevique de 1917
Faire un recensement des tueries de masse de la révolution bolchevique, puis de l’administration stalinienne jusqu’à la disparition du géorgien en mars 1953, est un travail allant très au-delà de l’objet de ces quelques feuilles. Mais des remarques s’imposent.
Tout d’abord le contexte général de la présentation d’un des drames du XXème siècle. Il se trouve encore des intellectuels soit pour nier l’intensité des massacres, soit pour défendre que la révolution ne puisse pas prospérer sans quelques exactions. La France est hélas bien placée dans ce déni mondain avec un Alain Badiou ou une Annie Lacroix – Riz (photos, ndlr). Si la bibliographie sur la vie de la révolution et du communisme est relativement fournie, il n’en va pas de même de la filmographie assez maltraitée, à diffusion plutôt modeste, tant en regard du drame, qu’en comparaison avec d’autres massacres de masse, alors que la matière existe.
… mais à l’échelle nationale, bien sûr, et pas seulement concernant l’expulsion de deux familles de deux logements, mais l’expulsion du territoire tout court. Expulsion passant, bien évidemment, par le préalable de la déchéance de nationalité. C’est, on s’en doute, toute une politique qui est à revoir, et à inventer; et tout un ensemble de …
Ce mercredi soir, 23 octobre, c’est un brillant Des Racines et des Ailes que nous a présenté Patrick de Carolis, en direct de Versailles et de Trianon. En passant aussi par Sceaux, par la grandiose Terrasse de Saint-Germain, par l’ouverture de ce qui allait devenir la plus belle Avenue du monde : les Champs Elysées… …
Lire la suitePour rendre hommage au génial Le Nôtre, FR3 et le Service public ont été à la hauteur…
Ce n’est pas le moindre des paradoxes de ce terrible XXème siècle que la dénonciation des génocides, et parfois leurs jugements, appréhendés comme une absolution dont il s’est fait une obligation, ne s’accompagne pas de l’inventaire aussi précis que l’on pourrait légitimement attendre. Les moyens ultrarapides d’échanges et d’acquisition de l’information, d’accès aux bibliothèques et aux archives, qui sont ceux d’aujourd’hui ne devraient pas laisser dans l’ombre, le moindre assassinat de masse.
Ce n’est pas non plus la moins effrayante des interrogations que le terme même de génocide, création de circonstance, soit l’objet de dissertations sans fin, tant de la part de juristes, que d’historiens et d’universitaires, quelques soit l’atrocité des chiffres. On découvre alors que le mot de génocide n’est pas figé dans une définition immuable. Jusqu’à oser contester la nature du massacre de la Vendée. Et donc malgré le titre de ce billet, nous resterons autant que possible à l’écart de ce vocable.
Les commentaires, on le sait, sont nombreux et foisonnants sur notre blog. Ils en prolongent les notes. Et, parfois, ils ajoutent ou signalent l’essentiel. C’est pourquoi nous créons cette rubrique (sans doute hebdomadaire) qui doit donner davantage d’audience aux commentaires les plus importants. De tous les commentaires parus récemment, l’un des plus importants – que nous mettons ici en ligne …
Ariane sur Communiqué de l’Action française ▬ Non…
“À M. Le Floch : Oui, nous sommes tous d’accord, mais ce ne sont que des…”