Aller au contenu

JE SUIS FRANÇAIS

Le quotidien royaliste sur la toile

Search
  • Accueil
  • Politique
    • France
    • Europe
    • Monde
    • Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade
    • En deux mots, réflexion sur l’actualité
    • Défense nationale
    • Social, economie…
    • Chiffres en vrac sur la France actuelle
    • Grain de sel … actualité
  • Comte de Paris
    • Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France
  • Annonces
    • Activités, Presse, Mouvement
    • Annonces à propos de JSF
  • Société
    • Immigration – Insécurité – Anti racisme
    • Education
    • Justice
    • Patrimoine, Racines, Traditions
    • Politique et Religion
    • Humour
  • Vidéo-Audio
    • Vidéos
    • Audios
  • Idées-Culture
    • GRANDS TEXTES
    • Idées, Histoire, Culture & Civilisation
    • Patrimoine cinématographique [P. Builly]
    • Ephémérides
    • Visuels
    • Nos lecteurs ont la parole…
    • Aux nouveaux lecteurs qui nous découvrent…
    • Journal d’un royaliste français au Maroc
  • République ou Royauté
    • République ou Royauté ?
    • Révolution – Terrorisme – Totalitarisme
  • Dossiers
    • Lire Jacques Bainville
    • Bainville : Journal année 14
    • Pierre Debray – Une politique pour l’an 2000
    • Pierre Debray – Maurras et le Fascisme
    • L’Action française dans la Grande Guerre
    • Mai 68
  • RechercheRecherche

Le Masque déchiré, roman

mercredi 4 août 2021lundi 2 août 2021 sur JSF

Lundi, 2 août 

PREMIÈRE PARTIE

I

Une trentaine de mètres de Jardin, derrière une grille de fer, isolaient, de l’avenue de Tourville, l’hôtel d’Auersfurt devenu célèbre, dans les mondanités des journaux, depuis un peu plus de deux ans, par ses réceptions et ses soirées de musique et de littérature. Et ce jardin, planté de beaux platanes et de quelques peupliers, avait à peu près la même étendue en arrière de cette demeure. C’était un édifice à deux étages, avec des combles à la Mansart, dont le rez-de-chaussée un peu en retrait entre deux ailes latérales, était haussé sur un perron à double escalier d’environ un mètre cinquante, par lequel on y avait accès.

Le grand seigneur allemand qui était le possesseur de cet hôtel, le comte Gérard d’Auersfurt, avait dû le récent succès des fêtes qu’il y donnait à la séduisante beauté et à l’intelligence intuitive de sa jeune femme, naturellement, mais aussi à l’espèce de zone neutre que constituaient ses salons. L’aristocratie, le monde des grandes affaires, celui de la politique pouvaient y mêler leurs contingents, puisqu’il était lui-même de vieille noblesse allemande, qu on le savait adonné à de vastes affaires et qu’étranger à tous les partis, il n’en était aucun dont il épousât les passions.

« — Il est de vieille noblesse souabe. Je le sais pertinemment », disait la pétulante marquise à la comtesse un peu inquiète de se trouver chez ce nabab germanique.

« — Il fait des affairés colossales », con fiait l’agent de change à son ami le maître de forges.

« — Il est d’un socialisme à t’effrayer toi-même », affirmait le ministre radical à son ami le député unifié. « Je parierais qu’il subventionne la Social-démocratie. »

« — Et il vous sert un champagne… ah ! mon ami !… » concluait, en claquant de la langue, le député unifié.

Et Gérard, riant d’un gros rire amusé, quand on attirait son attention sur ce mélange de ses invités, répondait : « Mais j’aime tant me donner des échantillons de toute la France ! de la belle France !… Et puis quoi ? Je vous fais de l’union nationale »

Et il riait. Ce matin-là, le matin du 1er août 1914, on ne pouvait guère constater d’autre animation, dans l’hôtel de l’avenue de Tourville, que celle des moineaux pépiant dans les allées du jardin et celle au frisson alangui des feuillages, sous la brise encore fraîche quoi qu’il fût déjà dix heures et demie. Cependant, des rideaux furent tirés derrière le haut et large vitrage du salon qui était de plain-pied avec le perron. Et la silhouette de Huguette d’Auersfurt s’y dessina, à côté de celle d’une femme de chambre qui l’accompagnait.

Il n’y avait peut-être pas à Paris, à cette heure où il y avait encore tant de femmes heureuses, de femme qui se sentit plus heureuse que Huguette d’Auersfurt. Blonde et d’une fraîcheur de fleur radieuse, son beau visage harmonieusement modelé respirait le contentement de soi et l’ardeur de vivre. À peine un peu de bistre violacé sous ses paupières rappelait sa récente maternité. Ses relevailles dataient de trois semaines. Exempt de cette maigreur ascétique, mise en si grande vogue par les couturiers que l’on pourrait appeler les cubistes de la mode, son corps élancé et sinueux à la fois révélait la grâce d’une structure bien proportionnée et l’éclat d’une bonne santé, dans la mousseline de soie légère et fleurie dont il était vêtu. Une fine lumière de carmin adouci baignait, pour ainsi dire, ses longs doigts qui prenaient, des mains de sa femme de chambre, des branches de roses, une tige de lys, une touffe d’œillets safranés ou d’un mauve meurtri, pour en marier les parfums et en assortir les nuances dans les vases de son salon. Elle garda une poignée de ses fleurs, qu’elle approcha de son visage. Et les narines frémissantes, les paupières baissées, tout le corps tendu brusquement par un spasme voluptueux, elle dit :

« — Hum ! que j’aime ces senteurs violentes ! On respire comme de l’essence de joie ! »

Et la femme de chambre, attentive, à saisir toute occasion de flatter sa maîtresse, émit cette remarque :

« — C’est donc une chance pour madame que M. le comte est docteur-chimiste et très savant dans la parfumerie.

— Oui, Anna. Mais savez-vous qu’il tient à ce que vous parliez le français correctement. Il ne faut pas dire que M. le comte est docteur-chimiste, mais que M. le comte soit docteur-chimiste. Ce n’est pas l’indicatif, ici ; c’est le subjonctif… »

— Je remercie bien madame. Que M. le comte soit docteur-chimiste. Pas l’indicatif : le subjonctif. »

— Non. Cette branche d’orchidées. C’est ça.

— Oh ! comme ça, c’est joli !… C’est un grand plaisir de regarder madame pour mon enseignement !

— Oui ?… hé bien ! Vous auriez dû dire instruction, au lieu de enseignement.

 — Pour mon instruction », répéta-t- elle. « Je suis contente quand madame me corrige mon français. On nous recommande toujours de bien écouter les maîtres, à notre Verein… Oh !… Je demande pardon à madame ! À notre Association des Domestiques, je veux dire.

— Elle a raison, votre Verein ». Huguette contempla son œuvre. « Oui, c’est joli, comme vous dites, Anna. Maintenant, vous avez l’emballage de mes chapeaux.

— Bien, madame. »

Cette grande fille allemande, plus haute d’un demi-pouce que sa maîtresse, charpentée comme pour porter la cuirasse, s’éloigna, en répétant à mi-voix, pour ne pas perdre le profit des remarques de la comtesse sur ses… fautes de français : « Mon instruction, au lieu de mon enseignement. Que M. le comte soit docteur-chimiste. » En haut de l’escalier, elle suivit, un moment, la galerie circulaire établie autour du centre du salon et disparut par une porte, vers la lingerie.

En la lui donnant pour la servir, le comte d’Auersfurt avait dit à Huguette :

« Je ferai compléter ses leçons de français, pour qu’elle le prononce sans accent. Je ne veux pas que rien vous choque dans le personnel de la maison. » Même dans ce petit détail que lui remettait en mémoire l’application d’Anna à se corriger, Huguette admirait, une fois de plus, le zèle de son mari à la combler de ses attentions.

Ses regards parcoururent ce salon où elle était la somptuosité de son ameublement, la terrasse dans l’ombre lumineuse de la véranda, les platanes et les peupliers à peine frissonnant du jardin qui isolait l’hôtel des rumeurs avoisinantes. Et elle éprouva une sensation si pleine de profond bien-être et d’absolue sécurité qu’elle eut le cœur pénétré de tendresse pour l’homme à qui elle en était redevable.

II

Huguette se jeta dans un amoncellement de coussins, sur un large divan, et son désœuvrement ouvrit carrière à sa rêverie qui s’attacha aux meubles anciens, aux tableaux de vieux maîtres, aux tentures légères, fleuries et diaphanes, aux corolles de cristal de l’électricité, épanouies sur leurs tiges de cuivre doré, au tapis, de couleurs ardentes mais comme assourdies, à tout le luxe choisi qui entretenait toujours vive en elle l’impression de son opulence. Et, comme si elle eût été transportée, tout à coup, sur une eau lente, entre d’épais halliers, sa pensée contempla les images successives de son passé encore peu étendu, s’attardait à l’une puis à une autre. Et tout son être jeune baignait dans une béatitude.

Elle se voyait, avec son père, Ferdinand Guérin, chef de bureau au Crédit Métallurgique Français, dans leur appartement de la rue Vineuse, à Passy, les dimanches de congé, alors qu’elle était élève du lycée Georges-Sand, installé dans un ancien couvent des Dominicaines de la rue Michel-Ange. Interne dans cet établissement, par ce qu’elle avait perdu sa mère vers ses douze ans, elle n’y avait pas trop souffert de sa réclusion. À sa facilité d’intelligence s’étaient unis ce goût, cette passion d’apprendre, cette émulation avec les garçons qui se sont emparés de beaucoup de jeunes filles, depuis quelques années. Tout ce qui était littérature et histoire dans le programme avait exercé sur elle un attrait particulier. Et, à dix-huit-ans, elle avait achevé de passer sans peine son baccalauréat.  ■   (À suivre)

Roman LE MASQUE DÉCHIRÉ de M. FELICIEN PASCAL.

Feuilleton publié dans l’Action française de février à avril 1918.

Textes et images rassemblés par Rémi Hugues pour JSF.

 

Categories Idées, Histoire, Culture & Civilisation
Post navigation
« Le recours à la tradition ». Un livre de Michel Michel
Un feuilleton pour l’été…

Laisser un commentaire Annuler la réponse

L'association Je Suis Français est la seule destinataire de vos données personnelles qui ne sont en aucun cas transmises à des tiers sous quelque forme que ce soit.

Archives

Notre marque

Peinture par un jeune artiste Prix de Rome, offerte à l’U.R.P. pour le 7e centenaire de la mort de Saint-Louis [1970] © U.R.P. [Peut être reprise sur autorisation écrite.]

Prince Jean : « Le rôle politique, je l’ai »

« Le rôle politique, je l’ai sans avoir besoin d’être élu. C’est tout à fait dans le rôle d’un prince de pouvoir sortir un peu de cet échange partisan et de s’intéresser au bien commun, à l’intérêt général de la Cité. »

_____________________________________

Direction de Je Suis Français
Yves Boulon – Sylvie Gaud-Hueber – Jean Gugliotta – Jean-Louis Hueber – Paul Léonetti – Gérard Pol.         
_____________________________________

Ce quotidien a un coût. Son audience un prix. Aidez-nous ! Faites un don ! À partir de 5 €. Merci !

Faire un don ? Le plus simple, c’est PayPal. Dons en ligne – en toute sécurité. Utiliser le bouton PayPal ci-dessous

Sinon, par chèque. Ordre : Je Suis Français – Adresse postale : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE

__________________________________

Rubriques Chroniqueurs

POLITIQUE
. Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade. Contribution â l’expression de notre ligne politique [France & Étranger].
. En deux mots, par Gérard Pol. Réflexion sur l’actualité française et internationale.
. Idées et débats par Pierre de Meuse.
. Les chroniques moyen-orientales d’Antoine de Lacoste,
. Les analyses économiques de plusieurs spécialistes.
. Dans la presse et Sur la toile. Des réactions courtes aux articles, vidéos, audios, les plus marquants.
. Les GRANDS TEXTES politiques.
CULTURE
. Péroncel-Hugoz : Journal du Maroc et d’ailleurs [Inédit]. Autres contributions : Histoire, géographie, lectures et reportages.
. Les études de Rémi Hugues ; Histoire, sociologie politique, philo et actualité. Des séries originales et documentées.
. Patrimoine cinématographique et autres sujets  : les chroniques dominicales de Pierre Builly 
. Les éphémérides.
ANNONCES DES PRINCIPALES ACTIVITÉS
du monde royaliste. Presse et revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc.
COMTE DE PARIS – FAMILLE DE FRANCE
. Messages, tribunes, activités, du Prince Jean, Comte de Paris. Les événements de la Famille de France. Et complément : les récits et choses vues de Francesca.
__________________________________

L’Histoire de France  jour après jour. Personnages célèbres, écrivains, savants, artistes, religieux, chefs militaires. Événements majeurs. Œuvres d’art, monuments et sites d’un héritage exceptionnel : le nôtre.

     _____________________________

CLIQUEZ SUR LES IMAGES   

_________________________________

Se renseigner – S’abonner

____________

S’abonner sur le site de Politique magazine : 

____________________________ 

Les principales activités royalistes annoncées ici. Revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc. Image : © GAR


(Sur le site de l’Action Française)
_________________________________ 

Le site géostratégique d’Antone de Lacoste _________________________________ 

Fédération Royaliste Provençale
Fédération régionale de l’Action Française

BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE. Messagerie : urp@outlook.fr

(ATENTION : l’adresse 48 rue Sainte-Victoire, 13006 MARSEILLE, est supprimée). 
_______________________________

Livres à la une

Le dernier ouvrage de Jean-Paul Brighelli, – agrégé de Lettres, qui a enseigné pendant 45 ans :  « La fabrique du crétin – Vers l’apocalypse scolaire« , le tome 2 de son succès d’édition, déjà vendu à 150 000 exemplaires. Cliquez sur l’image.

_________

L’Action française est aujourd’hui le plus ancien et, dans sa continuelle vitalité, le plus constamment jeune des mouvements politiques, toutes tendances confondues. Elle se renouvelle à chaque génération, dans la permanence, sans cesse ravivée et adaptée, d’une doctrine, d’une vision, d’une action. Cliquez sur l’image.
__________________________________

JSF recommande à ses lecteurs d’adhérer à l’Action Française

Chers lcteurs, il ne suffit pas de nous lire. Si vous le souhaitez, si vous le pouvez, nous vous recommandons d’adhérer à l’Action Française, pour soutenir, renforcer, participer au mouvement royaliste. L’année commence, c’est le moment ! Cliquez sur l’image !   JSF
__________________________________

Bernard Lugan : Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentancePrésentation – Table des matières – Commandes  [CLIQUER]

__________________________________

Livres recommandés…

Pierre de Meuse. Derniers ouvrages parus

 

 

 

 

 

Idées et doctrines de la Contre-Révolution, préface de Philippe Conrad.  DMM – 2019.
Le dogme de l’antiracisme, origine, développement et conséquences, préface de Bernard Lugan,  DMM – 2024.
Informations – Achats : Cliquez sur les images.
Annie Laurent : L’Islam. Pour s’informer sérieusement …

Pour en savoir plus sur cette indispensable étude, pour commander : ICI

__________________________________


Envois postaux : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE 
Courriel : contact@jesuisfrancais.blog

Librairie de Flore

Cliquez sur l’image pour accéder aux produits de la Librairie de Flore ! Livres, revues, boutique …

L’incontournable ouvrage de Charles Maurras enfin disponible. 15,00€, 515 pages. En stock.

Lettre de JSF : S’abonner, c’est utile et c’est gratuit !




Service quotidien gratuit, déjà assuré le matin pour les milliers de lecteurs inscrits. Si ce n’est pas encore votre cas, inscrivez-vous dès maintenant pour recevoir la lettre de JSF au plus vite et régulièrement. Inscription simple ci-dessous.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique de confidentialité.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Comte de Paris : 60 ans d’héritage et d’avenir

https://youtu.be/MEl5wncXQ0M

. Comte de Paris, Site Officiel
. Comte de Paris, Page Facebook 
. Politique Magazine & Revue Universelle
. Maurras.net
. Action Française – Le bien commun

                                    
Je Suis Français (JSF) est aussi sur Twitter/X
                 
Page associée

Commentaires récents

  • lundi 30 Juin 19:46
    Anne sur La fable de l’éditeur et du…
    “Je ne sais pas le livre, mais cet article, lui, en tout cas, est un petit…”
  • lundi 30 Juin 13:28
    Claude Armand Dubois sur Le linguiste Alain Bentolila dénonce le…
    “Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire nous viennent aisément”
  • lundi 30 Juin 12:42
    l sur Le linguiste Alain Bentolila dénonce le…
    “Alain Bentola, merci à lui, nous révèle avec précision la beauté de la langue française, sa…”
  • lundi 30 Juin 09:48
    Jean de Maistre sur Le linguiste Alain Bentolila dénonce le…
    “Mélenchon déteste la France et tout ce qui est français. D’ailleurs, peut-être l’avez-vous remarqué, depuis quelque…”
  • lundi 30 Juin 06:46
    thizy sur Où Radu Portocala pointe le ridicule…
    “c est ridicule MR Glucksmann vive MR VICTOR ORBAN cordialement”
  • dimanche 29 Juin 18:54
    GP sur Yves-Marie Adeline : La population iranienne…
    “Si ces manifestations sont comme celles des printemps arabes, mon impression est plutôt qu’elles sont organisées…”
  • dimanche 29 Juin 15:43
    Grégoire Legrand sur Yves-Marie Adeline : La population iranienne…
    “Votre référence à Erdogan et sa politique anti-kémalienne est très juste. La Turquie redevient l’empire ottoman…”
  • dimanche 29 Juin 14:46
    GP sur Yves-Marie Adeline : La population iranienne…
    “@ Grégoire le Grand. Certes, il ne faut négliger aucune éventualité. Toutefois, il me paraît bien…”
  • samedi 28 Juin 22:55
    Richard sur « La Chute de la maison…
    “Ils finiront par « crever » et ce sont des instituts privés qui prendront le relais. Par contre,…”
  • samedi 28 Juin 12:02
    Liria sur La cérémonie d’ouverture des JO ?…
    “L’ image que je garde de cette cérémonie , c’est la drag queen à barbe blonde…”
  • samedi 28 Juin 10:29
    Pierre Builly sur JEFF BEZOS : le patron d’Amazon…
    “Mais enfin, c’est à la « Revue universelle » qu’il faut que tu t’adresses, et non à JSF…”
  • vendredi 27 Juin 15:41
    Merlaud-Guillot sur Philippe de Villiers : « Chaque…
    “Voilà l’Homme que l’on admire. Il ne vous laisse jamais indifférent. On aimerait beaucoup que la…”

EXPLOREZ LES TRÉSORS DE NOTRE HISTOIRE

EXPLOREZ LES TRÉSORS DU CINÉMA…

____________________________________

Une collection de vidéos dont un grand nombre exclusives réalisées par l’Union Royaliste Provençale. © URP/JSF – Reproduction autorisée à condition de citer la source.

Chaîne YouTube Je Suis Français. Pour une plus large audience.  (Création récente)

_____________________________________

Péroncel-Hugoz dans JSF

Retrouvez ici..

Et aussi…

_______________________________

Appel aux lecteurs de Je Suis Français : Pour la sauvegarde du patrimoine matériel de l’Action Française !

Participez à l’opération nationale de sauvegarde du patrimoine historique de l’Action Française, lancée par le Secrétariat Général du Mouvement. Tous documents ou objets divers nous intéressent : photos, films, livres, journaux, correspondance, insignes, drapeaux etc. Ecrire à Michel Franceschetti : chetti133@sfr.fr .   

PEUT-ON SORTIR DE LA CRISE ? Une étude intégrale de Pierre Debray dans JSF

Une contribution magistrale à la réflexion historique, économique, sociale, politique et stratégique de l’école d’Action Française. Étude intégrale à la disposition des lecteurs de JSF, notamment étudiants, chercheurs et passionnés d’histoire et de science économiques.  ENTRÉE

Les créations de JSF : Séries, dossiers, études

 

Etudes, séries, dossiers regroupés pour être en permanence disponibles et directement consultables   © JSF – Peut être repris à condition de citer la source Pour y accéder, cliquez sur l’image.

A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.

Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

* Frais de port inclus

  • Contact
  • Mentions Légales
  • Politique de Confidentialité
Je Suis Français © 2019 Tous droits réservés.

Site réalisé par Eva Giraud Web
Retour en haut de page