
C’était à la une du Figaro d’hier jeudi 2 mars
Il est bien connu que le bellicisme des États-Unis, ou, dit autrement, leur impérialisme actif, prennent souvent un tour paroxystique sous Administration démocrate. Nous y sommes.
Depuis la fin de la 2e Guerre Mondiale, l’interventionnisme états-unien a instauré le chaos en divers pays et parties du monde, dont il serait aisé de dresser la liste. Il n’est pas sûr du tout que ce chaos ne serve pas les intérêts de son auteur..
Aujourd’hui, la lutte des États-Unis porte sur au moins deux fronts à leurs yeux d’inégale importance : le théâtre européen où il s’agit d’empêcher que se réalise – de toute façon à grand peine – un équilibre du continent incluant la Russie, lequel relativiserait ou contiendrait leur emprise sur l’Europe ; le front pacifique, autrement plus important, où la Chine menace de leur ravir, en tout cas, de leur disputer,, leur rang de première puissance mondiale, ou mieux, selon la formule d’Hubert Védrine, leur position et leurs privilèges d’hyper-puissance mondiale.
Cette lutte pour la conservation de leur position hégémonique mondiale est l’affaire des États-Unis et elle leur apparaît sans-doute d’autant plus vitale que leur unité, leur société, et même leur économie, sont, selon toute apparence, gravement fragilisées, fracturées, en crise profonde, politique et morale.
En tout cas, la guerre qu’ils mènent à la Russie, depuis plusieurs années, dès avant l’invasion russe de l’Ukraine, qu’ils ont, de fait, provoquée, comme le conflit de grande envergure qu’ils pourraient être amenés à déclencher contre la Chine, voire, aussi, simultanément, contre l’Iran, relèvent de leur volonté de puissance et de l’appréciation qu’ils se sont faite ou se feront de leurs intérêts.
Ce n’est pas l’affaire de la France. Mais, comme toujours, les États-Unis ne manqueront pas, comme ils l’ont toujours fait et le font aujourd’hui en Ukraine, de réactiver l’idée de grande coalition et d’y appeler, et même d’y convoquer, leurs alliés traditionnels dont la France.
Selon nous, et c’est la position que devraient adopter, à notre avis, tous eux qui ont le souci de la Patrie, la France doit se préparer à dire non à une telle guerre, en tout cas, non à une quelconque participation qui la mettrait en grand danger pour d’autres intérêts que les siens propres. En son état actuel, elle se doit de penser d’abord à elle-même.
À noter que L’Action française a publié précédemment, un communiqué intitulé « Non à la guerre ».
Non à la Guerre ce n’est pas assez , il faut que le Prince ou les princes se positionnent.
Nous sommes dirigé par des imbéciles pédants, plein d’orgueil et sans cerveau. Inutile de sortir premier de la promo de Saint Cyr comme Gamelin en 1940 pour imposer la guerre aux autres. La république de France est à l’image des Etats Unis, va en guerre, sans cesse. Cette fois nos élégants Sinistres avaient déjà vendu la peau de l’Ours enfin de Poutin.
Nous devons changer de régime, le peuple latin et grec attend le changement face à un germano protestantisme va en guerre. La paix ne viendra pas des républicains dépassés. Le temps presse, demain il sera trop tard.
La France de nos ancêtres doit reprendre sa place internationale et seul le royaume de France le peut, quel que sera le roi.
Contre ce risque il est urgent de prendre nos distances avec L’OTAN
J’ajouterais: Un dirigeant ne doit pas comme il en est dans notre république bananière parler au nom du peuple, mais AVEC le peuple et pour le bien du dit peuple. Mais pire nous allons en guerre poussés par des fonctionnaires dits Européens. Un fonctionnaire ça obéit , ça ne donne pas d’ordre. Les nôtres commandent et nos médiocres élus acceptent tacitement, Jacline des gilets jaunes l’a très bien compris, c’est une Bretonne.
OEnfin du parler VRAI
Ils avaient coupé la tête de Louis XVI, je vois maintenant le retour de la machine de Guillotin avec le chef de nos Armées que les français n’aiment pas. Alors, pour les Jeux des parigots, gageons que ce sera le cas en 2024. Et en plus on chantera : US GO HOME, pour tous ceux qui ont subit le camps du bien américain.