Aller au contenu

JE SUIS FRANÇAIS

Le quotidien royaliste sur la toile

Search
  • Accueil
  • Politique
    • France
    • Europe
    • Monde
    • Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade
    • En deux mots, réflexion sur l’actualité
    • Défense nationale
    • Social, economie…
    • Chiffres en vrac sur la France actuelle
    • Grain de sel … actualité
  • Comte de Paris
    • Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France
  • Annonces
    • Activités, Presse, Mouvement
    • Annonces à propos de JSF
  • Société
    • Immigration – Insécurité – Anti racisme
    • Education
    • Justice
    • Patrimoine, Racines, Traditions
    • Politique et Religion
    • Humour
  • Vidéo-Audio
    • Vidéos
    • Audios
  • Idées-Culture
    • GRANDS TEXTES
    • Idées, Histoire, Culture & Civilisation
    • Patrimoine cinématographique [P. Builly]
    • Ephémérides
    • Visuels
    • Nos lecteurs ont la parole…
    • Aux nouveaux lecteurs qui nous découvrent…
    • Journal d’un royaliste français au Maroc
  • République ou Royauté
    • République ou Royauté ?
    • Révolution – Terrorisme – Totalitarisme
  • Dossiers
    • Lire Jacques Bainville
    • Bainville : Journal année 14
    • Pierre Debray – Une politique pour l’an 2000
    • Pierre Debray – Maurras et le Fascisme
    • L’Action française dans la Grande Guerre
    • Mai 68
  • RechercheRecherche

Les aventures d’une bourgeoise de Paris, roman-feuilleton de votre été

mardi 1 août 2023mardi 1 août 2023 sur Rémi Hugues

— Çà, Mahault je n’ai guère vu que femmes folles en ce lieu : faites-moi donc comprendre ce qu’y vient faire une per sonne aussi sage que vous ?

— Les Bourgeoises de Paris sont curieuses par nature, Sire ; mettez qu’il ait pris à l’une d’elles l’idée de voir de ses yeux ces faits, qui seront plus tard écrits dans les livres. Mais ce n’est point cela seul qui m’amène : mon but est d’abord d’apporter moi-même la rançon de mon frère Raoul de Fougères.

— En effet, il fut pris à Farescour et c’est déjà sapience à vous de n’avoir donné votre bourse à quiconque. Si trop de besaces sont percées, trop de coffres aussi ont peine à rendre ce qu’on leur a confié1. Où est-elle cette rançon ?

Le regard expressif de la veuve alla chercher un peu à l’écart un personnage qui, jambes écartées, laissait l’un après l’autre chacun de ses pieds en otage aux sables de la plaine. Un bon rire secoua à nouveau le joyeux Sire de Champagne.

— Par Dieu, Mahault, vous avez là un écuyer qui ne vous compromettra pas !

— Tel qu’il est, n’en riez mie, bon Sire : nous valons notre pesant d’or, pas vrai, Gaucher ?

— Ouais ! — mais il ne faut pas vous laisser voler un oiseau de cette envergure : je vais tout à l’heure lui donner tel plumage que nul désormais ne sera tenté de le prendre. Ils étaient arrivés auprès d’un long village, à l’entrée duquel s’élevaient, calcinants et déchiquetés, les restes d’une de ces illusoires défenses de l’un de ces Châteaux, à la construction desquels on avait sacrifié les vaisseaux de la flotte.

— C’est ce qui nous reste jusqu’à Damiette, dit Joinville en montrant quelques misérables tentes autour desquelles veillait une garde insuffisante.

— Tout espoir est-il donc perdu ? interrogea Mahault.

— Je le crains ! Depuis ce jour de Carême prenant, la chance a tourné contre nous ! Une querelle entre ce fol comte d’Artois et le sire de Coucy causa la mort de deux cent quatre-vingts chevaliers du Temple et, si en ce jour la victoire resta indécise, le surlendemain le Roy lui-même dut combattre pour garder nos positions Depuis, nous reculons sans cesse, minés surtout par les maladies et la discorde.

— N’entendîtes-vous pas parler du jeune Sire de Lusignan, en ces temps derniers, Sénéchal ?

— Des Lusignan ? il en foisonne, ma commère ; il en est de bons, de mauvais et de pires ; on les accuse tous d’avoir du poil de sanglier dans la main !

— Celui-ci s’appelle Hugues et fut le fiancé de ma nièce, dit timidement Mahault, que son avatar avec la Reine de Chypre rendait prudente. — Hugues ou Guy. ils se nomment tous ainsi, et la race du vieux pécheur que fut le comte de la Marche n’est point près de s’éteindre. J’ai ouï dire je ne sais quoi de celui-ci, Mahault, mais la souvenance me fait défaut ; d’ailleurs, le temps presse et je cours rejoindra, mon roussin : la bataille recommencera dès le lever du soleil et, avant de partir, je veux encore équiper votre valet.

L’ami du Roy ne savait pas être triste longtemps : il prit sous une tente, qui avait dû être à usage de chapelle, une sorte de manteau en forme d’éteignoir, terminé par une cagoule pointue, dans laquelle il enfouit de vive force, la tête d’abord, puis le corps entier du pauvre Gaucher :

— Je te proclame fossoyeur en chef de ce camp, cria-t-il ; et devant les protestations de celui-ci : Ouais ! pareilles fonctions furent honorées d’un royal patronage, car tandis que les autres guerriers, moi tout le premier, s’estoupaient le nez pour la « poueur », notre saint Roy disait :

« Donnons un peu de terre bénite à ces martyrs. »

Tandis que le nouveau titulaire gémissait de la charge qui lui était imposée, le Sénéchal se tourna vers Mahault :

— Installez-vous céans, dit-il : il se peut qu’avant ce soir vous et vos compagnes ayez une rude besogne à faire et si vous ne me revoyez point, souvenez-vous, dans vos prières, du Sénéchal de Champagne, qui fut un pauvre pécheur.

Sur ce, le Sénéchal, piquant des deux, rejoignit la petite troupe qui, dans ce grand espace désert, semblait une procession de fourmis. On l’entendit bientôt chanter à plein gosier ces mots si étranges en un tel lieu :

« Il s’est cassé l’aile — et démis le col — et démis à la volette — et démis — à la volette —et démis le col ! »

Ce fut la seule note gaie qui, depuis bien des jours, eût réjoui le cœur vaillant du Sénéchal. Si sa foi vivace l’avait fait revenir sur ses pas, à cette heure suprême ou il espérait encore ramener ces renforts toujours attendus, la troupe insignifiante qu’il avait rencontrée lui donnait l’illusion de ne s’être point absolument trompé.

Il avait quand même respiré un peu d’air de la Patrie, dans ce rapide contact avec ceux qui en arrivaient. Maintenant, il rentrait dans la Gehenne ; car, depuis les deux journées de Mansourah, le camp de ceux qui étaient venus ici pour conquérir le ciel était fait de telle sorte que l’on pouvait y voir l’image de l’enfer !

Pendant cinq mortelles semaines, on y avait connu tous les genres de tortures : venin des plaies mal fermées, accès de ce mal étrange qui les prenait tous les uns après les autres, tellement que la chair de leurs jambes se séchait et devenait ainsi qu’une vieille botte. Puis la faim était venue, et n’ayant plus rien à, manger, il fallait se contenter de ces barbeaux du Nil, si gras qu’on les croyait gonflés de chair humaine ! Ils avaient moins souffert, ceux-là, Guy d’Ibelin, Humbert de Saint-Amand et tant d’autres qui, ayant payé de leur vie la folle ivresse de leur équipée, dormaient en paix maintenant, écuyers avec Templiers, Hospitaliers près de ces chevaliers teutoniques, qui les détestaient si fort.

Le vaste souffle du désert, en passant sur leurs dépouilles, avait apporté en son haleine empestée ces deux fléaux satellites de la défaite : : la peste et le découragement. Le Roy demandait une trêve, dont le Sultan voulait qu’il fût l’otage ; mais si lui-même était prêt à s’offrir en holocauste, ses soldats aimaient mieux se faire tuer jusqu’au dernier que de bailler leur maître en gage.

La retraite avait eu lieu ! S’appelant l’un l’autre au milieu des ténèbres, on était revenu vers ce fleuve, où flottaient encore quelques vaisseaux. En les revoyant, beaucoup avaient été pris de vertige ; c’était le dernier lien qui les rattachât encore à la Partie ! Ah ! la revoir, retrouver l’épouse et les enfançons chéris, fuir enfin cette terre, oublier ce cauchemar ! Et pour cela, au mépris de toute prudence, ils s’étaient entassés sur ces esquifs qui auraient dû être le seul refuge des infirmes et des malades.

Malgré les objurgations de tous, les ordres même du légat du pape, qui avait prêché d’exemple, le Roy avait obstinément refusé de quitter la terre. Tremblant la fièvre, debout sur la berge et appuyé sur son glaive, il avait vu se rembarquer cette fleur de chevalerie qui, habituée à la victoire, ne savait pas supporter la défaite Pour protéger cette retraite navale, dont il avait trop justement, hélas ! prévu le danger, Louis IX avait massé tout ce qui lui restait de son armée, cinq mille hommes au plus, en aval du fleuve. Cette arrière-garde savait que sur elle allait se déchaîner toute la fureur de l’ennemi, et c’est au milieu d’elle qu’en ce matin du 5 avril 1157, Joinville allait, escorté des archers de Mahault, retrouver son royal Ami ! Les Bretons, si hésitants au départ, s’étaient ressaisis. Le voisinage du danger et ce branle-bas. de combat au milieu desquels ils tombaient dès leur arrivée, activaient leur vaillance native. Bien groupés autour du Seigneur de Rouessey, leur chef, ils bandaient déjà leurs arquebuses neuves, fiers de tomber si vite au cœur de la bataille.

Celle-ci, pourtant, s’annonçait comme devant être plus terrible encore que les combats des jours précédents. Telle une nuée de sauterelles dévorantes, les Sarrasins arrivaient de toutes parts : on eût dit qu’ils se levaient de la plaine même et armés de leurs terribles pierriers, ils lançaient une grêle de flèches chargées de feu grégeois. Tout l’Islam s’est rué sur cette poignée de chrétiens et les flèches pleuvaient sur eux avec une telle force « que l’on dirait que les estoiles tombent du ciel !2 ».

Mais à pleines mains les croisés arrachent de leurs cottes de mailles les pennons brûlants. Mauvoisin, qui flambe comme une torche, combat quand même, en hurlant de douleur ! Châtillon clame comme un tocsin :

— À Châtillon, chevaliers ! À Châtillon, où sont mes Prud’hommes !

Maintenant, c’est le corps-à-corps formidable et terrible ! La légendaire valeur française s’est réveillée, telle que les Sarrasins eux-mêmes en sont étonnés. Un contre dix ils luttent, ils tombent, les Croisés ! s’ils sont abattus, c’est pour se relever encore. Quelques-uns sont armés d’armes étranges et terribles : il en est qui manient ces faulx, interdites au début de l’expédition et qui, n’ayant pu servir à de pacifiques travaux, deviennent, en leurs mains, un terrible engin de mort : elles décrivent leur cercle d’acier sur les rangs serrés des musulmans et les couchent en sillons sur lesquels les têtes volent, comme de rouges coquelicots. ▪ (À suivre)

1 Allusion à la cupidité des Templiers.

2 Mathieu Pâris.


Roman : LES AVENTURES D’UNE BOURGEOISE DE PARIS de Myriam Thélen (1911).

Publié dans l’Action française le 13 juin 1923.

Textes et images rassemblés par Rémi Hugues pour JSF

Categories Idées, Histoire, Culture & Civilisation, Immigration - Insécurité - Anti racisme
Post navigation
Affaire des bouquinistes des quais de Seine : Appel au calme et explications de Pierre Builly…
Instrumentum laboris, Intrumentum eversionis

Laisser un commentaire Annuler la réponse

L'association Je Suis Français est la seule destinataire de vos données personnelles qui ne sont en aucun cas transmises à des tiers sous quelque forme que ce soit.

Archives

Notre marque

Peinture par un jeune artiste Prix de Rome, offerte à l’U.R.P. pour le 7e centenaire de la mort de Saint-Louis [1970] © U.R.P. [Peut être reprise sur autorisation écrite.]

Prince Jean : « Le rôle politique, je l’ai »

« Le rôle politique, je l’ai sans avoir besoin d’être élu. C’est tout à fait dans le rôle d’un prince de pouvoir sortir un peu de cet échange partisan et de s’intéresser au bien commun, à l’intérêt général de la Cité. »

_____________________________________

Direction de Je Suis Français
Yves Boulon – Sylvie Gaud-Hueber – Jean Gugliotta – Jean-Louis Hueber – Paul Léonetti – Gérard Pol.         
_____________________________________

Ce quotidien a un coût. Son audience un prix. Aidez-nous ! Faites un don ! À partir de 5 €. Merci !

Faire un don ? Le plus simple, c’est PayPal. Dons en ligne – en toute sécurité. Utiliser le bouton PayPal ci-dessous

Sinon, par chèque. Ordre : Je Suis Français – Adresse postale : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE

__________________________________

Rubriques Chroniqueurs

POLITIQUE
. Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade. Contribution â l’expression de notre ligne politique [France & Étranger].
. En deux mots, par Gérard Pol. Réflexion sur l’actualité française et internationale.
. Idées et débats par Pierre de Meuse.
. Les chroniques moyen-orientales d’Antoine de Lacoste,
. Les analyses économiques de plusieurs spécialistes.
. Dans la presse et Sur la toile. Des réactions courtes aux articles, vidéos, audios, les plus marquants.
. Les GRANDS TEXTES politiques.
CULTURE
. Péroncel-Hugoz : Journal du Maroc et d’ailleurs [Inédit]. Autres contributions : Histoire, géographie, lectures et reportages.
. Les études de Rémi Hugues ; Histoire, sociologie politique, philo et actualité. Des séries originales et documentées.
. Patrimoine cinématographique et autres sujets  : les chroniques dominicales de Pierre Builly 
. Les éphémérides.
ANNONCES DES PRINCIPALES ACTIVITÉS
du monde royaliste. Presse et revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc.
COMTE DE PARIS – FAMILLE DE FRANCE
. Messages, tribunes, activités, du Prince Jean, Comte de Paris. Les événements de la Famille de France. Et complément : les récits et choses vues de Francesca.
__________________________________

L’Histoire de France  jour après jour. Personnages célèbres, écrivains, savants, artistes, religieux, chefs militaires. Événements majeurs. Œuvres d’art, monuments et sites d’un héritage exceptionnel : le nôtre.

     _____________________________

CLIQUEZ SUR LES IMAGES    

14 JUIN – MIDI BLANC – QU’ON SE LE DISE !

_________________________________

Se renseigner – S’abonner

____________

S’abonner sur le site de Politique magazine : 

____________________________ 

Les principales activités royalistes annoncées ici. Revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc. Image : © GAR


(Sur le site de l’Action Française)
_________________________________ 

Le site géostratégique d’Antone de Lacoste _________________________________ 

Fédération Royaliste Provençale
Fédération régionale de l’Action Française

BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE. Messagerie : urp@outlook.fr

(ATENTION : l’adresse 48 rue Sainte-Victoire, 13006 MARSEILLE, est supprimée). 
_______________________________

Livres à la une

Le dernier ouvrage de Jean-Paul Brighelli, – agrégé de Lettres, qui a enseigné pendant 45 ans :  « La fabrique du crétin – Vers l’apocalypse scolaire« , le tome 2 de son succès d’édition, déjà vendu à 150 000 exemplaires. Cliquez sur l’image.

_________

L’Action française est aujourd’hui le plus ancien et, dans sa continuelle vitalité, le plus constamment jeune des mouvements politiques, toutes tendances confondues. Elle se renouvelle à chaque génération, dans la permanence, sans cesse ravivée et adaptée, d’une doctrine, d’une vision, d’une action. Cliquez sur l’image.
__________________________________

JSF recommande à ses lecteurs d’adhérer à l’Action Française

Chers lcteurs, il ne suffit pas de nous lire. Si vous le souhaitez, si vous le pouvez, nous vous recommandons d’adhérer à l’Action Française, pour soutenir, renforcer, participer au mouvement royaliste. L’année commence, c’est le moment ! Cliquez sur l’image !   JSF
__________________________________

Bernard Lugan : Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentancePrésentation – Table des matières – Commandes  [CLIQUER]

__________________________________

Livres recommandés…

Pierre de Meuse. Derniers ouvrages parus

 

 

 

 

 

Idées et doctrines de la Contre-Révolution, préface de Philippe Conrad.  DMM – 2019.
Le dogme de l’antiracisme, origine, développement et conséquences, préface de Bernard Lugan,  DMM – 2024.
Informations – Achats : Cliquez sur les images.
Annie Laurent : L’Islam. Pour s’informer sérieusement …

Pour en savoir plus sur cette indispensable étude, pour commander : ICI

__________________________________


Envois postaux : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE 
Courriel : contact@jesuisfrancais.blog

Librairie de Flore

Cliquez sur l’image pour accéder aux produits de la Librairie de Flore ! Livres, revues, boutique …

L’incontournable ouvrage de Charles Maurras enfin disponible. 15,00€, 515 pages. En stock.

Lettre de JSF : S’abonner, c’est utile et c’est gratuit !




Service quotidien gratuit, déjà assuré le matin pour les milliers de lecteurs inscrits. Si ce n’est pas encore votre cas, inscrivez-vous dès maintenant pour recevoir la lettre de JSF au plus vite et régulièrement. Inscription simple ci-dessous.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique de confidentialité.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Comte de Paris : 60 ans d’héritage et d’avenir

https://youtu.be/MEl5wncXQ0M

. Comte de Paris, Site Officiel
. Comte de Paris, Page Facebook 
. Politique Magazine & Revue Universelle
. Maurras.net
. Action Française – Le bien commun

                                    
Je Suis Français (JSF) est aussi sur Twitter/X
                 
Page associée

Commentaires récents

  • lundi 16 Juin 09:45
    Paul Pontenuovvo sur Radu Portocala : À Kiev, la…
    “Un ramasis d’invertis, plus ou moins nazis et droitsdel’hommistes en même temps, se regardant le nombril…”
  • lundi 16 Juin 09:42
    David Gattegno sur Stéphane Rozès au JDD : « la question…
    “La psittacique répétition de «la fin de l’ennemi communiste» pour expliquer l’état géopolitique actuel n’empêche nullement…”
  • lundi 16 Juin 09:21
    Cincinnatus sur Céline Pina : Meurtre d’une surveillante…
    “Les gens de rien « sans culture » (parce que français), ceux dont on « lave le cerveau » à…”
  • lundi 16 Juin 08:50
    David Gattegno sur La fin serait-elle Proche ? Des…
    “Nul n’a de «compétence particulière» en matière immédiatement contemporaine, pour la simple raison que, tous autant…”
  • dimanche 15 Juin 19:24
    Marc Vergier sur La République va juger pour meurtre…
    “P. Builly me semble le plus réaliste. Déjà reconnaissons que les drogues sont, en fait, implicitement…”
  • dimanche 15 Juin 16:04
    JSF sur La fin serait-elle Proche ? Des…
    “A Bruno DE BOUILLANE Merci de votre commentaire. 1. Nous n’avons pas présenté Monique Plaza comme…”
  • dimanche 15 Juin 15:41
    JSF sur Il y a 5 ans, Jean…
    “Merci à Pierre Builly de ces souvenirs précieux qui ont le parfum des choses vécues personnellement…”
  • dimanche 15 Juin 14:11
    Pierre Builly sur La République va juger pour meurtre…
    “@Richard : pourquoi limiter la légalisation au cannabis ? Héroïne, cocaïne, crack et tuttis quanti… Je…”
  • dimanche 15 Juin 11:46
    Bruno DE BOUILLANE sur La fin serait-elle Proche ? Des…
    “quelle est la compétence particulière de cette « spécialiste des troubles du langage » quant à la guerre…”
  • dimanche 15 Juin 11:39
    Grégoire Legrand sur La République va juger pour meurtre…
    “Je vous l’ai dit : la méthode philippine. En Italie, Murat et Mussolini ont réussi, chacun…”
  • dimanche 15 Juin 07:09
    Richard sur La République va juger pour meurtre…
    “Si le trafic de cannabis venait à se transformer en commerce , commerce sur lequel l’État…”
  • dimanche 15 Juin 00:16
    Rémy Chieragatti sur La République va juger pour meurtre…
    “Bonjour, l’Histoire nous apprend que dans un autre domaine en politique « qui veut , peut » ..…”

EXPLOREZ LES TRÉSORS DE NOTRE HISTOIRE

EXPLOREZ LES TRÉSORS DU CINÉMA…

____________________________________

Une collection de vidéos dont un grand nombre exclusives réalisées par l’Union Royaliste Provençale. © URP/JSF – Reproduction autorisée à condition de citer la source.

Chaîne YouTube Je Suis Français. Pour une plus large audience.  (Création récente)

_____________________________________

Péroncel-Hugoz dans JSF

Retrouvez ici..

Et aussi…

_______________________________

Appel aux lecteurs de Je Suis Français : Pour la sauvegarde du patrimoine matériel de l’Action Française !

Participez à l’opération nationale de sauvegarde du patrimoine historique de l’Action Française, lancée par le Secrétariat Général du Mouvement. Tous documents ou objets divers nous intéressent : photos, films, livres, journaux, correspondance, insignes, drapeaux etc. Ecrire à Michel Franceschetti : chetti133@sfr.fr .   

PEUT-ON SORTIR DE LA CRISE ? Une étude intégrale de Pierre Debray dans JSF

Une contribution magistrale à la réflexion historique, économique, sociale, politique et stratégique de l’école d’Action Française. Étude intégrale à la disposition des lecteurs de JSF, notamment étudiants, chercheurs et passionnés d’histoire et de science économiques.  ENTRÉE

Les créations de JSF : Séries, dossiers, études

 

Etudes, séries, dossiers regroupés pour être en permanence disponibles et directement consultables   © JSF – Peut être repris à condition de citer la source Pour y accéder, cliquez sur l’image.

A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.

Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

* Frais de port inclus

  • Contact
  • Mentions Légales
  • Politique de Confidentialité
Je Suis Français © 2019 Tous droits réservés.

Site réalisé par Eva Giraud Web
Retour en haut de page