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Guerre russo-ukrainienne: comment en est-on arrivé là ?

jeudi 21 mars 2024mardi 19 mars 2024 sur JSF
Vladimir Poutine, Stavropol, 5 mars 2024 © Mikhail Tereshchenko/TASS/Sipa USA/SIPA

Le conflit entre la Russie et l’Ukraine est entré dans sa troisième année, mais ses racines sont plus anciennes… En commentaire : pour une politique française vraiment nationale.

Par Didier Desrimais*.  

COMMENTAIRE – Cet excellent article – comme toujours ceux de cet auteur – est paru dans Causeur le 11 de ce mois. On l’appréciera sans doute. Le lecteur en jugera. Mais il faut une politique et, s’efforçant de prolonger en l’actualisant celle qui fut de tous temps la politique extérieure de l’Action Française, qui a longtemps fait référence, JSF a tenté de définir en termes simples la ligne française souhaitable : 1. Ce qui prime, passe donc avant le reste, c’est l’intérêt vital français : de ce point de vue, la guerre russo-ukrainienne n’est pas la nôtre, quels que soient les jugements moraux, extra politiques, qu’il plaira aux uns et aux autres de porter. 2. La France n’y doit engager – même si elle ne l’a déjà que trop fait et devrait le cesser – ni son argent, ni ses armes ou munitions, ni, a fortiori, ses troupes, encore moins doit-elle courir le risque d’une quelconque cobelligérance. 3. Pour l’heure, la France se trouve largement vassalisée par les Etats-Unis d’Amérique et par l’Union Européenne abusivement nommée L’Europe. La France n’est pas directement touchée dans les faits, par l’impérialisme russe (malgré les reculs qu’il nous inflige en Afrique, notamment). Elle aurait donc intérêt à une normalisation de ses relations avec la Russie, comme elle sut le faire en d’autres temps, ne serait-ce que pour faire contre-poids aux pressions étatsuniennes ou aux visées supranationales de l’U.E. Cet article qui va dans ce sens nous donne ainsi l’occasion de rappeler à grands traits les axes de la politique nationale qui devrait s’imposer au patriotisme ou nationalisme français. Nous en sommes fort loin, à coup sûr, sous le règne de ce souverain quelque peu dérisoire que Didier Desrimais appelle, judicieusement, Narcisse 1er.   

 Nos députés ont voté mardi mardi dernier l’accord de sécurité entre Paris et Kiev. Il ne suffit pas de dire, comme Bernard Guetta, « Poutine est stupide ».

La Russie n’aurait pas dû envahir l’Ukraine, la cause est entendue. Mais comment en est-on arrivé là ? De nombreux diplomates et d’anciens ministres considèrent que les pays occidentaux, les États-Unis en premier lieu, ont joué, durant ces trois dernières décennies, une partition géopolitique navrante vis-à-vis des dirigeants et du peuple russes qui se sont sentis humiliés par des États pensant les avoir réduits à faire de la figuration sur la scène internationale après la chute de l’empire soviétique. On l’a oublié mais, aussi incroyable que cela puisse paraître aujourd’hui, Boris Eltsine (en 1994) puis Vladimir Poutine (en 2000) évoquèrent avec le président américain Bill Clinton la possibilité d’une adhésion de la Russie à l’OTAN. Tergiversations, barrage des pays de l’ex-bloc soviétique eux-mêmes demandeurs de la protection américaine et craignant un impérialisme new-look de la Russie, soupçons des pays de l’Europe de l’Ouest – selon l’historien britannique d’origine russe Sergey Radchenko, « en étant trop réaliste et pas assez idéaliste à un moment où il aurait pu faire une différence, Bill Clinton a peut-être contribué à faire de la résurgence impérialiste de la Russie une prophétie autoréalisatrice ».

L’Europe s’américanise d’un côté et s’islamise de l’autre

Nous sommes en 2021. Seize ans après un nouvel agrandissement de la zone d’influence américaine en Europe de l’Est (entrée dans l’OTAN de la Bulgarie, l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie et la Roumanie), se souvenant que les Américains avaient déjà proposé en 2008 l’intégration de la Géorgie et de l’Ukraine dans l’OTAN et que Nicolas Sarkozy et Angela Merkel s’étaient opposés à cette idée en promettant toutefois d’y revenir plus tard, Vladimir Poutine s’enquiert auprès des diplomaties occidentales sur la relance d’un projet d’intégration de l’Ukraine à l’OTAN, ce qui serait pour lui un casus belli. Sur France Culture, lors de l’émission Répliques du 2 mars, Pierre Lellouche, ex-président de l’Assemblée parlementaire de l’OTAN, a rappelé comment la Russie avait officiellement demandé à la mi-décembre 2021 que soit entérinée, en échange du maintien de la souveraineté ukrainienne et de l’ouverture de négociations pour sortir de la crise du Donbass, la non-adhésion de l’Ukraine à l’OTAN. Américains et Européens décident alors d’humilier les Russes en ignorant purement et simplement leur requête, en n’y répondant pas et en laissant planer le doute. Hubert Védrine parlera d’une « provocation dangereuse ». Le 24 février 2022, les troupes russes pénètrent en Ukraine. Un mois après le début des hostilités, alors que Volodomyr Zelensky se dit prêt à négocier directement avec Vladimir Poutine, le petit télégraphiste de Washington, Boris Johnson, se rend à Kiev pour demander au président ukrainien de ne rien négocier du tout, l’assurant du soutien inconditionnel, en armes et en argent, des Américains et des Britanniques. Dès le début, les Américains voient dans ce conflit un moyen radical pour séparer l’Europe occidentale, surtout l’Allemagne, de la Russie. Tous les moyens sont bons. Y compris le sabotage des gazoducs Nord Stream – le 6 février 2022, Joe Biden, lors d’une conférence de presse avec Olaf Scholz, avait prévenu : « Si la Russie envahit l’Ukraine, Nord Stream 2 n’existera plus. Nous y mettrons fin. » À la question : « Comment ferez-vous ? », Biden avait répondu : « Je vous promets que nous serons en mesure de le faire. » Les Américains ont encouragé les Ukrainiens à poursuivre une guerre qu’ils savaient perdue d’avance. En même temps qu’ils espèrent affaiblir militairement la Russie, ils comptent ébranler l’Allemagne et ses prétentions d’extension économique : la charge financière que représente l’achat du gaz américain, quatre fois plus cher que le gaz russe, est en train d’étouffer l’industrie allemande. Au passage, ils vendent leurs avions et hélicoptères militaires aux Allemands et aux Polonais qui chantent l’Europe de la Défense mais achètent américain. La Finlande, à peine entrée dans l’OTAN, débloque 1,7 milliard d’euros pour l’achat de matériel militaire… américain. L’Europe, qui ne sait plus où elle habite, qui s’américanise d’un côté et s’islamise de l’autre, qui achève son agriculture après avoir bradé son industrie, est anéantie par une organisation corrompue dirigée par une Allemagne vassale des États-Unis, l’impératrice Ursula et ses sbires fédéralistes et atlantistes. Les États-Unis, à la recherche de nouveaux marchés et d’un raffermissement stratégique et géopolitique dans la partie la plus orientale de l’Europe, ne voient pas d’un si mauvais œil la continuation du conflit russo-ukrainien. En même temps, ils anticipent l’inévitable après-guerre en envoyant des représentants en Ukraine afin de discuter d’ores et déjà de la reconstruction de ce pays ruiné et de garantir aux entreprises américaines une place de choix lors des futurs appels d’offres dans le cadre de cette reconstruction qui sera essentiellement financée par… l’Union Européenne. Business is business. 

Macron consterne les chancelleries occidentales

Le 25 février dernier, le New York Times a révélé le financement américain, dès 2014, de 12 bases militaires ukrainiennes de renseignement établies tout le long de la frontière russe. Investissement juteux : en 2015, le chef du renseignement militaire ukrainien livre à la CIA des informations importantes sur les sous-marins nucléaires russes. Malgré les réticences des Américains, les services secrets ukrainiens assassinent des leaders russes ou séparatistes. 2014, c’est aussi l’année du coup d’État de Maïdan à Kiev soutenu (fomenté ?) par les Américains afin de chasser un gouvernement considéré comme trop pro-russe. Soulignons encore que ces bases sont installées au moment où les accords de Minsk (Minsk I en septembre 2014 puis Minsk II en février 2015), supervisés par la France et l’Allemagne, sont signés entre l’Ukraine et la Russie afin de tenter de résoudre le conflit entre Kiev et les séparatistes pro-russes du Donbass. Ces accords ne seront jamais véritablement appliqués. L’Ukraine ne respectera pas le point prévoyant une réforme constitutionnelle pour introduire un nouveau statut d’autonomie des deux Républiques séparatistes. Les élections qui devaient avoir lieu sont annulées, les russophones du Donbass sont régulièrement humiliés par le gouvernement ukrainien, des troupes miliciennes ukrainiennes font régner leur loi. « Porochenko d’abord, puis Zelensky ont accepté les principes de l’accord mais ne l’ont finalement jamais appliqué », affirmera l’ancien ambassadeur de France à Moscou, Jean de Gliniasty. Mais ces accords avaient-ils réellement pour objectif de régler les différends entre Kiev et Moscou ? L’ex-chancelière allemande, Angela Merkel, vend la mèche dans un entretien donné à Der Spiegel le 24 novembre 2022 : « Les accords de Minsk ont servi à donner du temps à l’Ukraine. […] Il était évident pour nous tous que le conflit allait être gelé, que le problème n’était pas réglé, mais cela a justement donné un temps précieux à l’Ukraine. » François Hollande confirmera les propos de l’ex-chancelière. Aveuglé par les nombreux discours officiels d’Angela Merkel insistant sur le fait que la levée des sanctions contre la Russie était conditionnée à la mise en œuvre des accords de Minsk, Vladimir Poutine n’a visiblement pas vu le coup venir ; celui-ci est d’autant plus rude que les relations entre l’ex-chancelière allemande et le président russe avaient toujours été excellentes et ont profité aux deux pays, en particulier à l’Allemagne – le gaz russe, abondant et peu cher, a longtemps fait le bonheur des industriels et des ménages allemands.

Soutien à l’Ukraine : un débat vicié

Dirigé par un histrion incompétent et égocentrique, la France est en train de s’échouer sur les rives arides de la politique étrangère et des relations internationales. Au pays de Talleyrand, la nomination de Stéphane Séjourné au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères serait du plus haut comique si elle n’était pas le reflet du délabrement total de l’État français. Au milieu du désastre, Narcisse 1er gonfle son petit torse et convoque les dieux de la guerre qui rient de voir ce nain se prendre à la fois pour Jupiter et Mars. Les chancelleries occidentales sont consternées et commencent à se demander si le tourbillonnant président français a toute sa raison. Par pur réflexe, le président russe rappelle qu’il possède l’arme atomique – en réalité, la tarasconnade de notre divin ridicule a dû amuser Poutine, l’homme aux douze cancers guéris par les plantes. En revanche, l’ex-KGBiste et président actuel d’un pays où la propagande politique est considérée depuis plus d’un siècle comme un art à part entière, a certainement apprécié à sa juste valeur la puissance de la propagande occidentale après l’annonce de la mort d’Alexeï Navalny : devenu une icône intouchable, Navalny a miraculeusement échappé aux investigations des journalistes occidentaux qui auraient pu rappeler le passé plus que douteux de cet ultra-nationaliste réputé pour son racisme, pour sa xénophobie, pour un clip dans lequel il préconisait la « déportation » des migrants et pour une vidéo dans laquelle il expliquait, gestes à l’appui, comment exterminer les mouches, les cafards et les… musulmans tchétchènes. Si le monde occidental s’est prosterné devant la dépouille de Navalny, il n’en a rien été à Kiev – et pour cause : les Ukrainiens ont souvenir de quelques déclarations de Navalny qui leur restent en travers de la gorge, en particulier celles sur un « monde russe » plus large que la Russie et une politique étrangère russe devant par conséquent viser« au maximum l’intégration avec l’Ukraine et la Biélorussie ». Les Occidentaux accusent Vladimir Poutine d’avoir harcelé Alexei Navalny jusqu’à le faire mourir mais se soucient assez peu du sort de Julian Assange. Poursuivi par les l’États-Unis, isolé dans une prison de haute sécurité au Royaume-Uni, très affaibli physiquement et psychologiquement, le lanceur d’alerte australien est dans l’attente d’une possible extradition vers un pays qui l’a d’ores et déjà condamné à 175 ans d’emprisonnement pour avoir révélé les exactions des services secrets et militaires américains. Curieusement (ou pas), les médias occidentaux s’épanchent depuis des années sur le cas de Navalny mais restent relativement discrets sur celui d’Assange.  

Dans un entretien récent donné au Figaro, Jean-Pierre Chevènement souligne l’incohérence politique et l’amateurisme géopolitique d’Emmanuel Macron. « Les intérêts vitaux de la France ne se situent pas en Ukraine », rappelle-t-il. L’ancien ministre de la Défense souhaite, au sujet de l’engagement de la France dans le conflit russo-ukrainien comme au sujet d’une « européanisation de la dissuasion nucléaire », un débat au parlement, débat qui aurait dû avoir lieu depuis longtemps s’il existait une véritable opposition parlementaire pour le réclamer. Ce débat sur l’engagement de la France en Ukraine doit enfin se tenir à l’Assemblée puis au Sénat cette semaine. À trois mois des élections européennes, le vote parlementaire qui suivra ce débat est un piège grossier reposant sur un simplisme manichéen et strictement politicien, au plus mauvais sens du terme : soit vous votez pour le plan de soutien de la France à l’Ukraine – et alors, bravo, vous êtes dans le camp du Bien – soit vous votez contre – et alors, rien à faire, quels que soient vos arguments, vous devenez un suppôt de Poutine, un traître, un espion à la solde du régime russe, un anti-démocrate en puissance. Une grosse claque électorale étant annoncée, la stratégie macronienne pour les élections européennes se résume à « faire barrage au RN » et, conjointement, à pousser sur le devant de la scène le conflit en Ukraine afin d’escamoter les sujets primordiaux que sont l’immigration, la sécurité, l’énergie, l’agriculture, le rôle de la Commission, du Parlement européen, l’avenir des traités, etc. Les électeurs seront-ils dupes ?

Sur France Culture, face à un Bernard Guetta hoquetant une argumentation chétive sur l’air de « Poutine est stupide »,  Emmanuel Todd a affirmé que « de fait, les Russes ont gagné la guerre ». Le mieux que la France puisse faire, a déclaré de son côté Pierre Lellouche, est de tenter de prendre part aux prochaines négociations qui ne manqueront pas d’avoir lieu lorsqu’il apparaîtra que l’Ukraine, économiquement, démographiquement et militairement exsangue, ne peut tout simplement pas gagner cette guerre. Négociations qui s’avéreront difficiles, qui ne devront humilier aucune des parties, qui demanderont par conséquent beaucoup de doigté diplomatique ainsi qu’une parfaite connaissance de l’histoire intriquée des pays belligérants et des enjeux géopolitiques de toute la région. Autant dire que la France, si elle est représentée par Narcisse 1er et M. Séjourné à ce moment-là, fera tapisserie.   ■


 

Didier Desrimais

 

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1 commentaire pour “Guerre russo-ukrainienne: comment en est-on arrivé là ?”

  1. cording1
    mercredi 20 mars 2024 at 11 h 24 min | Répondre

    En tant que Français soucieux de voir son pays quitter à nouveau le commandement militaire intégré de l’Otan j’espère que cet immature président ne nous engagera pas de façon irresponsable dans une guerre qui n’est pas du tout la nôtre. En effet la Russie ne nous a pas agressé donc nous ne sommes pas directement concernés.

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Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

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Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

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