Aller au contenu

JE SUIS FRANÇAIS

Le quotidien royaliste sur la toile

Search
  • Accueil
  • Politique
    • France
    • Europe
    • Monde
    • Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade
    • En deux mots, réflexion sur l’actualité
    • Défense nationale
    • Social, economie…
    • Chiffres en vrac sur la France actuelle
    • Grain de sel … actualité
  • Comte de Paris
    • Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France
  • Annonces
    • Activités, Presse, Mouvement
    • Annonces à propos de JSF
  • Société
    • Immigration – Insécurité – Anti racisme
    • Education
    • Justice
    • Patrimoine, Racines, Traditions
    • Politique et Religion
    • Humour
  • Vidéo-Audio
    • Vidéos
    • Audios
  • Idées-Culture
    • GRANDS TEXTES
    • Idées, Histoire, Culture & Civilisation
    • Patrimoine cinématographique [P. Builly]
    • Ephémérides
    • Visuels
    • Nos lecteurs ont la parole…
    • Aux nouveaux lecteurs qui nous découvrent…
    • Journal d’un royaliste français au Maroc
  • République ou Royauté
    • République ou Royauté ?
    • Révolution – Terrorisme – Totalitarisme
  • Dossiers
    • Lire Jacques Bainville
    • Bainville : Journal année 14
    • Pierre Debray – Une politique pour l’an 2000
    • Pierre Debray – Maurras et le Fascisme
    • L’Action française dans la Grande Guerre
    • Mai 68
  • RechercheRecherche

Les Appendices IX et IXbis de Kiel et Tanger, par Charles Maurras. 1/2 : l’appendice IX, « Dans cent ans ».

jeudi 17 mars 2011 sur JSF

          Il constitue le deuxième de notre série des Grands textes, cet inoxydable 24ème chapitre de Kiel et Tanger :

          https://www.jesuisfrancais.blog/2008/07/24/le-24-chapitre-de-kiel-et-tanger.html

          Mais l’ouvrage est suivi de plusieurs appendices, dont les IX et IX bis sont les plus étonnants : la lucidité et les vues pénétrantes qui sont celles de Maurras dans ces deux annexes ne sont-elles pas, en effet, confondantes ? Si, sur tel ou tel point, ses vues ont été infirmées, il n’en demeure pas moins que sur le plus grand nombre, et les plus importants, ses prévisions et intuitions ont, au contraire, été confirmées par la suite.

        Ces deux appendices mériteraient, donc, en toute logique, de figurer à la suite du deuxième Grand Texte, mais leur longueur risquerait alors d’alourdir l’ensemble. Et, si on les propose séparément, faut-il les considérer, pris en eux-mêmes comme des Grands Textes ? Quoi qu’il en soit, il paraît utile, au moins, de les présenter à la lecture, en remerciant au passage le site Maurras.net qui les a numérisés, un aspect parmi tant d’autre de l’énorme travail qu’il a accompli, et qu’il continue d’accomplir…..   

        Nous sommes plus d’une fois revenu sur ce thème : le monde va-t-il vers une unification, ou une différenciation ? Plus vraisemblablement, il est tiraillée par les deux tendances à la fois, et l’utopie, l’inanité, vient de ceux qui pensent que, dorénavant, c’est fini, c’est ainsi, on ne pourra plus raisonner comme avant;jusque dans l’Église catholique, existe cette croyance, parfois naïve, en un mouvement irrésistible, perpétuel et linéaire, qui nous mènerait vers toujours plus de mondialisation, rendant peu à peu définitivement caducs les cadres anciens, par exemple les Nations : de naïve, la croyance devient dangereuse…. Mais les faits sont là, et ils sont têtus.

        Comment ne pas voir que la Crise, précisément, vient de ramener les États nationaux sur le devant de la scène ? Et qu’elle vient de montrer que, lorsque tout s’écroule, seule reste… la Nation !

        Contre les rêveurs, contre « Les princes des nuées » (titre d’un de ses livres), c’est Maurras qui a eu, qui a raison, sur ce sujet majeur. Et Boutang le faisait bien remarquer, dans sa conférence dont nous avons mis la vidéo en ligne sur ce Blog, lorsqu’il parle de la victoire intellectuelle complète de Maurras….

MAURRAS KIEL ET TANGER.jpg

I : Appendice IX : « Dans cent ans »

Une partie de l’univers s’unifie, mais une autre tend à se diviser, et ces phénomènes de désintégration, comme dirait Herbert Spencer, sont très nombreux. Notre ami Frédéric Amouretti avait profondément étudié ce point de vue.

        J’avais résumé quelques-uns des travaux d’Amouretti (si largement corroborés depuis) dans la Revue hebdomadaire du 20 août 1892, à propos du livre de M. Charles Richet : Dans cent ans. M. Richet ne prévoyait que l’unification croissante de la planète. Je lui répondais avec la timidité de mon âge :

        Le monde tend à l’unité, dit-il à un moment, et je préférerais qu’il s’en tînt à paraphraser cette belle hypothèse platonicienne. Mais il la traduit en tableaux historiques et géographiques qui me désolent. L’unité de M. Richet tuera les langues, les nations et toute la variété de l’univers. Au pambéotisme qui nous régit, M. Richet fait succéder un panyankeesme abominable. Mais les statistiques dont il se sert donnent une envie folle de le combattre. Il ne serait point difficile de rassembler contre ces demi-certitudes un ramassis de demi-certitudes équivalentes. Par exemple, un poète, qui ne penserait point que l’unité fût bien souhaitable en ce monde ou qui n’admettrait ce règne de la monade que dans les systèmes supérieurs des sciences ou dans les figures de l’art, un poète pourrait répondre, et, selon moi, sans trop de désavantage, aux savants arguments de M. Richet.

        Il dirait :

        Sans doute, mon cher maître, le monde futur est destiné à voir se raccourcir l’espace et s’abréger le temps. La vapeur, l’électricité, ne peuvent manquer d’aboutir à multiplier les rapports des hommes et des nations. Mais cela veut-il dire que les signes distinctifs des races soient plus proches d’être effacés? Les nations seront-elles plus portées à confondre leurs langues et à noyer au même flot leurs souvenirs ? Laissez-moi n’en rien croire.

        Une observation superficielle permet seule de dire que le voisinage et, pour ainsi parler, le frottement des individus amoindrissent les différences qui les séparent. Nulle part les distinctions nationales ne sont mieux affirmées que parmi les populations des frontières qui se trouvent pourtant en relation continuelle de voisinage et de parenté. L’exemple de l’Alsace est assez éclatant… Les peuples qui se détestent le plus sont ceux-là mêmes qui se fréquentent le plus.

        La raison en est simple. Les rencontres fréquentes multiplient les occasions où l’on voit s’accuser profondément les traits particuliers de chaque sensibilité et de chaque pensée. On se connaît. La connaissance est loin d’envelopper nécessairement l’amitié. Paul Bourget, qui visite un peuple par saison, a déjà remarqué que ces fréquentations où nos cosmopolites ont fondé tant d’espoir ont plutôt compromis l’idée qui leur est chère. « Plus j’ai voyagé, écrit-il dans ses Sensations d’Italie, plus j’ai acquis l’évidence que, de peuple à peuple, la civilisation n’a pas modifié les différences radicales où réside la race. Elle a seulement revêtu d’un vernis uniforme les aspects extérieurs de ces différences. Le résultat n’est pas un rapprochement. » Il pourra bien être créé une langue internationale, la lenga catolica d’Alberto Liptay ou le célèbre volapük, qui rendra les mêmes services que rendait le latin aux voyageurs du moyen âge (car on sut, en ces jours de pèlerinage incessant, unir le particularisme à cette large bienveillance internationale sans laquelle il n’est point de haute intelligence ni de profondes conceptions) ; les savants pourront adopter, comme les diplomates et comme nos marins sur les Échelles du levant, un idiome à leur usage : cela sera commode, profitable et sensé. Mais qu’à la suite de ces conventions on doive ravir aux peuples leur langage et qu’il y ait, de notre temps, des raisons légitimes de s’attendre à ce rapt, voilà qui semble contredit par tout ce que l’on sait de l’histoire contemporaine.

        Voyez plutôt ce qui se passe dans ces États-Unis, pour lesquels vous rêvez un avenir si merveilleux et desquels vous prédisez avec assurance : « Dans l’Amérique du Nord, on parlera anglais. » Êtes-vous bien certain que toutes ces populations s’y doivent servir de l’anglais ? La vérité est qu’il se reforme là-bas une sorte de vieux continent et que les immigrants y parviennent à retenir tous leurs traits nationaux. Les Français du Canada, si fidèles à leur parler, envahissent les États du Nord, ceux-là mêmes qui forment la Nouvelle-Angleterre, premier berceau de l’Union, et leurs minorités sont si compactes et si solidement organisées qu’ils ont pu, dans le Maine, faire élire deux sénateurs et quatre députés de leur langue.

        Les Allemands, dont on vantait jadis la facile assimilation, se sont groupés dès qu’ils en ont trouvé le moyen. Ils pullulent dans les États du Michigan et du Wisconsin. À Chicago, leur nombre est supérieur à celui des Américains de naissance. À Milwaukee, où il est question de fonder une université allemande, ils étaient naguère maîtres absolus du gouvernement ; il est vrai qu’ils ont été récemment battus aux élections municipales, mais par des Polonais tout aussi particularistes. Ils ont sept cents journaux. Il y a dans l’Union américaine trois États dans lesquels l’enseignement de l’allemand est obligatoire au même titre que celui de l’anglais. Les congrégations luthériennes allemandes sont distinctes des autres. Les catholiques allemands ont leurs paroisses spéciales, et leur Société de Saint-Raphaël, qui a tenu en échec le zèle un peu brouillon de l’évêque irlandais de Minnesota, ne cesse d’exiger de Rome que l’épiscopat ne soit point choisi uniquement dans le clergé de langue anglaise. C’est l’idée religieuse qui organise, on le voit, la solidarité nationale. Les Danois, les Suédois, les Norvégiens, au nombre d’un million, ont leurs congrégations particulières et leur organisation ecclésiastique séparée. Les Hongrois, fort nombreux autour des mines de pétrole de la Pennsylvanie, forment également un noyau résistant. Les Italiens commencent à se serrer de même, et ils ont obtenu de Rome l’envoi d’un clergé qui fît résonner le si. – Un César ne dissoudrait point tant de forces agglomérées. Si les pouvoirs américains s’en montrent soucieux, ils n’ont tenté rien jusqu’ici contre ce mouvement qu’ils sentent plus fort que tout.

        Mgr Ireland semble vouloir serrer les liens de l’Union. Il a pu faire décréter au concile de Baltimore « le catéchisme unique » pour toute l’étendue des États-Unis. Mais, peut-être un peu malgré lui, les Pères ont ordonné que ce catéchisme fût traduit en français, en italien, en allemand, en espagnol, en portugais, en polonais, en hongrois, en tchèque et dans les langues indiennes…

        Un semblable spectacle doit assurément préparer à l’Amérique des destins très particuliers ou tout à fait pareils aux destins de la vieille Europe. Ou ces nationalités distinctes iront s’accentuant, se différenciant jusqu’à l’inimitié – et ce sera le démembrement de la plus puissante unité ethnique de l’avenir. Ou, sage, instruit par nos expériences européennes de la vanité des discordes et, par ses souvenirs, des bienfaits de l’union dans la liberté, le peuple américain élargira les bases de sa constitution et formera une sorte d’Europe nouvelle, apaisée et harmonisée par une habile entente du principe fédératif, tous les instincts, toutes les langues étant, plus qu’aujourd’hui, livrés à leur propre vertu… Et, cher maître, dans les deux cas, votre cité des hommes et cet unitéisme dont vous ne doutez point semblent s’évanouir du pays des probables où vous avez voulu un moment les placer…

        Le divorce de la Suède et de la Norvège, les mouvements sécessionnistes qui n’ont pas cessé d’agiter l’Empire ottoman, la fédération australienne, la fédération de l’Afrique du Sud, les progrès du mouvement autonomiste en Égypte, la résistance de l’Alsace-Lorraine et de la Pologne prussienne aux entreprises de germanisation, le mouvement catalaniste à demi triomphant sous le ministère Maura, le retour accentué de l’esprit public français au sentiment provincial, mille autres faits contemporains peuvent témoigner que la centralisation et l’unification sont loin d’être fatales, que les tendances à la désintégration abondent par tout l’univers et que Frédéric Amouretti ne se trompait pas en montrant que l’œuvre du XIXe siècle n’avait pas été purement et simplement une évolution régulière de tous les peuples vers l’unité.

Categories Non classé
Post navigation
La Dizaine de MAGISTRO…
Aujourd’hui, dans les Ephémérides : début de la Commune, et jugements de Bainville, Maurras, Bernanos, Zemmour……

Archives

Notre marque

Peinture par un jeune artiste Prix de Rome, offerte à l’U.R.P. pour le 7e centenaire de la mort de Saint-Louis [1970] © U.R.P. [Peut être reprise sur autorisation écrite.]

Prince Jean : « Le rôle politique, je l’ai »

« Le rôle politique, je l’ai sans avoir besoin d’être élu. C’est tout à fait dans le rôle d’un prince de pouvoir sortir un peu de cet échange partisan et de s’intéresser au bien commun, à l’intérêt général de la Cité. »

_____________________________________

Direction de Je Suis Français
Yves Boulon – Sylvie Gaud-Hueber – Jean Gugliotta – Jean-Louis Hueber – Paul Léonetti – Gérard Pol.         
_____________________________________

Ce quotidien a un coût. Son audience un prix. Aidez-nous ! Faites un don ! À partir de 5 €. Merci !

Faire un don ? Le plus simple, c’est PayPal. Dons en ligne – en toute sécurité. Utiliser le bouton PayPal ci-dessous

Sinon, par chèque. Ordre : Je Suis Français – Adresse postale : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE

__________________________________

Rubriques Chroniqueurs

POLITIQUE
. Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade. Contribution â l’expression de notre ligne politique [France & Étranger].
. En deux mots, par Gérard Pol. Réflexion sur l’actualité française et internationale.
. Idées et débats par Pierre de Meuse.
. Les chroniques moyen-orientales d’Antoine de Lacoste,
. Les analyses économiques de plusieurs spécialistes.
. Dans la presse et Sur la toile. Des réactions courtes aux articles, vidéos, audios, les plus marquants.
. Les GRANDS TEXTES politiques.
CULTURE
. Péroncel-Hugoz : Journal du Maroc et d’ailleurs [Inédit]. Autres contributions : Histoire, géographie, lectures et reportages.
. Les études de Rémi Hugues ; Histoire, sociologie politique, philo et actualité. Des séries originales et documentées.
. Patrimoine cinématographique et autres sujets  : les chroniques dominicales de Pierre Builly 
. Les éphémérides.
ANNONCES DES PRINCIPALES ACTIVITÉS
du monde royaliste. Presse et revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc.
COMTE DE PARIS – FAMILLE DE FRANCE
. Messages, tribunes, activités, du Prince Jean, Comte de Paris. Les événements de la Famille de France. Et complément : les récits et choses vues de Francesca.
__________________________________

L’Histoire de France  jour après jour. Personnages célèbres, écrivains, savants, artistes, religieux, chefs militaires. Événements majeurs. Œuvres d’art, monuments et sites d’un héritage exceptionnel : le nôtre.

     _____________________________

CLIQUEZ SUR LES IMAGES   

_________________________________

Se renseigner – S’abonner

____________

S’abonner sur le site de Politique magazine : 

____________________________ 

Les principales activités royalistes annoncées ici. Revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc. Image : © GAR


(Sur le site de l’Action Française)
_________________________________ 

Le site géostratégique d’Antone de Lacoste _________________________________ 

Fédération Royaliste Provençale
Fédération régionale de l’Action Française

BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE. Messagerie : urp@outlook.fr

(ATENTION : l’adresse 48 rue Sainte-Victoire, 13006 MARSEILLE, est supprimée). 
_______________________________

Livres à la une

Le dernier ouvrage de Jean-Paul Brighelli, – agrégé de Lettres, qui a enseigné pendant 45 ans :  « La fabrique du crétin – Vers l’apocalypse scolaire« , le tome 2 de son succès d’édition, déjà vendu à 150 000 exemplaires. Cliquez sur l’image.

_________

L’Action française est aujourd’hui le plus ancien et, dans sa continuelle vitalité, le plus constamment jeune des mouvements politiques, toutes tendances confondues. Elle se renouvelle à chaque génération, dans la permanence, sans cesse ravivée et adaptée, d’une doctrine, d’une vision, d’une action. Cliquez sur l’image.
__________________________________

JSF recommande à ses lecteurs d’adhérer à l’Action Française

Chers lcteurs, il ne suffit pas de nous lire. Si vous le souhaitez, si vous le pouvez, nous vous recommandons d’adhérer à l’Action Française, pour soutenir, renforcer, participer au mouvement royaliste. L’année commence, c’est le moment ! Cliquez sur l’image !   JSF
__________________________________

Bernard Lugan : Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentancePrésentation – Table des matières – Commandes  [CLIQUER]

__________________________________

Livres recommandés…

Pierre de Meuse. Derniers ouvrages parus

 

 

 

 

 

Idées et doctrines de la Contre-Révolution, préface de Philippe Conrad.  DMM – 2019.
Le dogme de l’antiracisme, origine, développement et conséquences, préface de Bernard Lugan,  DMM – 2024.
Informations – Achats : Cliquez sur les images.
Annie Laurent : L’Islam. Pour s’informer sérieusement …

Pour en savoir plus sur cette indispensable étude, pour commander : ICI

__________________________________


Envois postaux : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE 
Courriel : contact@jesuisfrancais.blog

Librairie de Flore

Cliquez sur l’image pour accéder aux produits de la Librairie de Flore ! Livres, revues, boutique …

L’incontournable ouvrage de Charles Maurras enfin disponible. 15,00€, 515 pages. En stock.

Lettre de JSF : S’abonner, c’est utile et c’est gratuit !




Service quotidien gratuit, déjà assuré le matin pour les milliers de lecteurs inscrits. Si ce n’est pas encore votre cas, inscrivez-vous dès maintenant pour recevoir la lettre de JSF au plus vite et régulièrement. Inscription simple ci-dessous.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique de confidentialité.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Comte de Paris : 60 ans d’héritage et d’avenir

https://youtu.be/MEl5wncXQ0M

. Comte de Paris, Site Officiel
. Comte de Paris, Page Facebook 
. Politique Magazine & Revue Universelle
. Maurras.net
. Action Française – Le bien commun

                                    
Je Suis Français (JSF) est aussi sur Twitter/X
                 
Page associée

Commentaires récents

  • jeudi 26 Juin 09:59
    Raulot sur « Réarmer l’Europe… en colonie des États-Unis…
    “C’est bien la chaire de métaphysique que Pierre Boutang a occupée à la Sorbonne. Luc Ferry…”
  • jeudi 26 Juin 09:26
    Claude Armand Dubois sur « Réarmer l’Europe… en colonie des États-Unis…
    “Monsieur Ferry qui pérore sur radios, télévisions et journaux, n’a t il pas signé à l’époque…”
  • mercredi 25 Juin 07:56
    Claude Armand Dubois sur La controverse du coût de l’immigration…
    “Est ce que l’évaluation du coût comprend les transferts d’argent à l’étranger, type Western Union? Les…”
  • mercredi 25 Juin 06:32
    Richard sur Humour & Société ▬ Samuel Fitoussi :…
    “En effet, j’ ai hésité .”
  • mardi 24 Juin 17:48
    Marc Vergier sur La controverse du coût de l’immigration…
    “Des chiffres, des chiffres avec des décimales bien nettes, calculés on ne sait comment puisqu’on ne…”
  • mardi 24 Juin 14:38
    Asinus sur « Union des droites : pourquoi la…
    “Le vrai hiatus est ailleurs: Europe ou France. Hélas, toutes ces droites « de gouvernement » sont pour…”
  • mardi 24 Juin 14:34
    NOEL Hugues sur Humour & Société ▬ Samuel Fitoussi :…
    “C’est du texte de Fitoussi….qu’il s’agissait »”
  • mardi 24 Juin 13:46
    David Gattegno sur Michel De Jaeghere : « La…
    “«Socrate, ce plébéien inculte», a écrit Nietzsche quelque part… Mais ce n’est pas toujours exact, selon…”
  • mardi 24 Juin 10:22
    Marc Vergier sur « Union des droites : pourquoi la…
    “JSF sceptique, avec raison. L’élection venue, les droites seront démariés par les media. L’une redevenue « de…”
  • mardi 24 Juin 09:16
    Antiquus sur Michel De Jaeghere : « La…
    “Cher Grégoire, D’abord Socrate n’est pas le fondateur de la ohilosophie, puisqu’on connaît les présocratiques. Non…”
  • mardi 24 Juin 08:55
    Paul Pontenuovvo sur « Union des droites : pourquoi la…
    “Ce qui bloque tout rassemblement des « droites » c’est le nombrilisme. A cela se rajoute une sorte…”
  • lundi 23 Juin 17:07
    Claude Armand Dubois sur Le triste anniversaire du 23 juin…
    “Le traité de Versailles, imposé par Wilson et Clemenceau, portait l’inévitabilité de la guerre suivante d’après…”

EXPLOREZ LES TRÉSORS DE NOTRE HISTOIRE

EXPLOREZ LES TRÉSORS DU CINÉMA…

____________________________________

Une collection de vidéos dont un grand nombre exclusives réalisées par l’Union Royaliste Provençale. © URP/JSF – Reproduction autorisée à condition de citer la source.

Chaîne YouTube Je Suis Français. Pour une plus large audience.  (Création récente)

_____________________________________

Péroncel-Hugoz dans JSF

Retrouvez ici..

Et aussi…

_______________________________

Appel aux lecteurs de Je Suis Français : Pour la sauvegarde du patrimoine matériel de l’Action Française !

Participez à l’opération nationale de sauvegarde du patrimoine historique de l’Action Française, lancée par le Secrétariat Général du Mouvement. Tous documents ou objets divers nous intéressent : photos, films, livres, journaux, correspondance, insignes, drapeaux etc. Ecrire à Michel Franceschetti : chetti133@sfr.fr .   

PEUT-ON SORTIR DE LA CRISE ? Une étude intégrale de Pierre Debray dans JSF

Une contribution magistrale à la réflexion historique, économique, sociale, politique et stratégique de l’école d’Action Française. Étude intégrale à la disposition des lecteurs de JSF, notamment étudiants, chercheurs et passionnés d’histoire et de science économiques.  ENTRÉE

Les créations de JSF : Séries, dossiers, études

 

Etudes, séries, dossiers regroupés pour être en permanence disponibles et directement consultables   © JSF – Peut être repris à condition de citer la source Pour y accéder, cliquez sur l’image.

A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.

Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

* Frais de port inclus

  • Contact
  • Mentions Légales
  • Politique de Confidentialité
Je Suis Français © 2019 Tous droits réservés.

Site réalisé par Eva Giraud Web
Retour en haut de page