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Les aventures d’une bourgeoise de Paris, roman-feuilleton de votre été

vendredi 4 août 2023vendredi 4 août 2023 sur Rémi Hugues

— Je vous dis, moi, que telle passion est sans excuses. En s’y laissant prendre, ce jouvenceau de malheur est devenu le dernier des lâches.

— Je vous réponds : la femme est dangereuse comme un serpent ; il faut plaindre ceux qu’elle enlace de ses liens.

— Pssst ! telle comparaison n’est point flatteuse ; gardez donc votre pitié pour cette enfant qui, n’ayant jamais connu la tendresse d’une mère, car la sienne, pour un amour coupable, avait abandonné son berceau, méritait mieux que de donner, encouragée par moi, hélas ! tout son cœur à un félon !

Cette fois l’émotion du chevalier fut trahie par sa voix, quand il reprit :

— Crimes d’amour peuvent mener à chemin de gloire. Dans votre implacable vertu, vous êtes trop sévère pour Lusignan.

— Vous le connaissez donc ?

Ce dialogue fut interrompu par un susurrement de Gaucher.

— Chut ! une barque nous suit.

Dans le grand silence, un bruit de rames s’entend : l’autre esquif doit être plus léger, puisqu’il gagne de vitesse.

— Ils vont nous rejoindre, gémit Gaucher ! nous sommes perdus si vous oubliez que vous êtes des trépassés.

Ah ! qu’il est difficile de faire le mort devant le péril ! Cependant, ceux qui se sont condamnés à ce rôle n’y failliront pas. Les deux chaloupes sont maintenant tout près l’une de l’autre, un dialogue s’engage entre leurs bateliers respectifs.

— Que portez-vous ? le Soudan vous ordonne de nous le déclarer, demandent les poursuivants.

— Ce sont, répond un des rameurs, deux cadavres de chiens que l’on mène avec les autres pourrir dans leur terre.

Un choc se produit : l’un des infidèles, d’un saut rapide, s’est jeté d’un esquif dans l’autre ; il prend la torche qui sert de fanal, écarte les joncs desséchés et aperçoit les deux corps immobiles.

Il y eut alors, pour les deux ensevelis vivants, des secondes d’affreuse anxiété ; mais le suaire plaqué sur l’une des faces ne fait pas un pli, le casque abaissé du guerrier garde sa rigidité de fer quand, à deux reprises différentes, la torche les effleure de sa cuisante caresse. Un doute, cependant, restait à l’agresseur.

— Il n’y a que le feu, dit-il, pour nettoyer telle vermine !

Dans un rire diabolique il agite son brandon sur les sèches brindilles qui s’enflamment en crépitant.

Mais, voici que les morts se sont relevés ; l’un d’eux, dont la taille paraît démesurée, brandit à deux mains son épée à double tranchant ; l’autre, écartant son suaire, se dresse tout blanc sur le fond sombre du ciel. Les deux rameurs affolés se sont jetés à la nage et, seul nautonier maintenant de ce tragique esquif, Gaucher, se levant d’un bond, saisit avec un long crochet de fossoyeur le bord de l’autre barque.

Alors, un corps à corps formidable s’engage ; la terrible épée tournoie sans cesse, en un moulinet mortel, tandis que Gaucher, se servant de son crochet comme d’une framée, enlève des lambeaux de chair aux corps qu’il atteint. Tels coups ne peuvent être portés par des humains : ceux que n’ont point encore massacrés ces spectres redoutables s’enfuient à la nage. Possesseurs maintenant de la barque qui voulait les prendre, les trois fugitifs restent épouvantés de leur victoire, devant le rouge sillon qu’ils laissent au fil de l’eau.

Ému encore, à la pensée du danger auquel il vient d’échapper, le trio victorieux doit reprendre les rames, que l’absence de bateliers va le forcer à manœuvrer lui- même ! Mais Gaucher, chose étrange, est le premier à retrouver ses esprits ; il a pour toujours rejeté sa cagoule et, dans l’intense surprise que lui causent ses prouesses, il agite son aviron comme un trophée et invective encore l’ennemi disparu.

— Mon frère de lait, lui dit Mahault, je comptais bien sur ton dévouement, mais je me demande encore où tu as trouvé le sang-froid qui nous a sauvé la vie.

— Dame, j’en suis moi-même tout esbauby. La bravoure doit se gagner, comme la fièvre, mais pour que je l’aie prise si vite avec celui-là, il faut qu’il soit Satanas ou Messire Saint-Michel !

Maintenant toute alarme est passée : les deux hommes sont courbés sur les avirons, et le vent s’étant levé pousse la barque, qui bondit comme une coquille de noix. Peu à peu, le brouillard se dissipe, une ligne indécise encore annonce l’aube, une de ces aubes égyptiennes limpides et tièdes, telles que l’Occident n’en connut jamais. Dans cette lueur indécise, le fleuve paraît immense comme la mer ; quelques flamants se réveillent, traçant en l’air le cercle rose de leur vol ; au loin, la masse imposante de Damiette se lève au-dessus des remparts, encore enveloppés d’ombre, et dans le ciel, où meurent les dernières étoiles, un pâle croissant de lune reste, comme pour en reprendre possession, au-dessus d’un de ces minarets que lui dispute la Croix.

La barque arrive dans ce port, où quelques vaisseaux sont mouillés au large, tels de grandes chimères assoupies. Tout dort aussi sur la berge ; seul, un garde, mal éveillé, veut empêcher les nouveaux venus d’y atterrir. Cependant, désarmé par le mot de passe que lui jette le chevalier il leur tend la main, et, en arrivant sur cette terre que tant de noble sang versé avait rendue Franque, Mahault eut envie de la baiser.

Elle était bien orientale, pourtant, cette ville aux rues étroites, aux moucharabiés en saillie, et, malgré l’empreinte chrétienne qu’on avait essayé de lui donner en ces derniers mois, elle gardait l’air d’une courtisane orientale à laquelle on aurait imposé en hâte un manteau de pénitente. Les nouveaux débarqués pouvaient contempler tout à leur aise la solidité des remparts, car les portes ne s’ouvraient devant eux qu’avec une extrême lenteur ; à chaque nouvelle enceinte, ils devaient parlementer longtemps, mais ils pouvaient montrer un tel gage que toute barrière tombait devant lui. Le lieutenant chargé ce jour-là de garder la Place, un Angevin, appelé d’Argencé, voulut même les accompagner jusqu’au Palais.

Ancienne résidence de l’Émir, il élevait sur une place plantée de sycomores sa façade de marbre. La porte voûtée par laquelle on y accédait, ne s’ouvrit aussi qu’après une longue attente ; elle donnait sur une cour intérieure, où des colonnettes d’une exquise légèreté reliaient les unes aux autres des ogives de briques ajourées comme une dentelle, et auxquelles les premiers feux de l’aurore posaient à ce moment une sertissure de rubis.

Le treillage doré qui voilait l’une des fenêtres se releva, encadrant la tête chenue d’un très vieux chevalier ; il mit un doigt sur ses lèvres, et, branlant le chef, d’un air malcontent, vint à petits pas retrouver dans la cour le groupe qui l’y attendait.

— Qui êtes-vous, dit-il d’un ton courroucé, pour venir, à cette heure, troubler le repos de la Reine ? nul ne sait encore que cette nuit elle a donné un fils au Roy !

Lorsque Mahault eut expliqué la mission dont elle était chargée, le ton du vieillard changea.

— Soyez les bienvenus, dit le vénérable écuyer, mais ne m’en veuillez point de vous faire attendre ! je dois préparer la Reine : cette joie serait dangereuse pour elle qui, les jours derniers, croyant son époux occis par les Sarrazins, était déjà résignée à subir même sort.

— Tous craignaient comme elle le sac de la ville, dit d’Argencé, et les nobles dames, ses compagnes, se sont enfuies sur ces galères que vous voyez là-bas au large.

— Il en est ainsi, conclut le vieil écuyer, le malheur a d’ordinaire peu de courtisans ; la Reine de France n’eut, pour l’assister cette nuit, que sa fidèle servante Marie des Bonnes Vertus, et un pauvre vieil homme comme moi. Elle dort en ce moment d’un précieux somme, qu’il serait inhumain d’interrompre ; entrez dans cette chambre, on vous préviendra lorsqu’il sera loisible de vous introduire.

Avec de grands égards, on conduisit les voyageurs dans une pièce voûtée, sombre et fraîche, sur le dallage de laquelle un tapis moelleux était étendu. Des rafraîchissements furent offerts, en des vases curieusement ciselés ; mais ce luxe, auquel Mahault cependant n’était point insensible, semblait gêner son mystérieux compagnon, et quand il eut, en aussi peu de mots que possible, donné au sire d’Argencé quelques détails sur les batailles des jours précédents, on sentit la hâte qu’il avait de reprendre et son mutisme et sa course aventureuse, pour rejoindre ceux qu’il avait laissés en péril.

— Vous ne partirez point, lui dit Mahault, avant que je n’aie été reçue : cela vous permettra de donner au Roy nouvelles de son nouveau-né.

Le lieutenant d’Argencé s’approcha à son tour :

— Il se trouve que nous avons besoin d’un messager sûr, pour porter aux chefs de l’expédition des plis venus de France ; ils ne sauraient, seigneur, après ce que vous venez d’accomplir, être mis en meilleures mains.

— Quoi ! vous avez reçu le courrier de France, s’écrie Mahault. Ah ! lieutenant, s’il contient des missives adressées à la veuve Bonnard, je vous rendrais grâces si vous me les remettiez.

— Avec l’agrément du gouverneur, vous les aurez incontinent ; souffrez que je les aille quérir.

La tante de Jehanne ne contenait plus son impatience, et la confiait à Gaucher qui, fièrement campé dans son beau costume, gardait encore sur son visage béat un reflet de l’héroïque émotion de tout à l’heure. ▪ (À suivre)


Roman : LES AVENTURES D’UNE BOURGEOISE DE PARIS de Myriam Thélen (1911).

Publié dans l’Action française le 16 juin 1923.

Textes et images rassemblés par Rémi Hugues pour JSF

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Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

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