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Faillite, l’échéance arrive qui sera sans appel

lundi 8 avril 2024lundi 8 avril 2024 sur JSF
Le professeur Le Maire : il se trompe ou il ment ?

Par Hilaire de Crémiers.

Les chiffres sont écrasants. Impossible de s’y dérober. Ou de traficoter leur présentation, comme c’était l’habitude. La Cour des comptes, quant à elle, a déjà rendu son verdict. Vient inéluctablement l’heure de l’explication.

Sinon – et c’est très bientôt, dès ces mois d’avril et de mai – les agences de notation étrangères, les instances financières internationales du type FMI et les organismes européens que les gouvernants français ont eux-mêmes habilités au contrôle et à la direction financière des comptes publics du pays – et bientôt privés –, Banque centrale et Commission à qui la France s’en est remise pour sa cohérence budgétaire, le feront à la place des autorités françaises. Et ce sera sans appel. Comme avec la Grèce, il y a une quinzaine d’années, qui ne s’en est jamais remise.

Autour de la table au tapis vert où le gouvernement français ne cesse de parier depuis des décennies et, chaque fois, plus gros virtuellement pour compenser les pertes qui, elles, ne sont que trop réelles, dans une addiction de plus en plus immaîtrisable au déficit et à la dette et, en conséquence, au pari sur l’avenir, tel le joueur de Dostoïevski, la formule fatidique vient de résonner avant que le croupier ne s’exécute : « les jeux sont faits, rien ne va plus ». Cette fois-ci, il semble bien que la mise oblige au tapis. La déroute est au bout des pronostics, quels qu’ils soient. Il n’y a plus de martingale qui tienne.

Mensonges sur les comptes

Il y a peu encore, les taux zéros, voire négatifs, facilitaient l’euphorie du moment, apaisaient l’inquiétude devant l’amoncellement des chiffres, effaçaient les doutes, plus ou moins vertigineux, sur l’implacable nécessité de recommencer indéfiniment les mêmes paris sur les mêmes enjeux avec les mêmes risques dans la même habitude de s’en remettre au « Sort », à la bonne étoile de la République, pour s’en tirer encore et une fois de plus, et ainsi faire face aux conséquences à venir d’une telle accumulation de décisions politiques, économiques et financières, toutes plus coûteuses les unes que les autres ; l’esprit politicien se refusait à envisager la fin de ces pratiques sous forme de cessation de paiement, ainsi que les suites sociales inéluctables et dévastatrices de tels comportements. N’en parler jamais était le moyen d’éluder le problème.

Bruno Le Maire jusqu’au mois de décembre dernier ne cessait de rassurer : il tenait d’une main ferme et sûre les finances de la France ; il avait le verbe haut et pointu ; aucun souci à se faire. Lui affectait ouvertement de n’en avoir pas, sauf à signifier qu’il fallait faire attention à admirer ses hautes capacités et que sa vigilance, surtout face à l’extrême droite, encore plus qu’à la dérive des comptes, était la meilleure des cautions. Bercy garantissait tout, même les boucliers tarifaires. Il promettait dans la même veine de réduire la dette ; oui, bien sûr, et il n’y a pas à sourire, il fallait simplement comprendre « réduire » l’augmentation continue de la dette en pourcentage du PIB ! Question de nuances. Les astuces de langage palliaient les trop voyantes disproportions des chiffres indiqués dans les budgets, que les supputations toujours optimistes sur les évaluations futures des comptes publics corrigeaient heureusement dans un sens favorable habilement enrobé dans une brumeuse et enjoliveuse incertitude, rafraîchissante et consolante. Demain, ce sera mieux, tel était le leitmotiv, d’une évidence telle qu’il était proclamé avec l’assurance d’un savoir éclairé et que seuls des esprits fâcheux prétendaient le contester, vraisemblablement aveuglés par une trop éblouissante clarté.

Le gouvernement assurément, comme il l’affirmait il y a peu encore, sera en mesure de tout payer, de tout agencer et même de remonter les pentes des déficits et des endettements – il convient de préciser qu’il n’est toujours question que de pourcentages de baisse – dont l’inclinaison dangereuse pourrait provoquer dans le brave public qui fait confiance, des sentiments mêlés de crainte, de désarroi et, peut-être, de réprobation. « Foi d’animal », répétait à l’envi Bruno Le Maire et son acolyte au Budget, Thomas Cazenave, jusqu’au moindre sou tout est garanti. Mais les saisons financières changent, comme dans la fable ; « la bise » s’en est venue ; chanter ne suffit plus. Les prêteurs vont exiger leur dû : « intérêt et principal » ! Macron, notre Mozart de la Finance, ne pourra plus jouer du pipeau. Il ressemble plutôt au joueur de flûte de Hamelin qui, furieux contre une ville ingrate qui ne reconnaît pas ses talents ni la dette politique qu’elle lui doit, entraîne les enfants, les héritiers de ceux qui se sont refusés à son génie, vers une noyade généralisée.

La brutale réalité

Il aime tant séduire et faire reconnaître son exceptionnelle personnalité que rien ne l’arrêtera. Une telle folie ne laisse pas d’interroger sur pareille psychologie. Personne pour lui taper sur l’épaule et le ramener à la réalité. Alors, Le Maire qui pense à l’avenir, à son avenir personnel bien évidemment, qu’en godillant sur sa barque quelque peu agitée il entrevoit comme attiré irrésistiblement au-delà des trous de dame, se met à crier à l’imminence de la catastrophe afin d’être désormais l’homme qui a averti. Et Cazenave débite à longueur de temps machinalement les données chiffrées, indubitables, de l’insoluble problème des finances françaises, en espérant par ses formules en manière d’exorcismes ressassés à satiété que le diable sortira enfin de cet affreux enchevêtrement de comptes publics et sociaux, d’additions qui pèsent de plus en plus lourdement, de pourcentages qui ne sauraient plus mentir, de cumuls de dettes et de déficits qui se surajoutent plus accablants les uns que les autres, de prévisions de croissance si trompeuses et décevantes, de hausses multiples face à des baisses non moins multiples, hausse des taux bien sûr, qu’il aurait fallu anticiper, baisse des recettes fiscales sur tous les postes, si prévisibles et pourtant imprévues, hausse des charges et des besoins face à la conjoncture nationale et internationale, baisse simultanée des moyens de paiement, des rentrées, des crédits, des possibilités de manœuvre financière, de reports et de roulements. La France est financièrement arrivée au fait et au prendre.

D’où la panique à bord, comme ont titré les journaux les plus sérieux en cette fin du mois de mars. C’est qu’en avril les agences de notation Fitch et Moody’s vont publier leurs notations qui seront suivies en mai de celles de Standard & Poor’s. Impossible d’y échapper et les tours de passe-passe comme la fois précédente ne permettront pas de maintenir les apparences.

Le président rassemble ses équipes : il aime le style guerrier. C’est qu’il faut tenir jusqu’aux élections européennes de juin prochain. Car, dans cette panique, le plus important pour les autorités de l’État est cette échéance électorale qui s’annonce sous un si mauvais jour : démocratie oblige ! La guerre intestine va se doubler d’une guerre des chiffres. C’est de funeste augure.

Guerres et instabilité

Et puis la guerre en Ukraine prend une tournure de plus en plus dure et violente. Les attentats en Russie – et aussi bien ailleurs, car qui pourrait les arrêter et qui les commandite, éternelle question des services secrets – n’arrangent pas la situation. L’emploi des matériels monte en « gamme » et en quantité ; les pertes humaines ont pris des proportions dramatiques et les procédés de luttes, d’infiltration et de destruction se multiplient avec leurs innombrables dégâts collatéraux. Macron depuis un certain temps, au lieu de temporiser, entraîne la France dans un jeu de surenchères de plus en plus risquées avec les coûts inévitables, financiers, politiques, économiques, militaires, humains, qu’un tel engagement représente. Il ne cache pas, d’ailleurs, dans ses discours lancés dans toutes les directions, ses intentions ni ses objectifs : il insiste sur la portée électorale intérieure qui est aussi bien personnelle, de ses décisions, dans sa volonté de rejeter le Rassemblement National dans le camp des traîtres ; puis il croit à la valeur internationale de sa posture d’intransigeance morale qu’il justifie par sa conception du Droit et de la Justice qui relève d’impératifs catégoriques dont il proclame avec autorité magistérielle qu’ils sont consubstantiels à la République française, telle qu’il convient de l’idéaliser. Ce qui revêt de telles décisions d’un caractère absolu, donc irréfragable, qui ne peut être qu’irréversible. Ce, alors même que les moyens militaires de la France et plus généralement sa Défense ne sont pas, loin s’en faut, à la hauteur des engagements pris. Ce qui est, pour tout esprit sérieux, d’une gravité extrême. Faire la guerre présuppose de s’en être fourni préalablement les moyens ; les crédits futurs et supposés ne suffiront pas à compenser les déficiences actuelles. Il n’y a plus aucun bon sens chez Macron et, semble-t-il, personne dans son entourage, même parmi les hauts gradés militaires qui connaissent la situation, n’ose le contredire ou lui mettre sous les yeux le simple fait de l’état réel de nos capacités. La négligence pacifiste, si bien portée à gauche et que la droite n’a jamais vraiment corrigée, vaut à l’État français d’être aujourd’hui tragiquement démuni. Alors même que le chef de l’État semble s’amuser à des rodomontades et à jouer des biceps au point d’être ridicule.

Personne ne peut se faire une idée exacte de la situation dans les jours et les mois à venir. Tout est envisageable, une guerre sans répit et jusqu’au bout des capacités, un entraînement progressif de cobelligérance mais jusqu’à quel point, des tensions internationales redoublées, en particulier autour de Gaza, une multiplication d’attentats comme le prévoient les services de renseignement, des crises qui affectent nombre de pays fragilisés par la conjoncture internationale, avec des horreurs comme en Afrique, à Haïti, dans les Caraïbes, en Asie où la Chine étend son empire. Le monde est instable. Le gendarme américain ne peut plus remplir ce qu’il croyait son rôle. L’Europe ne correspond pas aux prétentions de ses vaniteuses institutions et les élections européennes consacreront la méfiance des peuples européens vis-à-vis de la Commission, de ses diktats et de ses visées. L’économie mondiale va de nouveau très probablement retraverser une crise profonde. Et Macron joue !

Le joueur Macron

Il joue avec la guerre, comme il joue avec les chiffres et avec les finances de la France ; il joue avec la dissuasion nucléaire qui ne lui appartient pas mais qui appartient à la France, alors qu’il est prêt à la livrer à une fausse souveraineté européenne. Il joue avec la sécurité des Français en faisant croire que par sa seule présence, à Marseille comme à Cayenne, il va éradiquer les trafics de drogue alors que plus aucune ville de France n’est à l’abri des malfrats qui se moquent ouvertement, en prison comme dans tous les quartiers, de ses vaines postures ; il joue avec les agriculteurs qu’il a livrés à l’Europe ainsi que les pêcheurs, comme il a joué avec l’industrie et le commerce français, mis à l’encan par ses fausses spéculations sur des marchés où les intérêts français sont systématiquement bafoués ; il joue avec le nucléaire qu’il prétend relancer après l’avoir préalablement ruiné pour satisfaire des lubies électorales ; il joue avec la justice qu’il laisse aux mains d’incompétents et de chimériques fanatiques, comme il joue avec l’École et l’Enseignement supérieur qu’il laisse aux désordres mentaux, moraux et intellectuels ; il joue avec la santé des Français, santé physique et santé morale, détruisant l’appareil des soins sur l’ensemble du territoire qu’il abandonne, en ce domaine comme dans le reste ; cependant il se réjouit d’avoir constitutionnalisé le meurtre de centaines de milliers de petits Français, et il s’apprête, à l’encontre de l’avis des meilleurs du corps médical, à légaliser l’euthanasie et le suicide assisté. Et, dans le même temps, il joue avec l’immigration dont il s’arrange sournoisement à supprimer tous les contrôles. De la même manière il a joué avec le Covid en se mettant dans les habits d’un chef de guerre qui met au pas son peuple, comme précédemment il avait joué avec la révolte des gilets jaunes dont il s’était servi pour faire son malin avec un prétendu grand débat dont il était le seul animateur et organisateur. Il joue avec tout, avec les opportunités du moment, avec les peurs pour récupérer à son profit ce qu’on appelle l’effet « drapeau ». Le sens national ne lui sert qu’à valoriser son personnage. Ses postures ne sont que des impostures.

Ce n’est pas pour rien que des Malika Sorel, des Fabrice Leggeri rejoignent le Rassemblement national. Il y a vraiment quelque chose d’effrayant dans ce que trame un homme comme Macron. Les esprits éclairés, tels les anciens diplomates au talent reconnu – ils sont plusieurs à être malheureux de ce qui se passe, des Martin, des Gliniasty –, les chefs militaires maintenant retirés du service actif et qui ont la rigueur de la pensée et du jugement – ils sont nombreux à mettre en garde –, les banquiers et les financiers qui ont l’audace de s’exprimer en vérité au-delà des langages convenus, les analystes, les géopoliticiens, les journalistes libres – ça existe, la preuve dans ce journal –, les gens qui connaissent leur histoire et leur géographie et qui ne se laissent pas abuser par la propagande officielle et internationale, tout ce monde-là – et ce n’est pas rien ! – se demande avec effroi jusqu’où ira la folle aventure macronienne, sur quel écueil elle se brisera, lui qui se moque de tout, transgresse toutes les règles, sauf à présider des cérémonies pour imposer sa figure et sa parole, lui qui brave tous les interdits de la sagesse la plus élémentaire et même de la décence, en tout cas celle qui convient pour un chef de l’État et un président de la France. Oui, jusqu’où ira-t-il ?

Il ouvre volontairement les portes à la guerre civile qu’il entretient savamment, franco-française, partisane, et aussi bien islamico-sociale qu’il alimente sans cesse au risque de bouleverser toute la société ; sa République s’en nourrit comme d’une substance nécessaire à sa survie. De telles perspectives de guerre intestine larvée ou ouverte, ne lui suffisent pas ; il y ajoute maintenant les menaces extérieures sur des crises dont il est incapable de comprendre les causes et les conséquences, mais dont il fait son affaire. Égarement, mensonge et mort, voilà ce qui le définit.

Mais les chiffres sont là. Ils se dressent devant lui dans leur énormité. Il ne pourra les évacuer de sa route. Plus de 3000 milliards, en fait 3300 milliards de dettes ; 112 %, bientôt 116 % du PIB ; un déficit budgétaire 2023 à 172 milliards et un déficit public sur l’ensemble des comptes de la nation à 5,6 % du PIB, soit largement plus d’un demi-point que ce qui était prévu. La charge des intérêts de la dette va devenir sous peu le poste le plus important du budget, supérieur à tous les autres, 54 milliards en 2024, et qui ne cessera de s’aggraver, peut-être 80 milliards en 2027. En 2024, l’amortissement de la dette venant à échéance est évalué à 156 milliards, et l’impasse budgétaire à 144 milliards qu’il faut déjà prévoir à la hausse dans de futurs budgets rectificatifs. Le déficit commercial s’établit à 100 milliards, ce qui est une amélioration par rapport à l’année précédente mais qui prouve que la France ne cesse de s’appauvrir.

Concrètement, c’est une faillite. En 2007, Fillon déjà la pronostiquait. Aujourd’hui, les chiffres ont doublé et triplé. Résultat chiffré de politiques aberrantes qu’il va falloir payer. La faillite programmée annonce le désastre final.  ■

Hilaire de Crémiers
Article précédemment paru dans Politique magazine.
 
 
 
 
 

 

 
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