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Théodore Zeldin a parlé de la Royauté : réflexions…(1/2)

jeudi 2 juin 2011 sur JSF

        Dans Le Figaro Magazine du 22 avril 2011, Théodore Zeldin, personne fort estimable, a répondu aux questions de Patrice de Méritens, qui l’interrogeait sur un certain nombre de sujets, et, bien sûr, sur le tout proche mariage princier.

        Théodore Zeldin, historien, sociologue et philosophe souhaitait « décrypter » la monarchie anglaise – du moins, c’est ce que promettait l’article – et répondre à ces trois questions : A quoi sert la monarchie ? Que représente-t-elle pour le Royaume-Uni et pour le reste du monde ? Quel est son avenir ?

        La vérité toute simple est que, dans cet entretien, Théodore Zeldin a dit des choses qui nous ont parues justes, d’autres plus neutres, voire banales, sur lesquelles on ne s’attardera pas, et deux ou trois avec lesquelles – et c’est le moins que l’on puisse dire… – nous n’avons pas été d’accord, et qui, une fois pris le temps de la réflexion, ont amené les remarques que voici……  

zeldin,republique,royauté 

        Dans la première partie de son entretien, et dans la catégorie des choses positives, Zeldin a évidemment raison de noter que « la monarchie est un symbole de permanence », que « les idéologies sont finies : le communisme est mort »;  mais, première objection, il ne nous convient pas de se réfugier dans la monarchie par peur de l’avenir, comme le dit Zeldin : « les incertitudes de l’avenir poussent les gens vers le passé », « face à cette sorte de néant on réinvente le passé pour soutenir les esprits ». Libre à ceux (les Anglais, en l’occurrence, comme semble le dire Zeldin ?) qui ont cette réaction de peur de l’avenir, de se tourner vers la royauté par inquiétude : nous, nous voulons un roi pour reconstruire une Société que les nuées et folies révolutionnaires ont détruite de fond en comble, et pas par nostalgie du passé ou par peur de l’avenir. Comme le disait Pierre Debray, aux Baux, nous voulons « une monarchie sans nostalgie et sans folklore, qui soit la flèche du progrès… ». On est très loin du réflexe, pour tout dire, négatif, évoqué par Zeldin…

        Deuxième remarque : Zeldin a en partie raison, puisqu’il parle de la monarchie anglaise, lorsqu’il dit : « La force de la reine est de n’avoir pas de pouvoir… ». Mais remarquons bien que ce propos ne pourrait en aucun cas s’appliquer à une royauté française ré-instaurée. Pourquoi ? Tout simplement parce que, aussi longtemps qu’il y a eu des rois en France – donc, jusqu’en 1848 – la tradition nationale a été que le Roi règne et gouverne, et qu’il ait de réels pouvoirs. En ceci, la royauté française s’est distinguée depuis des siècles des deux royautés voisines, l’anglaise et l’espagnole, dans lesquelles l’Histoire a fait que, très tôt pour la première (durant le Moyen-Âge), et à partir de la Renaissance pour la seconde, les Rois ont vu leurs pouvoirs réels fortement diminués par rapport aux Rois de France. Le processus s’engage dès la lutte avec leurs Barons pour les Rois d’Angleterre, et la fameuse Carta magna; quant à l’Espagne, dès l’arrivée des Habsbourgs, aux tous débuts du XVIème siècle, elle n’a plus de dynastie nationale et les rois, d’origine autrichienne d’abord, française ensuite, doivent composer avec des résistances « nationales » très fortes.

        Il est donc clair que les héritages historiques de ces trois royautés européennes (anglaise, espagnole et française) sont très différents et que, en ce qui nous concerne, si la Royauté était ré-instaurée, ce serait en conformité avec nos traditions : nous voulons, certes, un Roi arbitre et pacificateur, assurant le service de représentation et d’incarnation de la Nation; rôle que lui donnerait le temps long assuré par cet espace a-démocratique au-dessus des partis que nous appelons de nos voeux. Mais ce Roi sera aussi acteur et moteur, et jouera un rôle décisif, dans la reconstruction totale de la Société à laquelle nous aspirons. Une société, comme l’a expliqué Pierre Boutang d’une façon limpide, dans laquelle « l’homme ne sera plus empêché de vivre naturellement ». On voit bien que, par là, notre projet royal se distingue de ce que l’on peut voir actuellement en Espagne ou en Angleterre… 

        Mais il y a comme une sorte de deuxième partie dans les propos de Théodore Zeldin, que l’on ne peut réellement pas laisser passer sans réagir. Après une assez longue digression sur la famille et deux ou trois sujets d’intérêt -soyons francs – mineurs, il dit ceci :

        « Pourquoi n’y a-t-il pas de monarchie en France ? Votre destin est d’avoir eu des prétendants stupides qui n’ont pas su naviguer avec l’opinion… » et, juste après « …la France a inventé la notion de république moderne ».

        Libre à Zeldin de considérer comme « moderne » notre Système idéologique qui a si mal vieilli, qui a échoué, et qui a recréé, hic et nunc, dans la France de 2011, une « société bloquée » (le mot est de Chaban-Delmas, et date des années soixante-dix !), dans laquelle pullulent Bastilles et privilèges, et l’arrogance des nouvelles féodalités qu’un État idéologique, obèse et impuissant a laissé se développer. C’est maintenant aussi, et encore, que nous sommes en 1789, paralysés et bloqués par les intérêts égoïstes des privilégiés, qui empêchent toute libération des énergies fécondes du peuple français, stérilisées par l’incurie du Système : cela, Zeldin ne le voit pas, et trouve même que c’est « moderne »; c’est son droit mais, à ce stade-là, nous ne pouvons rien pour lui….

        Venons-en maintenant à cette partie de son propos, que nous jugeons surprenante, concernant ces « prétendants stupides », et disons pourquoi nous la jugeons irrecevable. Pour ne prendre que ces deux exemples, ni celui qui aurait pu être Philippe VIII, ni celui qui aurait pu être Henri VI ne furent « stupides » – pas plus, du reste, que Maurras et l’Action française qui les ont toujours soutenus… : tous ont sincèrement et réellement voulu la royauté, et voulu la faire, et oeuvré en ce sens. Ils se sont heurtés à la force des illusions et des nuées qui, bel et bien mortes aujourd’hui (Zeldin le dit, au début : « les idéologies sont finies : le communisme est mort »), étaient toute puissante à leur époque, au point de bloquer leur action; et, de plus, ce que  Zeldin ignore peut-être, c’est que la république gouverne mal mais se défend bien… Il est donc injuste et, tout simplement, faux, de prétendre, ou de sous-entendre, que l’échec de l’instauration de la Royauté en France s’expliquerait, aussi et entre autre, finalement, par la stupidité des « prétendants ». Un mot qui, du reste, et cela a été dit cent fois, ne convient pas et qui est absurde : il y a des Princes, et une Famille de France, et un « Héritier des siècles » (le mot est de Chateaubriand) qui incarne et représente sur la durée et le temps long la réalité de cette Patrie charnelle qu’est notre France. Là aussi, on est très loin de la pauvreté, à tous les sens du terme, du mot « prétendant » qu’emploie Zeldin….. (à suivre…) 

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Avec Max Gallo….

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Notre Café actualité de samedi : à propos d’Annie Laurent….(3/6).

8 commentaires pour “Théodore Zeldin a parlé de la Royauté : réflexions…(1/2)”

  1. EHLB
    jeudi 2 juin 2011 at 11 h 09 min

    Sans doute, les prétendants soutenus par l’Action française n’étaient pas stupides. M. Zeldin voulait probablement parler du Comte de Chambord, le prétendant le plus emblématique qui soit et surtout l’homme qui fut le plus proche de rétablir la Monarchie par les urnes, et qui gâcha l’opportunité tout simplement parce que Monseigneur n’aimait pas le bleu et le rouge et/ou n’aimait pas les Orléans de l’époque. Peut-être que M.Zeldin désignait ce prétendant-là lorsqu’il parlait de « stupidité ».

  2. Antiquus
    samedi 4 juin 2011 at 16 h 44 min

    Franchement, c’est simplifier et falsifier gravement l’histoire que de parler ainsi du dernier prétendant de la branche aînée. D’abord en ce qui concerne les Orléans la position du Comte de Chambord n’avait rien à voir avec ce qu’il aimait ou n’aimait pas. Louis-Philippe l’avait poursuivi de sa malveillance pendant toute sa vie, et cependant il accepta de recevoir le Comte de Paris à Frohsdorf et de le reconnaître comme son successeur. Quant au refus du drapeau tricolore, ce n’était qu’une manière de dire qu’il n’était pas prêt à s’engager sur une voie où il aurait dû mentir en permanence pour échapper aux liens qui avaient été préparés pour lui. Ce n’était pas de la stupidité. Dans le dernier numéro de la NRU, Philippe de Saint Robert a le mérite de signaler que dans le parti orléaniste, beaucoup de ses chefs craignaient le programme trop social du Prétendant.

  3. Antiquus
    dimanche 5 juin 2011 at 8 h 02 min

    A la réflexion, je voudrais faire une observation un peu iconoclaste sur l’analyse de lafauteàrousseau concernant l’évolution de la monarchie au cours des deux derniers siècles de l’Ancien Régime, analyse selon laquelle la France, grâce à sa dynastie nationale, a su développer une monarchie absolue, alors que ses deux voisins l’Angleterre et l’Espagne, du fait de leur origine étrangère, développèrent des résistances qui réduisirent le rôle du monarque à une position symbolique. Personnellement, je ne suis pas sûr que cette évolution ait été aussi harmonieuse que l’Action française s’est plu à le répéter. En effet, le gouvernement de Richelieu fut lourd de conséquences. Il priva la France de toute représentation collective, ouvrant ainsi la voie à un centralisme dans lequel la révolution s’engouffra. Il appauvrit la noblesse et réduisit la société d’ordres à une coque vide. Il saigna à blanc les ressources des collectivités locales et des corporations.
    Or cette politique avait pour effet de priver la monarchie de ses principaux soutiens. Lorsqu’elle se trouva face à une crise grave, elle fut abandonnée de tous.
    Il faut faire très attention quand on veut trop prouver.

  4. DC
    dimanche 5 juin 2011 at 22 h 30 min

    Il est primordial de débattre sur les points suivants, par
    souci de cohérence et par rapport à l’histoire
    constitutionnelle française.
    Lafautearousseau affirme « Aussi longtemps qu’il y a eu
    des rois en France – donc, jusqu’en 1848 – la tradition
    nationale a été que le Roi règne et gouverne, et qu’il ait de
    réels pouvoirs.
    Selon la formule exacte d’Adolphe Thiers définissant la
    monarchie parlementaire : « Le roi n’administre pas, ne
    gouverne pas, il règne. »
    Tout d’abord Lafautearousseau doit être plus précise. Il est
    vrai que d’une manière générale, » la tradition nationale a
    été que le Roi règne et gouverne, et qu’il ait de réels
    pouvoirs jusqu’en 1848″.
    Cependant, gouverner et avoir de réels pouvoirs ne
    signifient pas toujours la même chose. De 1789 à 1792,
    Louis XVI devenu monarque constitutionnel avait de réels
    pouvoirs (d’administration, de nomination, de sanction des
    lois et décrets, de véto) mais ne gouvernait pas.
    Quant à Louis XVIII, Charles X et Louis-Philippe, pour
    couvrir l’ensemble de la période de la monarchie
    parlementaire, ils avaient à la fois de réels pouvoirs et
    gouvernaient, non pas seuls, mais par ministres interposés.
    Ce qui signifie qu’ils n’étaient pas constitutionnellement
    responsables. Leurs ministres, par contre eux l’étaient.
    Ceci est un point important qui caractérise la monarchie
    parlementaire, l’irresponsabilité constitutionnelle du
    monarque. Ainsi, il faut nuancer le mot gouverner et
    reconsidérer le mot régner.
    Le Roi ne gouverne pas directement, seul le
    gouvernement gouverne directement, car il est seul
    responsable devant le parlement élu par les Français.
    Mais le Roi est doté de réels pouvoirs qui lui permettent de
    peser sur le gouvernement, d’influer, d’arbitrer et pour
    certains domaines de décider en dernier recours.
    Ainsi, le Roi règne mais comme le disait Louis-Philippe, le
    trône n’est pas un fauteuil vide. Régner prend ici tout son
    sens, il ne s’agit pas seulement de représenter mais aussi
    d’intervenir dans les affaires de l’Etat, sans pour autant
    gouverner seul ou directement, car seul le gouvernement
    gouverne en monarchie parlementaire.
    Ainsi, la formule de Thiers peut s’entendre à la fois à la
    manière anglaise, espagnole ou française seul le degré
    d’intervention du Roi diffère dans sa manière et ses
    pouvoirs de régner.

  5. EHLB
    lundi 6 juin 2011 at 15 h 43 min

    Sans doute, j’ai simplifié l’Histoire. Henri V ne souhaitait peut-être pas débuter son règne par une concession sur un principe important, car la situation serait vite devenue compliquée. Bien.
    Cela dit, je rappelle que Louis-Philippe, pour sauver les meubles de la Monarchie après les journées de Juillet, fut lui aussi amené à réaliser des concessions colossales sur les principes. Ce qui ne l’empêcha pas, bon an mal an, de se maintenir sur le trône durant quelques dix-huit années (plus longtemps que ses deux prédécesseurs réunis), et de regagner petit à petit le terrain concédé aux révolutionnaires. La situation était intenable à son arrivée au trône, dix ans et quelques tentatives d’assassinat plus tard, celui-ci était stabilisé.
    Voilà ce que je voulais dire au sujet du Comte de Chambord. S’il avait réagi comme Louis-Philippe, il aurait pu faire cette concession du drapeau, pour malgré tout « créer du pouvoir », comme disait Victor Hugo au sujet du Roi-Citoyen, d’autant qu’en tant qu’aîné des Bourbons il était sans doute autrement plus légitime et rassembleur que Louis-Philippe.
    Donc, je veux bien ne plus parler de stupidité à son sujet, mais au moins parlerai-je de manque de cran.

  6. DC
    lundi 6 juin 2011 at 23 h 51 min

    Parler de stupidité pour le Comte de Chambord n’est
    évidemment pas approprié; de manque de cran à mon avis
    pas davantage. Il manquait sans doute de vision politique
    car il pouvait très bien faire des concessions sans renier
    ses convictions. Il aurait pu ainsi demander à ce que le
    drapeau tricolore porte les armes de France en son centre
    blanc et que le drapeau représentant la présence du Roi
    dans les lieux où il se trouve soit uniquement blanc aux
    armes de France, les deux drapeaux, tricolore et blanc à
    fleurs de lys, auraient pu ainsi se côtoyer en fonction des
    circonstances, et les armes de France sur le blanc du
    drapeau tricolore auraient été riches de symboles aux
    côtés du rouge et du bleu qui pouvaient être aussi des
    couleurs historiques symboles de la royauté.
    Prétendre, c’est aussi se donner les moyens d’atteindre
    ses objectifs, et non s’entêter par des vues étroites qui
    divisent plutôt qu’elles ne rassemblent.

  7. EHLB
    mardi 7 juin 2011 at 1 h 56 min

    Certaines personnes de son entourage avaient bel et bien suggéré des compromis pour ce qui est du drapeau. Le prince les a tous refusés. De toutes manières je ne pense pas que nous connaitrons un jour tous les tenants et aboutissants de cette histoire. Reste que le Comte de Chambord a laissé échapper une opportunité unique de rétablir la Monarchie par les urnes, donc de manière incontestable même pour les républicains. Et ça, c’est franchement triste.

  8. DC
    mercredi 8 juin 2011 at 11 h 06 min

    Tout à fait d’accord avec vous EHLB, ce fut une opportunité
    unique gâchée par un comportement que l’on qualifierait
    aujourd’hui de psycho-rigide.

Les commentaires sont fermés.

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Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

* Frais de port inclus

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